Pass sanitaire : au secours, Macron veut organiser nos libertés !
La nouvelle contrainte sociale soft : un pass sanitaire en échange de la promesse de pouvoir « tout rouvrir ».
La nouvelle contrainte sociale soft : un pass sanitaire en échange de la promesse de pouvoir « tout rouvrir ».
Il faudra quand même bien un jour expliquer en quoi instaurer l’oppression de la population est une approche démocratique. En vérité l’opposition aux mesures coercitives est éthique. Elle se fonde sur leur inhumanité.
D’un point de vue juridique, la notion de motif impérieux n’a fait l’objet d’aucune définition claire. C'est donc à la discrétion du fonctionnaire qu'on juge de nos voyages aujourd'hui.
Comme en matière de délinquance routière, sans attester de leur efficacité réelle sur les maux qu’elles prétendent combattre, la modification des règles a au moins permis à l’État de se remplir les poches.
Emmanuel Macron nous refait le coup du grand Président de la République totalement commis à la défense de la liberté qu'il place volontiers "au-dessus de tout" dans ses discours.
Plaidoyer à contre-courant des idées reçues en rappelant aux mémoires courtes ce que nous a apporté l’ouverture des frontières.
par h16 Avec les sapins maintenant autorisés – sans les boules !- et l’hiver, arrive naturellement la neige sur les pentes montagneuses de notre beau…
Sans jamais donner l’impression de pouvoir redresser la barre pour imprimer sa marque sur les courbes du Covid, ce gouvernement a surtout semblé très à l’aise dans une surinflation normative.
Le porte parole du gouvernement Gabriel Attal assure à BFMTV que "des policiers ne seront pas envoyés chez les gens pour savoir avec qui ils sont".
Initialement, la majorité de la population s’est ralliée à la cause. Deux semaines sont devenues 30 jours, puis 7 mois. Cette politique publique est désormais la nouvelle norme.
L’automobile, c’est la liberté. Vouloir décider ce qui doit être acheté et effectuer manipulations, incitations, ou punitions ne peut conduire qu’à une dictature larvée.
Amnesty rapporte que l’État français s’est rendu coupable de violations de ses engagements internationaux, en particulier au regard de la Convention européenne des droits de l’Homme et du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Aujourd’hui, l’exception est devenue le nouveau normal, et la liberté de circuler et de se réunir fait partie du monde d’avant.
Coup de projecteur sur l’association Pour une Mobilité Sereine et Durable, qui défend la liberté de circulation.
Faut-il accepter indéfiniment que le gouvernement ignore la gestion du risque pour privilégier la suppression de la liberté et la ruine de l'économie ?
L’État continuera de réglementer et d’encadrer les déplacements des citoyens pendant des mois.
Nouvelle dérogation dans les autorisations de circuler : l'immobilier.
"Homme libre, toujours tu chériras la mer". Plaidoyer raisonné pour la réouverture des plages le plus tôt possible.
Vous allez bientôt être débarrassé de cette « attestation de déplacement dérogatoire » qui fera date. Cette infantilisation de toute une population suscitera sans doute des études sociologiques.
Le confinement semble autoriser tous les débordements "citoyens" : de la délation de voisin au rejet du touriste. Une situation hélas déjà vue dans le passé, dont nous n'avons rien retenu.