Violences policières ≠ Violences de policiers
Si « violences policières » s’est progressivement substitué au terme « bavure » autrefois utilisé, « violences policières » est différent de « violences de policiers ». Analyse.
Si « violences policières » s’est progressivement substitué au terme « bavure » autrefois utilisé, « violences policières » est différent de « violences de policiers ». Analyse.
Ce ne sont pas les articles 22 et 24 de la Loi Sécurité globale qu'il faut retravailler mais tout le texte de loi, qui ne respecte pas les droits de l'Homme.
OPINION : les manifs n’intéressent personne si elles se déroulent dans le calme, mais elles font la Une de tous les médias avec des violences. Merci les black-blocs.
Le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument. D’où la nécessité absolue de limiter le pouvoir, tous les pouvoirs, et d’où la nécessité absolue d’abandonner l’article 24.
Le gouvernement devrait concentrer ses efforts sur le renforcement et la formation des forces de l’ordre plutôt que de mettre le feu à l’économie et à la société au nom d’une urgence sanitaire.
Même si Darmanin affirme qu’elle maintient « l’équilibre entre la liberté d’informer et la protection des forces de l’ordre », la loi de sécurité globale reste attentatoire à la liberté des journalistes de faire leur travail.
Emmanuel Macron ampute consciencieusement nos libertés publiques au nom… de la défense des valeurs des démocraties libérales !
La proposition de loi, même amendée en catastrophe par le gouvernement a pour effet concret de créer une présomption de malveillance dans l’exercice individuel de la liberté de filmer une intervention de police sur la voie publique.
Loi de "sécurité globale" : des mesures qui ne répondront ni aux attentes générales de sécurité, ni aux garanties en matière de libertés individuelles.
La proposition de loi pour la sécurité globale porte atteinte à la vie privée et à la liberté d’information. Mais rassurez-vous, c’est pour votre bien.