"L'appel de la tribu" de Mario Vargas Llosa
Un autoportrait intellectuel passionnant doublé d’une série de portraits de grands intellectuels libéraux.
Un autoportrait intellectuel passionnant doublé d’une série de portraits de grands intellectuels libéraux.
Climato-gauchistes et nationalistes identitaires se retrouvent pour des raisons différentes dans leur détestation de la mondialisation et du libéralisme économique.
Le 11 novembre 1918 marque l’armistice de la Première Guerre mondiale mais malheureusement pas la fin du suicide européen par le nationalisme guerrier ou le socialisme.
Dans des situations de crise, le risque de prendre des décisions biaisées augmente et avec lui, notre capacité à aggraver la situation. L’un de ces biais est de surestimer l’importance des frontières nationales ou des différences entre les populations.
L’État-nation, fragilisé par la mondialisation retrouverait-il une nouvelle jeunesse ?
En 1919, Ludwig von Mises tire les leçons de la Première guerre mondiale qu'il consigne dans son livre "Nation, État et économie" republié par l'Institut Coppet.
Les courants nationalistes ne sont pas moins dangereux que l'idéologie communiste. Et la liberté reste la première perdante.
Dans cette perspective, les Africains doivent-il continuer à voir dans les investissements directs étrangers (IDE) un outil de domination occidentale ?
Sur l’axe libéralisme-socialisme, la réalité politique contemporaine apparaît ainsi comme un compromis.
Comment se fait-il que beaucoup de Français croient en la Nation de la même manière qu’ils croyaient au Père Noël quant ils étaient dans leur prime enfance ? La question se pose au moment de rétablir le service national...
La crise Catalane a révélé une plaie profonde dans la société civile catalane et mis en route des mécanismes dont les conséquences désastreuses vont se produire quel que soit le résultat des nouvelles élections du 21 décembre 2017.
Le mythe d'une entente profonde entre nationalisme catalan et anticapitalisme a la vie dure. Entretenu par les autorités culturelles depuis longtemps, il tente aujourd'hui une percée politique avec le référendum.
Un livre qui s’attache à nous présenter la photographie d’une France engluée dans une « crise identitaire » qui la dépasse, un « contexte explosif » sans précédent , « une mutation ethnique » en un laps de temps relativement court.
Parmi les objets politiques, quel est celui qui est le plus dangereux, qui, bien utilisé, peut faire le plus de dégâts ? On pourrait croire que…
Les intellectuels européens ont développé trois grandes idées, dont l'une, excellente, est le libéralisme.
Du point de vue libéral, la présidence de Trump ne pouvait partir d’un plus mauvais pied, celui du collectivisme nationaliste.
Les banques centrales ne sont donc pas seulement dangereuses pour nos finances personnelles. Elles mettent en péril nos sociétés ouvertes.
Le soldat qui combat pour son pays dans une guerre injuste est-il comparable à l'avocat qui défend un criminel sans avoir à le juger ? En ce jour de célébration de l'armistice, une réflexion sur le nationalisme et la guerre.
Le nationalisme de Trump semble offrir une réponse claire et simple aux perdants de la globalisation : « Make America great again ». Suffisant pour être élu ?
Qu'est-ce qui favorise la montée des nationalismes et des populismes partout sur la planète ?