La relance keynésienne n'empêchera pas faillites et plans sociaux
Sauf à croire encore au mythe du multiplicateur keynésien, ce n’est pas en injectant de l’argent public qu’on stimulera efficacement et durablement la demande.
Sauf à croire encore au mythe du multiplicateur keynésien, ce n’est pas en injectant de l’argent public qu’on stimulera efficacement et durablement la demande.
Bruno Le Maire a récemment exhorté les chefs d’entreprise à mieux payer leurs salariés. Le ministre de l’Économie ferait mieux de balayer devant sa porte.
Le prince Harry et son épouse Meghan Markle ont annoncé qu’ils renonçaient à leurs fonctions royales. Est-ce possible ?
Les médecins en grève n'obtiendront rien, pas plus que les patients, en réalité, même si les hôpitaux, eux, obtiennent une enveloppe juteuse.
Une croyance idéologique en la supériorité technique et morale de l’État couplée à la détestation de l’esprit d’entreprise : voilà qui explique de nombreuses catastrophes financières publiques.
L'argent public pervertit le jugement de tous les bénéficiaires de subventions et autres menus avantages accordés pour gagner leur consentement.
Tout, absolument tout ce qui assure notre vie sociale et économique, est payé au départ par le chiffre d’affaires des activités marchandes.
Trous noirs budgétaires, folie dépensière, gestion calamiteuse de l'argent des Français. Tout y passe, dans l'opus 2019 du Livre noir des gaspillages. Contrepoints l'a lu pour vous.
La nouvelle gare TGV à Montpellier est un fiasco. Mais ce n'est pas grave, c'est le contribuable qui paie...
Les privilèges dont jouit Alexandre Benalla ne sont pas une situation que l'on peut qualifier de "normale".
Laxisme budgétaire dans ses propres affaires mais brillantes idées pour gérer celles du privé, voilà la marque de fabrique de ce gouvernement qui se revendique pro-entreprise.
En France, ce sont les écoles indépendantes qui voient leur nombre augmenter. Puisque l’État ne parait pas vouloir agir concrètement pour redresser la trajectoire inquiétante que suit l’instruction scolaire, l’initiative privée prend le relais.
Si l’État peut parfois jouer un rôle de soutien de l’économie, son interventionnisme systématique peut devenir non seulement contre-productif mais aussi et surtout très dangereux pour l’équilibre monétaire.
Dénoncer le poids de l’État, c'est bien, mais c'est insuffisant : encore faudrait-il regarder de plus près où va l'argent et qui décide de sa destination. Une réforme qui serait trop délicate ?
Pendant que le contribuable est sommé de faire sans délai sa déclaration de revenus, l'argent public fait vivre grassement cette CGT qui ne respecte même pas ceux qui la font vivre.
Que faire pour que notre argent arrête de s'évaporer aux mains des pouvoirs publics ?
Il est temps que les pays qui dépendent de "l’argent des autres" apprennent à s’en passer.
Un sportif de « haut niveau » peut se voir offrir par l'État des années de cotisations au régime général d’assurance vieillesse !
Du pain et des jeux ! Oui, mais à quel prix ?
Sommes-nous condamnés à financer des syndicats minoritaires et incompétents ?