Rentrée scolaire 2020 : que reste-t-il de « l’école d’après » ?
Une rentrée scolaire normale avec le secret espoir d’un retour durable à la situation antérieure ? Pas tout à fait...
Une rentrée scolaire normale avec le secret espoir d’un retour durable à la situation antérieure ? Pas tout à fait...
La rupture de l'apprentissage scolaire pendant la crise sanitaire est un vrai sujet d'inquiétude. Regard d'un enseignant.
Le danger imminent est celui qui consiste à profiter de cette réforme des retraites pour y inclure une multitude d’autres changements « indispensables », qui vont changer la vie des gens.
Les profs peuvent maintenant bénéficier d’une rupture conventionnelle, une opportunité pour ceux qui, lassés des conditions de travail éprouvantes du public, pourraient facilement rejoindre les rangs des écoles indépendantes.
Dialogue entre 3 anciens élèves de Bertrand Lemennicier : Véronique de Rugy, Philippe Lacoude et Frédéric Sautet. Nous espérons ainsi donner une idée de l’impact de Bertrand Lemennicier dans le domaine de la pensée économique et libérale.
Le projet est mis en œuvre par une ONG locale, KAPE (Kampuchean Action to Promote Education) qui fournit l’expertise dans le cadre d’un partenariat public-privé.
Par Sylvie Gendreau1. Un article de The Conversation Lorsqu’il s’agit de lire ou de prendre des notes, papier et écran ne logent pas à la…
La formation et les divers gadgets éducatifs de la France seront bien insuffisants pour pallier les lacunes d’une école qui n’a pas pu, voulu ou su changer et s’adapter au monde.
À l’oral, 75 % des élèves ne sont pas capables de s’exprimer dans une langue globalement correcte en anglais, contre 73 % en espagnol et 62 % en allemand.
Les élèves tchadiens, comme leurs enseignants, souffrent du trop-plein d'État et du manque de liberté.
Et si une autre façon de travailler était possible ?
Après plus de trente ans de domination quasi-incontestée d’Alternatives économiques, naissance d’un nouveau mensuel sur l’économie. Un événement que l’on peut saluer.
Mais pourquoi diable vouloir enseigner la même chose à tout le monde ? La question n’est pas rhétorique. Elle est lourde de conséquences.
L’école publique ne joue pas son rôle de transmission du savoir et soumet les enfants à des influences qui sont plus mauvaises que bonnes.
L'orthographe deviendra-t-elle une compétence hautement distinctive dans les prochaines années ?
Dans le registre des fausses bonnes idées, rendre obligatoire l'école dès trois ans est un cas d’école, si je puis dire ! Va-t-on obliger les gens à boire quand ils ont soif ?
Que faut-il apprendre pour développer les bonnes compétences ? L’ère numérique révolutionne la notion du travail, il faut aussi nous adapter.
Et si à l’approche gestionnaire, rente de situation pour un syndicalisme enseignant en crise, on substituait un projet politique pour l’école ?
En banalisant les comportements de paresse, ou en dénigrant les vertus de persévérance et d'effort, on contribue à compromettre l'ascension sociale des jeunes d'aujourd'hui.
Et si on lisait les classiques, avant de mettre au programme des lycéens des oeuvres contemporaines ?