Des émeutes aux délires sur l’immigration

L’instrumentalisation politique, à droite comme à gauche, de la question migratoire pour expliquer les émeutes nous détourne des vrais causes.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 1

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Des émeutes aux délires sur l’immigration

Publié le 19 juillet 2023
- A +

Les émeutes de juillet 2023 ont renforcé les démagogies opposées sur l’immigration, compliquant un problème déjà grave. Pourtant il n’est pas démontré que la situation soit imputable aux millions de Français issus de l’immigration, qui sont dans une très large majorité intégrés à la société française et sont les premières victimes des troubles générés par une infime minorité d’entre eux.

Les émeutes consécutives à la mort d’un jeune mineur de 17 ans, tué par la police à la suite d’un refus d’obtempérer, ont réveillé les tenants de deux démagogies opposées :

Celle de l’extrême droite voulant bénéficier des voix des électeurs inquiets de « ces barbares qu’il faudrait priver de leur nationalité et expulser ».

Et celle de l’extrême gauche voulant bénéficier des voix des immigrés et de leurs sympathisants. Cela en faisant notamment du racialisme (pour moi, du racisme sous couvert d’antiracisme) la clé de toute analyse, et plus généralement en cherchant les occasions de détruire une société qu’ils abominent.

Dans mon analyse de la situation, je me limiterai à aborder l’immigration, qui est mon domaine de compétence, alors que la politique de la ville ou le comportement de la police ne le sont pas.

Voyons d’abord comment ces démagogies opposées se déclinent sur le plan politique.

 

Les positions des partis politiques

À droite, au centre, et pour une partie de la gauche, notamment les socialistes et les communistes, il faut répondre à la demande de fermeté, le drame originel étant renvoyé à la justice.

Cette demande de fermeté est ultra-majoritaire : 89 % des Français condamnent les violences contre la police, et 93 % contre les bâtiments. Le pouvoir les écoute et y répond en mobilisant 45 000 policiers et gendarmes, les forces d’élite, des blindés, des transports interrompus à 21 heures.

La justice se montre très ferme elle aussi : 3600 personnes placées en garde à vue, pour une population émeutière estimée à environ 10 000 personnes, et des comparutions immédiates s’enchaînent.

Mais l’extrême droite et une partie de la droite renchérissent cette demande de fermeté en invoquant l’urgence d’arrêter l’immigration, voire, même si ce n’est pas dit clairement, d’organiser des renvois massifs vers le pays d’origine.

 

D’où l’appel en creux à une expulsion massive, éventuellement à l’occasion d’une guerre civile. Ce n’est en général pas explicité, de crainte d’être traité de raciste, mais aussi parce que c’est juridiquement et matériellement impossible :

  • juridiquement, car 90 % des intéressés sont de nationalité française, leur pays de naissance étant en général la France ;
  • matériellement, parce que le pays d’origine de leurs ascendants (parents ou grands-parents) ne le permettrait pas, pour des raisons d’hostilité envers la France, ou de crainte d’accueillir des délinquants ou des opposants potentiels.

 

L’extrême droite n’évoque pas ces complications, car son but n’est pas de faire des propositions concrètes, mais de récolter les voix de ceux qui sont allergiques à l’immigration. Et les électeurs xénophobes sont nombreux, non seulement en Europe, mais dans la plupart des pays du monde, y compris africains : voir la Tunisie contre les Subsahariens ou les Sudafricains contre leurs voisins mozambicains.

À l’opposé, Jean-Luc Mélenchon n’a pas appelé au calme, soutenant indirectement les pillages. Il s’agit bien évidemment de récolter les voix des banlieues, mais, sur le plan des idées, ça reflète également le courant « multiculturaliste » (l’assimilation n’est pas souhaitable, car elle est une violence culturelle) et « postcolonial »(des populations à soutenir pour nous faire pardonner l’époque coloniale).

Bref, à droite comme à gauche, l’immigration est mise en cause, en général négativement ou, dans le cas de Jean-Luc Mélenchon, positivement en tant que force révolutionnaire.

C’est à mon avis, d’une part partiellement inexact, et d’autre part contre-productif.

 

L’immigration est-elle la source de la violence ?

J’entends d’ici vos réactions indignées : « Bien sûr que c’est l’immigration ! », avec ce commentaire de droite « Vous avez vu leur nom de famille ? » et ce commentaire de gauche : « C’est parce qu’ils ont été méprisés et discriminés. »

Regardons de plus près.

D’abord, le mot immigration a un triple sens, ce qui permet de dire n’importe quoi.

Sa définition et ses sens courants sont différents.

Sa définition : le nombre de personnes qui viennent chaque année s’installer en France, soit 200 à 250 000 personnes en général, y compris quelques milliers ou dizaines de milliers d’individus sans papiers.

Mais dans le langage courant, on entend par immigration le nombre de personnes d’origine étrangère, auquel on ajoute le nombre de leurs enfants, voire celui de leurs petits-enfants. On devrait donc plutôt dire personnes « issues de l’immigration ».

Ce nombre est impossible à chiffrer : pendant combien de générations peut-on considérer que tel individu est issu de l’immigration ? D’autant qu’en trois générations, il y a très souvent beaucoup de mariages mixtes. Mettons une dizaine de millions de personnes, même si on peut défendre un chiffre supérieur ou inférieur.

Toujours dans le langage courant, on parle de l’immigration, au sens courant du terme, comme s’il s’agissait d’un bloc. Or, au contraire, l’immigration est extrêmement fractionnée : il y a des oppositions entre les Arabes, eux-mêmes divisés en groupes rivaux, et tous les autres (Kabyles, Subsahariens, Asiatiques, eux-mêmes très fractionnés), sans parler de la variété dans chaque origine : un médecin algérien n’est pas comparable à un trafiquant de drogue !

Cela a deux conséquences.

L’une morale : on ne peut généraliser un jugement à des individus aussi variés ; et l’autre dans le domaine de l’ordre public : ils ne s’agiteront pas ensemble. Bref, il n’y a pas un bloc « remplaçant » la population ancienne.

Un mot sur les ghettos : il me semble tout à fait naturel que les nouveaux arrivants s’installent là où ils trouveront des compatriotes, des cousins, des personnes du même clan, de la même langue ou de la même religion. Les premiers grands ensembles souvent visés ont été construits pour accueillir des migrants venant des campagnes françaises dans les années 1960-70, qui les ont peu à peu quittés au fur et à mesure de l’achat du pavillon de leur rêve. Ce phénomène continue. Ceux qui ont réussi partent s’installer ailleurs, ce qui maintient le ghetto dans la pauvreté. Personnellement, j’y vois un phénomène naturel et non une ségrégation, mais j’ai constaté des témoignages contradictoires sur ce sujet.

Enfin, pour une partie du public, parler de l’immigration est une façon déguisée d’évoquer les musulmans, supposément inassimilables.

Or, les émeutiers n’ont été que quelques milliers, de 8000 à 12 000 selon le ministère de l’Intérieur, qui déplore que leur comportement va jeter la suspicion sur les deux millions de jeunes de moins de 24 ans (selon l’Insee) qui vivent dans ces territoires.

Une dizaine de milliers, c’est bien sûr beaucoup trop, mais rien à voir avec le nombre d’étrangers et leurs descendants, ou d’électeurs de tel ou tel parti, ou du nombre de manifestants d’un des récents défilés contre la loi sur les retraites.

D’après OpinionWay-Pollitics cité par L’Opinion, 64 % des sondés estiment que ce n’est qu’une petite minorité des habitants des banlieues qui ont soutenu les émeutes.

Et étaient-ils tous issus de l’immigration ? Des enquêtes sont en cours pour le préciser.

Inversement, un nombre bien plus important d’individus issus de l’immigration – élus, mères, voisins, grands frères, parrains, et même Kylian Mbappé – se sont précipités dès la deuxième nuit de violence pour demander qu’elles cessent. Ils ont fini par réussir, et les jeunes émeutiers ont été dès lors perçus comme des délinquants détruisant leur quartier, et non plus de légitimes révoltés.

Car il faut rappeler que la grande masse des immigrés est victime, et non acteur, des violences : les propriétaires et les clients des commerces, les propriétaires des voitures incendiées, les usagers des services publics détruits sont souvent des voisins, et parfois des parents : « Des mères, des pères, se sont organisés afin de défendre les biens communs sur lesquels ils s’appuient pour construire une vie digne », rapporte Didier Leschi, directeur de l’Office de l’immigration, dans L’Express.

 

L’islam est-il en cause ?

Certains commentateurs évoquent l’immigration en visant en fait l’islam : à droite pour faire peur, à gauche pour dire qu’il faut respecter les différences.

Mais je n’ai rien remarqué de religieux dans les slogans, et les imams, qu’ils soient républicains ou islamistes, courent derrière les jeunes violents pour les calmer.

Rappelons que beaucoup de maires de banlieue se sont laissés séduire par des associations islamistes pour encadrer les jeunes, et les éloigner de la violence ou de la drogue.

Certains continuent, mais d’autres se sont aperçus qu’ils favorisaient ainsi le communautarisme, voire le séparatisme.

De toute façon, c’est un problème différent, totalement indépendant de la question de la destruction et du pillage.

D’ailleurs, les jeunes en question sont-ils musulmans ?

Oui, dirons ceux qui pensent que la religion se transmet automatiquement de père en fils, ou, plus sérieusement, qu’elle a un rôle identitaire. À nuancer très sérieusement, comme exposé dans la partie « islam et assimilation » de mon article de novembre 2020.

 

Il n’y a pas que des acteurs de bonne volonté pour vouloir le retour à l’ordre.

Le rôle des trafiquants de drogue aurait été important, témoignent bon nombre de maires. Les troubles et le déploiement massif de forces de l’ordre ne sont pas bons pour leurs affaires.

C’est ainsi qu’à Marseille, c’est le centre-ville qui a été pillé, épargnant les quartiers nord.

Et, comme nous venons de l’évoquer, les islamistes prêchent la bonne conduite… du moins tant qu’il ne s’agit pas de répondre à un blasphème…

En sens inverse, il y a des professionnels de l’émeute.

À l’extrême gauche, tout ce qui peut détruire la société est bon à prendre, ainsi qu’à l’extrême droite, tout ce qui pourrait montrer qu’une guerre civile est inévitable.

Toujours à droite, on se scandalise de la culture de la haine de la France.

Il est vrai que le gouvernement algérien inonde son école et ses émissions de télévision de tout ce qui peut donner une image négative de la France. Mais ce n’est pas le cas des autres pays d’origine, sauf, depuis peu, au Mali sous influence russe.

Quant aux Algériens et à leurs descendants, une partie s’est installée en France, justement parce qu’elle ne supporte pas le gouvernement algérien ou les islamistes.

 

Les apports de l’immigration dépassent les difficultés de sa gestion

Il faut se souvenir que plusieurs pays ont réussi grâce à l’immigration, les États-Unis pour commencer.

Cela après avoir vu l’ordre public perturbé un premier temps par des périodes de violences et de guerres des gangs, dans lesquelles ce sont notamment illustrés les immigrants italiens. Rétrospectivement, ça en valait la peine.

Cet exemple des États-Unis nous rappelle le rôle positif de l’immigration dans le développement : sans immigration en France depuis 40 ans, qui aurait construit nos immeubles, vidé nos poubelles, soigné nos vieux et nos malades, gardé nos enfants ou fait tourner nos banques et nos commerces ?

Et la situation est pire dans d’autres pays, qui officiellement refusent l’immigration, mais sont bien obligés de l’autoriser en pratique pour pouvoir continuer à tourner, ou même tout simplement à exister.

En Italie, le gouvernement de droite élu sur la promesse de limiter l’immigration vient au contraire d’ouvrir les vannes. En effet, les jeunes se font rares dans ce pays, soit parce qu’ils ne sont pas nés, soit parce qu’ils sont partis en Allemagne. Les vieux sont abandonnés et l’économie menace de s’effondrer.

Résultat : un décret du 7 juillet 2023 augmente les quotas d’immigrés légaux admis sur le territoire italien pour travailler :

  • 136 000 personnes en 2023,
  • 151 000 en 2024,
  • 165 000 en 2025.

 

De plus, 40 000 entrées supplémentaires seront régularisées rétroactivement au titre de 2022 pour des postes dans l’agriculture et le tourisme.

Remarquons qu’il s’agit d’actifs, ce qui signifie qu’un jour ou l’autre ils seront rejoints par des conjoints, des parents, des enfants…

Bel exemple de démagogie, utile pour gagner une élection, mais qui se heurte à la réalité.

Bref, demander la fin de l’immigration est une réponse facile totalement abstraite et contre-productive à une question très mal posée !

 

Alors, que faire pour régler la violence ?

Comment font les Anglo-Saxons ?

Les pays anglo-saxons ont l’habitude d’une immigration massive.

En Angleterre, les arrivées ont largement dépassé les 600 000 personnes en 2022, dont une grande partie est musulmane, en provenance du sous-continent indien, et dont les descendants sont respectivement maire de Londres, Premier ministre et chef du Parti autonomiste écossais. Ces respectables gentlemen ne semblent gêner personne.

Je résume un peu sommairement le point de vue britannique, bien sûr variable suivant les partis politiques : « Chacun est libre de s’habiller comme il veut, d’avoir les idées qu’il veut, d’être islamiste si ça l’amuse. Ils ont des élus locaux, qu’ils se débrouillent avec eux ». Il y a tout de même eu des arrestations et des expulsions d’islamistes quand ces derniers se regroupaient à Londres pour organiser leurs actions internationales.

Aux États-Unis, où l’immigration musulmane est relativement très faible par rapport à l’immigration catholique d’Amérique latine, c’est cette dernière qui est (un peu) dans le collimateur de certains, mais elle est demandée par les employeurs, le tout dans l’indifférence envers les concentrations locales des diverses communautés. Et la Silicon Valley est alimentée par des Indiens.

Supprimer les contrôles d’identité ?

Bien que cela sorte de mon domaine de compétence, je vous signale la suggestion suivante : supprimer la très grande majorité des contrôles d’identité.

C’est un sujet ancien et très débattu. Voici le résumé d’un article sur ce sujet.

En Angleterre, après les émeutes de 2011, ces contrôles sont passés de 150 000 en 2008-2009 à 1000 en 2014-2015.

En Écosse, suite à un rapport de 2014, les contrôles ont baissé de 81 % en un an.

À New-York, lors du mandat du maire, Bill de Blasio, on est passé de 686 000 contrôles en 2011 à 11 000 en 2016. Et la criminalité a alors baissé alors que la proportion d’arrestations et de saisies d’armes a fortement augmenté, la diminution du nombre de contrôles ayant libéré du temps aux policiers.

Repenser l’éducation

Ensuite, il me paraît nécessaire de faire un parallèle avec l’échec de l’Éducation nationale, malgré le dévouement de nombreux enseignants.

Malheureusement, une partie de ces derniers est bloquée par une idéologie célébrant une école uniforme, alors que la différenciation et la souplesse seraient nécessaires, tant pour l’intégration professionnelle que pour la culture générale.

Cette différenciation et cette souplesse sont évidemment plus faciles dans le privé que dans le public. Mais alors, pourquoi rationner ce dernier, qui est de plus en plus demandé ? Il y a là un blocage idéologique qui paralyse les politiques.

Pour commencer, on peut penser à un accueil bien plus massif à la formation au français, directement utile à l’emploi, et indirectement utile pour ne plus dépendre des informations biaisées de certains pays de départ ou des réseaux islamistes.

 

En résumé

Il faut en finir avec les démagogies opposées qui utilise le mot immigration, soit pour faire peur, soit pour angéliser les intéressés et obtenir leurs voix.

Nous avons vu que ce mot ne veut rien dire de précis.
Il faut sérier les vrais problèmes, dont le plus important me semble être l’école.

 

Sur le web

Voir les commentaires (34)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (34)
  • Nahel est de quelle origine ? Comme l’immense majorité des prisonniers. Comme, enfin, les statistiques sur la délinquance ont le droit de le dire. Comme ceux qui agressent les archéologues-femmes à Saint-Denis. Comme ceux qui ont fait disparaître les jupes dans cette même ville. Comme ceux qui agressent sexuellement des gamines et des nonagénaires. Etc. Etc.
    En effet, l’immigration n’est pas un problème. C’est une certaine immigration qui est un problème. Et comme notre État a renoncé à les éduquer à notre culture, alors oui, cette immigration doit cesser ou être expulsée. Mais notre État a aussi renoncé à sévir. Je rigole quand je revois Bilongo se faire éjecter d’un groupe d’émeutiers « racisés » (mais attention, les émeutes n’ont rien à voir avec l’immigration bien sûr 🙄) ou le Maire de Trappes idem, je rigole jaune parce que ces faits sont révélateur de la déliquescence atteinte.
    Quand les Français, quelle que soit leur origine, en auront assez de cette situation qui ne fait qu’empirer, que se passera-t-il ?

    19
    • Comme notre état a renoncé à éduquer et sévir ce serait donc lui qu’il faille expulser ?

      • C’est une idée en effet. Mais l’Etat les utilise à bon escient, je re-entends « moi ou le chaos », « attention à l’extrême-droite ». Cette immigration leur a été utile. Ils ont juste oublié que la force du nombre d’une certaine immigration, celle dont la religion est plus importante que tout, allait leur revenir en pleine face. L’expérience de Bilongo qui se prend un coup de batte à l’arrière de la tête, celle du Maire de Trappes, montrent que, contrairement à ce qu’ils croyaient, cette immigration-là ne leur mangera pas dans la main, au contraire.
        Ce qui est scandaleux, c’est que leurs calculs à la petite semaine ont transformé la France en un pays dangereux, dans lequel nos femmes et nos filles en 1er lieu ne peuvent plus vivre en sécurité.
        C’est impardonnable.
        Et encore maintenant, face à l’évidence que de plus en plus de Français de toutes origines voient (la montée du RN en parallèle de Reconquête le prouve ainsi que les pays nordiques), ils continuent de conspuer ceux qui veulent rétablir la sécurité ! En fait, ce sont des traiitres à leurs compatriotes.

  • Il n’ y a pas seulement des esprits délirant qui s’ alarment d’ un point de bascule imminent. Je me demande même en toute innocence, puisqu’ il y a un temps pour tout et des temps nécessaires à l’ éducation et l’ instruction des esprits, si le sujet de l’ école est vraiment prioritaire.

  • Salah Abdesalam est un citoyen français Est il français ?
    10.000 émeutiers ? Ils ont été particulièrement efficaces face à 40 50.000 policiers et gendarmes ..
    Vraiment du grand n’importe quoi..

  • 1- 10000 émeutiers ? 45000 policiers ? Le rapport est inquiétant sur les capacités a rétablir l’ordre public. Bien évidemment, ils étaient bien plus, certains disent entre 100 et 200000.
    2- vous êtes favorable à l’immigration, très bien c’est votre choix. Nous sommes contre, quand est qu’on nous écoutera ? Quant aux immigrés qui ramassent les poubelles, les français peuvent le faire, il faut repenser le monde du travail

  • Vous avez pris vos cours chez Terra Nova ???

  • Merci de confirmer qu’il y a plusieurs types d’immigrés et que certains type immigrés sont bien problématiques, discours que tiens l’immense majorité des électeurs d’extrême droite 😉
    Les médias aiment bien généraliser pour contrer l’argument précédent et montrer leurs chiffres sur le pourcentage de nationalités françaises… Qui ne veut rien dire au final, car une personne née d’une famille immigrée en France sera forcément française, même si toute sa famille l’éduque avec la haine de la France et la victimisation en gestion de vie…

    • Ils font pareil avec « le fait religieux » qui reviendrait en force et poserait des problèmes, alors qu’il n’y a qu’une religion (également défendue par M. Montenay) qui pose problème…

  • Yves Montenay, un doux rêveur… en plus avec des chiffres faux. L’immigration de l’année dernière est estimé à 500 000 personnes. Il faut de l’eau, de l’électricité, des logements, des hôpitaux pour pouvoir accommoder toutes ces personnes.
    D’où vient le financement ? Avant même les violences, c’est déjà un problème. Ça pèse forcément sur le niveau de vie des Français.
    Le problème, c’est qu’on donne la nationalité française à tout le monde, spécialement à ceux qui sont susceptibles de voter socialiste. C’est en partie comme ça que les socialistes se sont maintenus au pouvoir depuis 1981. La nationalité française est devenu un paillasson sur lequel tout le monde s’essuie les pieds. Ce n’est pas parce qu’on vous a gentiment donné la nationalité française que vous êtes français à proprement parler. Et ça ne me dérangerait pas que tous les bi-nationaux fauteurs de troubles soit déchus de leur nationalité française et renvoyés dans leur pays et tant pis si c’est un pays en guerre, il fallait mieux réfléchir avant.

    11
    • En effet. M. Montenay est un démographe obsédé par l’idée qu’il suffirait de doubler, quoi qu’il en coûte, le plus vite possible la population de la France pour résoudre miraculeusement tous ses problèmes. Il ne veut pas admettre que la production de richesses ne soit pas liée à la quantité de ce que les démographes appellent des « actifs », en mélangeant allègrement aux véritables créateurs de richesses les chômeurs, les délinquants, les mères subventionnées à pondre des enfants, les enfants, les éternels étudiants, les fonctionnaires payés à administrer tout ça et le système d’aides publiques, etc. Il ne veut pas admettre non plus qu’une grande proportion de la population est devenue des intermittents de la création de richesses et des permanents du gaspillage et de l’accaparement des richesses créées par leur prochain. C’est l’exemple de cette partie qui attire les migrants et ravit les paresseux, pendant que les grands créateurs de richesses s’exilent vers des cieux où leur travail reçoit en totalité sa juste récompense. Autrefois, la nationalité française correspondait à une reconnaissance de l’appartenance à ce système créateur de richesses. Aujourd’hui, c’est un droit à une part des richesses qui y sont créées ou achetées par la dette, sans autre condition que de soutenir par son vote le pouvoir en place.

      • D autant que cette immigration non choisie est une une immigration de personnes non qualifiée contrairement à ce qui se passe en Allemagne ou le Canada etc Mais hélas nous n avons plus qu’une industrie minime et nous recevons les moins qualifiés et avec une religion chevillée au corps

  • Fantastique article comique, merci j’ai beaucoup ri….
    Ha c’est sensé être sérieux ?

    J’ai du me tromper de site et arriver sur Le Monde ou BFMacronTV.

    J’ai particulièrement les UK cités comme exemple d’immigration et intégration réussi, à moins de vivre dans une grotte les 15 dernière années, il fallait oser….

  • Je confirme que la formation au français pour les jeunes migrants est une honte absolue au sein de l’éducnat. Le système balance en classe des gosses qui ne parlent pas un mot de français ; j’en ai vu qui arrivaient du Mali avec comme bagage scolaire quelques années d’école coranique et comme langue le bambara. Les cours de FLE (Français Langue Etrangère) sont rationnés et soumis à des conditions d’accès absconses. Tout cela est peu pour suivre une scolarité utilement, même en CAP.

  • monsieur Montenay
    ce sont vos idées et vous les partagez … dès que je ne serai pas d’accord avec vous , je serai soumis au sceau de l’infamie qui fonctionne depuis 1981 .. le problème du pays que vous le vouliez ou non ,c est arrivée de gens ,que nous ne souhaitons pas recevoir , qui ont des cultures différentes , qui ne parlent pas français, mais qui ont des besoins de base évidents à satisfaire … ce qui coûte cher, pour un pays dont les finances et la fiscalité ne sont pas à montrer en exemple au monde entier . Si les gens qui arrivent, clandestins ou pas ,ne s’intègrent pas, si leurs descendants ont la haine du « Cefran » , malgré le s milliards investis et dépensés , que faut il faire ? ouvrir encore plus largement les frontières, ou au contraire essayer de bloquer. tout ce qui peut l être. ,même les pays nordiques s’y mettent , mais nous ce serait impossible… vous devriez regarder le plateau de Cnews , il y a toujours des français d’origine maghrebine parfaitement intégrés qui sont le plus ardents défenseurs de la « francitude  » et du contrôle ferme de nos frontières , c’est quand même incroyable que ces personnes soient à vos yeux des gens d’extrême droite non fréquentables .

  • L’immigration est un problème pour les Français quand les Français estiment que c’est devenu un problème.
    Le fameux sentiment.
    Un signe parmi d’autres : la montée sans faille du RN depuis 20 ans. Qui recouvre – sans hasard – la reprise d’une immigration forte depuis les années 2000.
    Il n’y a que « quelques » 10000 émeutiers (sur 5 millions de musulmans).
    Certes.
    En 1972, il n’y avait que « quelques » 16000 tués sur les routes pour 20 millions d’automobilistes.
    Ça a pourtant suffit pour lancer une immense politique de sécurité routière, toujours plus répressive.
    C’est l’étincelle qui fait déborder le vase !

  • « Ce n’est pas lié à l’immigration, ce sont juste des individus, seulement 10 000 »
    –> Pour ces 10 000 (ou 200 000 ?) supporters anglais, il y a tout un environnement familial et social, qui ne voit pas le mal et ne reproche à ces émeutiers. C’est comme le terrorisme, il n’y a pas les méchants terroristes d’un côté et les gentils musulmans de l’autre, mais un halo de pensées et de pratiques qui vont de la parfaite intégration au soutien passif et actif des terroristes.

    « Les victimes, ce sont d’abord les immigrés des quartiers »
    –> Non, les victimes ce sont tous ceux qui ont subi la violence, la perte matérielle ou pire…

    « On a besoin des immigrés pour vider nos poubelles… »
    –> je pense qu’on pouvait se débrouiller tout seul ou choisir des provenances plus intéressantes. Je concède que la démographie est un problème, à nous collectivement de savoir si on veut disparaître ou non.

    « Les gentlemen en UK »
    –> https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_viols_collectifs_de_Rotherham (sûrement rien à voir avec l’immigration ni la couleur de peau non plus)

    Bref…comme les Danois ont fini par comprendre, le socialisme finit mal, mais le socialisme + l’immigration finit mal encore plus vite…

  • « Cet exemple des États-Unis nous rappelle le rôle positif de l’immigration dans le développement : …
    Le développement des USA s’est fait en traitant les autochtones pour quantité négligeable. C’est sûr que sans immigration, il n’y aurait pas eu de développement des USA. La France,elle, était déjà un pays développé avant les grandes vagues d’immigration.

    « …sans immigration en France depuis 40 ans, qui aurait construit nos immeubles, vidé nos poubelles, soigné nos vieux et nos malades, gardé nos enfants ou fait tourner nos banques et nos commerces ? »
    Ben, les Français, tout simplement. Du fait de leur relative rareté, nous les aurions payés plus cher, mais il n’y aurait pas eu de chômage, et nous aurions pu plus aisément assimiler les quelques étrangers qui seraient tout de même venus s’installer dans notre pays.

  • « Il faut se souvenir que plusieurs pays ont réussi grâce à l’immigration, les États-Unis pour commencer. »

    J’adore…
    Il a oublié l’Australie ou la Nouvelle Zélande, et le Canada.

  • Cet argument fallacieux me fait toujours rire : « sans immigration en France depuis 40 ans, qui aurait construit nos immeubles, vidé nos poubelles, soigné nos vieux et nos malades, gardé nos enfants ou fait tourner nos banques et nos commerces ? »
    Zemmour a parfaitement répondu : les employés ont la couleur de leur quartier. Si Yves Montenay ne voit que des Noirs et des Arabes dans les camions poubelles parce qu’il arpente le 9-3, dans ma petite ville du Var je ne vois que des Blancs…
    Il me semble que les 1ers immigrés ont été les Italiens Espagnols et Portugais, ce sont eux qui ont construit nos immeubles mais vous l’avez oublié parce que eux se sont intégrés et que leurs descendants aujourd’hui passent inaperçus, ne revendiquent rien.
    J’ai vécu à Paris dans les années 90. En ce temps-là, c’étaient les Portugais qui y étaient les immigrés les plus nombreux : jamais un problème. La plupart étaient concierges, comme vous dites, qui aurait gardé nos immeubles s’ils n’avaient pas été là ? Ok… et ? Vous entendez les Portugais réclamer des passe-droits ?

  • L ‘auteur se base sur des données erronées du ministre Darmanin
    La dernière enquéte démontre que les émeutiers étaient plus de 120000 et non 8000à10000 .
    Il n’y a donc pas de délire sur l’immigration . Les français eux ne se laissent pas tromper par les fakes news du ministre concerné

  • Je prends connaissance après l’écriture de l’article qu’une petite majorité des prénoms ne sont pas «arabo-musulmans », ce qui était prévisible au vu de la géographie des incidents. Connaissant bien le monde musulman, je rajoute que les prénoms ainsi qualifiés peuvent être arabes sans être musulmans (chrétiens ou sans connotation religieuse), ou pas arabe et utilisés par différentes religions en Afrique subsaharienne. Bref une raison de plus de constater que ce problème grave n’est pas lié à l’immigration ou à l’islam : relire l’article au lieu de s’offusquer, et regarder plutôt du côté de l’école.

    -4
    • Non, non, les émeutes n’ont rien à voir avec l’immigration musulmane depuis des décennies… Mdr.

    • En effet, regardons du côté de l’école : l’offensive est massive. Voile réclamé, suppression progressive du porc, lutte contre la piscine, cours d’histoire modifiés, menu de remplacement souvent halal (les juifs qui n’avez jamais rien demandé, continuez de vous taire), désormais abaya et prière dans les facs, chaque année voyant arriver des nouveautés… tout cela n’a vraiment rien à voir avec l’immigration ni surtout l’islam ?
      La réponse étatique en face est ridicule, en effet, les problèmes sont niés, car « pasdevague ».
      Pourtant, les parents de ces enfants ne sont pas nouvellement arrivés en France, ils sont venus ici en parfaite connaissance de notre mode de vie. Ou, pire, ils sont nés ici et leurs grands-parents s’étaient , eux, parfaitement adaptés. Alors, l’école est-elle seule responsable ? Ou le refus de s’intégrer, le refus de donner à la nation d’origine une place secondaire, le souhait de vivre entre-soi, de cultiver une position victimaire permettant de réclamer des excuses et des compensations, tout cela n’est-il pas bien plus fort pour eux que simplement s’intégrer ?

  • J’ai lu que , suite à la sortie « Kevin et Mattéo » de Mr. Darmanin, un étude des prénoms des émeutiers appréhendés avait été réalisée. Et bien même n’ayant pas porté sur l’Ile de France (et donc le 93) le premier prénom de la liste était ….. Mohamed. Pour moi cela traduit bien « quelque part » une corrélation avec l’immigration.

  • Regard intéressant , qui a le mérite de renvoyer RN et LFI dos à dos . Je vous trouve cependant bien trop doux avec les gouvernements successifs qui depuis 50 ans nous ont menés à la hausse vertigineuse de ces deux partis . Je vous suis sur la demande de justice mais l’état y répond bien trop faiblement , nos prisons sont indignes d’un pays tel que le nôtre et notre justice bien trop lente, si « un pognon de digue » TM devait être dépensé , c’est là . Quant au soldat Ed Nat , il serait urgent de le laisser mourir et de passer aux chèques éducation. Quelques points de désaccord : je suis personnellement contre la bi nationalité hors UE . A 18 ans , l état français devrait demander à la personne de choisir, quand on est bi national il est risible que l’on puisse prétendre être un français « comme les autres » , le français que je suis n’a pas de patrie de rechange. J’ai bien « ri » à la lecture de votre paragraphe sur les banlieues , on voit bien que vous n’y avez jamais vécu : les français de souche ne sont pas partis comme vous l’écrivez  » à mesure de l’achat du pavillon de leur rêve » mais pour fuir des villes dans lesquelles il n’était plus possible de vivre (dégradations , violence , trafics en tous genre , école en descente aux enfers ) je me suis gondolée sur le  » j’y vois un phénomène naturel et non une ségrégation » : pour vous c’est donc naturel de devoir déménager car l’état a démissionné (ou changé de camp) …. tant que l’on lira cela , que l’on refusera d’entendre les récits (nombreux) de personnes ayant fui de chez eux , ou bien contraints de rester la trouille au ventre , eh bien , on aura pas sorti le c*l des ronces et RN continuera de monter avec son ombre le LFI .

  • curieusement, les pays qui n’ont pas de problème avec les immigrés sont ceux qui les choisissent… (Suisse, Canada, USA…).
    En France, non seulement, il n’y a pas de filtre, mais l’Etat providence est une immense pompe aspirante.
    Le choc culturel fait le reste : culture tribale/ethnique des immigrés incompatible avec la culture européenne comme l’explique Maurice Berger, destruction par la France et l’Europe de sa propre culture.

  • FAITS DIVERS
    [Info VA] Sarthe : un clandestin guinéen incarcéré pour agression sexuelle sur une religieuse de l’abbaye Sainte-Cécile de Solesmes

  • L’immigration en soi ce n’est ni bien ni mal, c’est. Mais si ses conséquences (visibles statistiquement et en perception -désolé mais si tout le monde dans un coin est malheureux du fait d’un truc théoriquement bien, et bien ce truc est de facto créateur de malheur, donc mauvais, donc le « sentiment » d’insécurité, la « perception » d’un grand remplacement, etc. sont à prendre en compte autant que leur « réalité ») sont mauvaise, alors c’est qu’elle est mal conduite et qu’on doit changer la façon dont elle est conduite.

    La réalité c’est que notre « système social » attire les parasites (autant autochtones qu’allochtones) et donc conduit pour l’immigration à une sur-proportion de nuisibles. Dans le même temps le refus d’imposer des valeurs autres que celles, très théoriques, « républicaines » (et même là avec des pincettes) ainsi que le refus de prendre en compte la religion comme part intégrale (et à tout dire principale) de la culture conduit à la juxtaposition de populations qui ne connaissent pas, ne s’apprécient pas et pour l’une d’entre elle au moins n’est là que pour vivre aux dépens de l’autre… La recette d’une catastrophe.

    Pas étonnant que cette culture « immigrationniste » sans limites ait été poussée par l’URSS et soit devenu en premier lieu la marque de la gauche la plus étatiste (seul l’État survit si on a des groupes qui se haïssent ou se méprisent vivant sous le même parasol). Plus étonnant qu’elle ait été adoptée par les « libéraux » de gauche, qui oublient souvent la liberté (de ceux qui reçoivent l’immigration) et mettent en avant les aides collectivistes…

    Une immigration libre sera très bien le jour où 1° l’État ne distribuera plus d’aides à tout le monde, 2° les locaux, comme les autres, seront libres de commercer (ou de refuser de commercer) avec qui ils veulent sans craindre des poursuites « anti-discriminations » ou même d’être jugés. Impossible d’avoir un État providence (d’aucuns diraient juste « un État ») et une immigration qui ne soit pas sévèrement régulée… et remise en cause régulièrement par référendum ou autre.

  • M. Montenay,
    j’apprécie vos articles (même si je suis souvent en désaccord) pour leur ton dépassionné et argumenté.
    Mais là quand même vous commettez des erreurs factuelles.

    Deux exemples :
    « Le gouvernement algérien inonde son école et ses émissions de télévision de tout ce qui peut donner une image négative de la France. Mais ce n’est pas le cas des autres pays d’origine » .
    C’est une plaisanterie : la Turquie exhorte ses ressortissants à ne pas s’intégrer, parlant même de « crime contre l’humanité » dès qu’il s’agit d’assimilation !
    De manière générale, les télévisions arabes diffusent des « documentaires » et des feuilletons profondément anti-occidentaux ou anti-sémites (le Protocole des Sages de Sion par exemple).

    « le chef du parti autonomiste écossais » ne gène personne ?
    Ses accointances avec des partis islamistes posent problème à beaucoup.

    Je vous rejoins sur le fait de chercher une certaine concorde et de mettre en valeur tous ceux qui travaillent (et pas qu’à des emplois non qualifiés) et qui respectent leur pays d’accueil.
    Mais comment expliquez vous :
    le nombre ahurissant de graffitis hostiles à la France (Nique la France par exemple) ?
    le nombre exponentiel de voiles dans les rues ?
    l’explosion de la vente de viande hallal (alors que les lois de protection des animaux est censée l’interdire) ?
    le nombre de mariages au cours desquels sont brandis des drapeaux algériens, turcs ou marocains ?
    les quasis émeutes à chaque compétition sportive impliquant ces mêmes pays ?
    Il y a un réel problème d’assimilation.
    Et il y a bien une religion qui pose plus problème que d’autres. Et pas qu’en France.

  • Cher Monsieur, vous seriez apprécié au journal Le Monde…

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Si l’Iowa et le New Hampshire représentent vraiment l’opinion du Parti républicain, alors l’immigration sera le sujet des électeurs en novembre. Et avec la bataille constitutionnelle qui se pointe au Texas, les dialogues de sourds et les attaques fuseront de toute part pour les dix prochains mois.

En effet, las de voir autant « d’illégaux » traverser la frontière au Texas, le gouverneur Greg Abbott a décidé de la fermer à Eagle Pass (sud-ouest de San Antonio) depuis le 10 janvier. Il a utilisé la garde nationale pour installer des barb... Poursuivre la lecture

Le mouvement yéménite a-t-il l’autonomie et le pouvoir d’amorcer une crise internationale de grande ampleur, ou bien l’Iran est-il le véritable parrain de cette crise ? La priorité consiste à identifier les racines de cette situation, puis le déroulement des attaques récentes en mer Rouge. Enfin, vers quelles perspectives, l’intervention militaire des États-Unis, et diplomatique de la Chine, vont-elles faire évoluer cette situation ?

Le mouvement Houthi n’est nullement le résultat d’une génération spontanée, il est le produit d’un proc... Poursuivre la lecture

L’INSEE vient de publier un bilan démographique pour l’année 2023 qui met en évidence un affaissement de la natalité française. Selon des sources concordantes, celle-ci n’est plus guère soutenue que par la fécondité des femmes immigrées. Ce qui laisse entrevoir à terme une diminution de l’effectif global de la population, et une nouvelle configuration de sa composition ethnique et culturelle.

Faut-il s’en inquiéter ? Pour la plupart de nos concitoyens, cette question n’a pas de conséquence directe et immédiate, encore moins pour les re... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles