Nationalisation de l’épargne : en marche vers la finance citoyenne
La nationalisation de l’épargne est pur arbitraire et pur gaspillage. C’est attirer mensongèrement l’épargnant français dans ce qu’on appelle « la finance citoyenne ».
La nationalisation de l’épargne est pur arbitraire et pur gaspillage. C’est attirer mensongèrement l’épargnant français dans ce qu’on appelle « la finance citoyenne ».
La classe des fonctionnaires et des hommes politiques est-elle bien placée pour investir au mieux l’épargne des citoyens ?
Les épargnants sont devenus méfiants à l'égard des banques et veulent garder un maximum de liquidités sous la main.
Cette question fait retenir leur souffle aux marchés financiers mondiaux. Est-ce vraiment une possibilité ? Si oui, quelles en sont les implications ? Examinons les différents scénarios.
Les États qui monétisent sans vergogne leurs émissions de dette publique ne sont pas immunisés contre « les marchés »
Ne dirigeons pas notre colère contre le légitime et utile travail des spéculateurs, banquiers et investisseurs