L’objectif « zéro carbone » : un doux rêve
L'obsession de la neutralité carbone a conduit les gouvernements à prendre des décisions irréalisables.
L'obsession de la neutralité carbone a conduit les gouvernements à prendre des décisions irréalisables.
La possibilité de remplacer les 3 milliards de tonnes de carburants consommés en 2019 dans le monde par de l'hydrogène "propre" n’est pas pour demain…
Une méthode que les politiques affectent particulièrement : celle de fixer un objectif sans définir les moyens techniques et économiques pour l’atteindre.
Clamer vouloir atteindre la neutralité carbone en 2050, c’est bien, mais cela ne sera possible qu’en développant davantage l’énergie nucléaire décarbonée.
EDF s'engagerait à fournir "100 % d'électricité renouvelable" afin que les Jeux Olympiques Paris 2024 soient « les plus responsables de l'histoire ». Paradoxal...
Si l'Union européenne voulait vraiment protéger le climat en réduisant les émissions de CO2, elle fixerait des objectifs sans imposer des moyens et des technologies.
Dans un pseudo-classement des énergies "vertes", Greenpeace confond les mots "vert", "écologique" "renouvelable". Redonnons leur sens aux mots.
Ceux qui prétendent sauver l’Europe à coup de centaines de milliards d’ « investissements verts » devraient regarder les chiffres de plus près.
"La guerre des métaux rares" relève que les énergies prétendument propres nécessitent l’utilisation de minerais rares dont l’extraction ne l’est franchement pas.
Le terme « complémentaire » évoque la rationalité et le soutien mutuel fécond. Il est pourtant mal choisi dans ce cas.
Nos réacteurs nucléaires actuels, bien que sophistiqués, sont aussi naturels que des capteurs PV ou des éoliennes.
La méthanisation est en train de tuer l'industrie laitière.
Certes, le nucléaire à des inconvénients, mais ne pas y recourir entraînerait des inconvénients encore plus élevés.
Les énergies renouvelables engendrent un surcoût de 28 milliards d'euros qui écrase les ménages allemands.
Derrière la création par subvention des emplois verts se profile la destruction de milliers d'emplois réels.
Les mécanismes financiers sont-ils nécessairement ennemis des marchés traitant les matières premières agricoles ?
R. Pachauri, président du GIEC a été reçu par le gouvernement. Pour le ministère de l’Écologie, « il est encore temps d’agir ».
Les Français attendent des médias, et particulièrement de France Culture, qu'ils soient plus objectifs.
Connait-on réellement l'objectif du développement éolien ?
L'éolien génère un marché à la fois immoral et opaque. Un éclairage sur la question.