Le 12 novembre, France a dépensé toutes ses recettes de l'année
La situation financière de la France est très dégradée et n’est pas près de se normaliser.
La situation financière de la France est très dégradée et n’est pas près de se normaliser.
En utilisant les cinq leviers décrits dans un rapport récent de l’Inspection des Finances, des pays européens proches de la France ont su réduire les dépenses publiques.
Le dernier chiffre du déficit pourrait faire croire à une amélioration des finances publiques. En réalité, la progression du « hors bilan » ou "dette noire" est très inquiétante.
La baisse de la dépense publique à la petite semaine est vouée à l'échec. Le temps est venu de repenser le périmètre de l'action publique, en s'inspirant des exemples étrangers.
Macron et son Premier ministre sont apparemment cohérents quand ils demandent au ministère de la Défense de réduire ses dépenses. En fait ils font quatre erreurs de méthode.
À l’heure où les débats sur l’augmentation des impôts – ou sur leur hypothétique réduction – s’invitent dans la campagne législative, il est sain de prendre le temps de s’arrêter sur ce que signifie l’impôt pour une communauté.
Vendredi dernier, l'INSEE dévoile les "bons chiffres" du déficit public français, qui atteint presque l'objectif des 3 % : c'est pourtant l'arbre statistique qui cache la forêt de la dette publique. Une analyse approfondie de l'économiste Philippe Lacoude.
Après la lepénisation de la droite, voilà venir le temps de la sarkozisation du PS.
Les quatre sophismes qui ont définitivement enterré la réforme.
Et si la déflation n’était qu’un bouc émissaire masquant l’échec dû aux mauvaises décisions récentes, et aux non-décisions actuelles ?
Il existe de réels moyens de réduire la dépense, qui ne seront sans doute jamais appliqués faute de dirigeants dignes de ce nom.
Même si, pour le gouvernement, c'est un effort insurpassable sans quoi tout serait politiquement perdu, il n’en demeure pas moins vrai que, déjà, les carottes sont cuites...
Conférence de presse : que penser des annonces faites par François Hollande ? Le plus dur reste à faire : réduire la dépense publique et passer aux actes.
La Commission européenne ne croit pas aux baisses de dépenses françaises. Autrement dit, des impôts devront les remplacer, et c'est encore vous qui payerez.
Alors que la réduction de la dépense publique est devenue inéluctable et devra être mise en œuvre par un gouvernement qui traîne des pieds, la réduction des dépenses sociales ne peut être écartée.
Augmenter les impôts est la pire des méthodes en période de crise budgétaire. Baisser les dépenses publiques a toujours eu de meilleurs résultats. François Hollande devrait s'en inspirer.
Une réponse autrichienne au débat sur l'austérité par l'auteur de The Tragedy of the Euro, traduit en français ce mois-ci aux éditions de l'Harmattan.
Qu'est ce que la falaise fiscale qui menace les Etats-Unis ? Comment l'éviter ? Avis d'experts à lire dans notre dossier spécial
En l'absence d'économies, le budget 2013 est un faux remède aussi dangereux que ceux imaginés par les médecins de Molière qui tuaient le malade en prétendant le soigner.
Pas de réduction des dépenses publiques et hausse des impôts : le secteur privé est le seul a supporté l'austérité.