La crise de la dette est devant nous
Si aujourd’hui les Français réagissent avec retard à la pression fiscale, ils seront amenés dans quelques mois à se révolter contre la dette publique.
Si aujourd’hui les Français réagissent avec retard à la pression fiscale, ils seront amenés dans quelques mois à se révolter contre la dette publique.
François Hollande nous annonce régulièrement la fin de la crise en Europe. En vain.
S'il advenait que Chypre fasse faillite ou sorte de l'Euro, la crise prendrait une tournure très novatrice, aux implications plus profondes que la faillite de Lehman Brothers.
À Chypre, les cobayes du laboratoire d’expérimentation de l’UE n’ont pas dit leur dernier mot et veulent se battre pour tous les Peuples d’Europe.
Quel est le vécu des Grecs suite aux mesures d'austérité qu'ils subissent ?
Comment repenser les institutions qui fondent la solidarité nationale, cause première de l'inflation de l’État et du ralentissement de l'économie ? En favorisant le retour de la société civile.
On aurait pu espérer que la crise de 2008 provoque une sévère cure d’humilité chez les soviétologues qui défilent dans les médias.
La gestion actuelle de la crise en Europe obéit, avec évidence, à des principes inverses de la méthode fondatrice de notre Union européenne.Ce nouveau capitalisme européen est caractérisé par la privatisation de gains (actionnaires des banques et opérateurs financiers) et la socialisation des pertes, aux antipodes de l'économie de marché et de l'équité sociale.
Le fonctionnement de la société libérale, qui repose sur les droits naturels, met en avant des valeurs saines : l’honnêteté, le travail, l’épargne, la prévoyance