L’État obèse est un roi-nu
Le rebond du Covid-19 nous montre à quel point notre État obèse est un roi-nu, il ne dispose pas des moyens nécessaires pour assurer ses fonctions essentielles.
Le rebond du Covid-19 nous montre à quel point notre État obèse est un roi-nu, il ne dispose pas des moyens nécessaires pour assurer ses fonctions essentielles.
Ce n’est pas le libéralisme économique qui nous tue à petit feu, contrairement à ce que les anti-libéraux tentent de faire croire, mais bel et bien l’excès d’État, d’impôt et de redistribution.
Les principes de base de gestion de la dette devraient s'appliquer dans le domaine public comme chez les individus.
Pour augmenter le niveau de vie de la population il faut créer un environnement économique plus favorable à la hausse de la productivité, en réduisant le poids de l’État dans l’économie, par une diminution des dépenses publiques.
Un excédent budgétaire pour la Sécu ? Ne nous réjouissons pas trop vite...
Le principe de la défausse est un des grands classiques des approches d’État pour couper les dépenses : il les transfère simplement à d’autres.
Au milieu de la polémique du renouvellement de la vaisselle ou la création d'une piscine pour le président, d'autres détails surprenants méritent une petite explication.
Sans une réflexion profonde sur la conception de l’État, celui-ci encombrera la vie économique, politique et sociale de notre pays. Ce défi devrait être une priorité pour les esprits indépendants !
Le progrès technologique, la mondialisation, et l’augmentation du niveau de vie ont mené à de profondes transformations dans la structure de l’économie canadienne. Pourtant, une meilleure gestion de la taille de l'Etat aurait amélioré la situation.
Et si on repensait de façon sérieuse la baisse des dépenses publiques ? Cela nécessiterait d'avoir un vrai débat sur les effectifs de la Fonction Publique et la dépense publique en général.
Un récent rapport de l’OCDE, à rebours de toutes les doctrines keynésiennes chiffre que l’État le plus efficace ne doit pas capter plus de 36% de la richesse produite par ses citoyens. En France, l’État s’arroge 58% du PIB.
Critiquer le Luxembourg rapporte gros médiatiquement, mais n'est-ce pas un moyen facile de fuir ses responsabilités ?
Une nouvelle étude de l'Institut économique Molinari montre que les salariés belges et français subissent la plus forte pression fiscale et sociale d'Europe.
L'Europe décline en raison de l'écrasement de la société civile par la bureaucratie.
Avant d’être un problème technique et purement comptable, l’explosion de la dette est avant tout le signe d’une défaillance structurelle de nos institutions.
Une seule question devrait occuper la campagne, celle de la réduction du rôle de l'Etat par des réformes ambitieuses, en s'inspirant des exemples étrangers. Pourtant l'omerta est plus forte.