Conférence sociale de Castex : un bide
Il est urgent d’arrêter de croire que tout s’obtient sans effort, par le miracle d’une solidarité qui n’est qu’une charité bidon faite d’abord avec l’argent des autres.
Il est urgent d’arrêter de croire que tout s’obtient sans effort, par le miracle d’une solidarité qui n’est qu’une charité bidon faite d’abord avec l’argent des autres.
Le coût de la pandémie ne peut être imputé même en partie aux deux branches vieillesse et chômage, alors qu’il est largement dû aux carences de l’État.
Le gouvernement veut encore rigidifier l'assurance chômage. Ce n'est pas la bonne recette pour améliorer le marché de l'emploi, comme l'ont démontré nos voisins plus performants.
« En marche » signifie faire des petits pas pour maintenir le système social plutôt que de grandes enjambées qui risqueraient de tout bloquer. La réforme(tte) de l’assurance chômage doit avant tout se lire politiquement.
Le gouvernement reçoit les partenaires sociaux pour leur présenter les réformes de l’assurance chômage et de la santé au travail. Cette méthode de rencontres bilatérales permet de « cornériser » progressivement les organisations syndicales.
Au nom de l’égalité et d’un semblant de justice sociale, le gouvernement envisage une fois de plus de prendre aux uns pour redonner aux autres.
La question de la solidarité face au chômage donne l’occasion, à la République en Marche, de resserrer ses rangs autour des vieilles lunes hollandistes. Démonstration est faite de la distance qui sépare la majorité parlementaire et le libéralisme.
Les migrants seraient peut-être mieux acceptés si on remettait en question notre système social de solidarité forcée et notre Code du travail.
La Sécurité sociale française peut-elle continuer à se financer sur le travail ? Ou va-t-elle basculer vers l’impôt ?
Plutôt que de vouloir à tout prix le "contrôle des chômeurs', redonnons à la solidarité sa place originelle en abolissant la sécurité sociale.
Les professions libérales vont-elles prochainement cotiser obligatoirement à une assurance chômage ? Problèmes en perspective...
La réforme de l'assurance-chômage proposée par Emmanuel Macron repose sur trois piliers dont les fondations ne sont pas forcément très solides.
Protéger et libérer est la doctrine officielle du président de la République. Mais, avec le projet de loi de financement de la sécurité sociale qui se dessine, c’est plutôt la doctrine « protéger pour dominer » qui se dessine.
Avec habileté, le Président Macron fait avaler aux syndicats un nombre impressionnant de couleuvres. Face à lui, ce sont des confédérations en pleine déconfiture qui entament des retraites en ordre dispersé.
Lors de la présentation du projet de loi de finance 2018, le gouvernement a fait la promotion du pouvoir d’achat avec un effort notable de communication simplifiée par le biais d’un petit livret jaune.
L’universalisation de l’assurance-chômage n’est aucunement souhaitable.
Finalement, ils seront 11 candidats aux présidentielles de 2017. Une particularité française : la plupart d’entre eux présenteront des programmes économiques anti-libéraux, voire marxistes.
Il existe 3 solutions pour résoudre le problème de déficit de l'unedic, simples, efficaces mais qui nécessitent de la volonté de la part de nos dirigeants.
La rupture conventionnelle est en passe de devenir la norme en matière de séparation employé/employeur, au détriment de la démission, ce qui se traduit par l'augmentation du coût de l'assurance-chômage. Comment réformer ?
Une simplification majeure de la protection sociale permettrait à la fois un meilleur emploi des fonds publics, un potentiel d’économies et donc une réduction appréciable des prélèvements obligatoires.