Pour ce collectif d’intellectuels, de politiques et de professionnels du monde économique, François Fillon incarne la seule véritable rupture libérale au sein de la campagne présidentielle. Si nous retrouvons parmi eux beaucoup d’amis et de collaborateurs de Contrepoints, notre journal tient à rappeler sa totale indépendance à l’endroit des différents candidats présents dans la course électorale. Sa vocation n’est pas partisane, et son but est de faire progresser la liberté en donnant la parole à ses défenseurs.
Après des décennies de stagnation économique, mais aussi de frustrations et de découragement, l’élection présidentielle peut être pour les Français une chance unique de rompre enfin avec ce passé médiocre et destructeur.
Mais cette renaissance n’est possible que si l’on rend aux Français leur liberté, cette liberté qui figure comme la première des trois valeurs qui font la devise de la République française, mais qui a été méprisée par les hommes politiques au pouvoir.
Permettre le progrès social
Par notre engagement au service de la liberté nous avons apprécié le langage de rupture de François Fillon.
Il a affirmé avec clarté la nécessité pour notre pays de limiter le cortège d’impôts et de réglementations qui accompagne un prétendu État-providence qui n’est en fait qu’un État-spoliateur. Il a fait le choix de la libre entreprise et du libre-échange. Il a rappelé avec courage les racines morales, juridiques et religieuses de notre culture nationale et les dangers du totalitarisme islamique.
Dans ces conditions, nous souhaitons qu’il poursuive avec ardeur et sans compromis une campagne où il apporte un souffle nouveau qui redonne espoir à des millions de Français découragés ; il leur montre la voie de la renaissance et de l’harmonie sociale.
Nous invitons ceux des médias qui ont pris François Fillon pour cible à cesser un harcèlement de tous les instants et sous tous les prétextes, à rendre à la démocratie française la mesure et la dignité dont elle a besoin dans ces prochaines semaines décisives pour l’avenir de notre pays et la survie de la liberté, à aider enfin nos compatriotes à retrouver le sens des valeurs qui ont fait notre Histoire et qui ont permis dans le monde l’épanouissement de sociétés prospères, paisibles et heureuses.
Liste des signataires
Pr. Florin AFTALION, économiste et professeur à l’ESSEC
Fred AFTALION, industriel et administrateur de la Maison de la Chimie
Sébastien AGUETTANT, industriel et président de Delpharm
Jacqueline BALESTIER, secrétaire général de l’ALEPS
Eudes BAUFRETON, directeur administratif
Paul BEAUMARTIN, entrepreneur et président du CEREL
Charles BEIGBEDER, entrepreneur et élu local
Pr. Gérard BRAMOULLE, économiste, professeur à l’Université Aix-Marseille et élu local
Pr. Jean-Pierre CENTI, économiste et professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Jacques COHEN, cadre bancaire
Me Charles de CORBIERES, avocat
Me Bernard COURTOIS, avocat
Pr. Chantal DELSOL, professeur à l’Université de Marne-la-Vallée et membre de l’Institut
Me Jean-Philippe DELSOL, avocat et président de l’IREF
Pr. Jacques GARELLO, économiste et professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Pr. Pierre GARELLO, économiste professeur à l’Université Aix-Marseille
Yvon JACOB, industriel et ancien député
Pr. Jean-Didier LECAILLON, économiste et professeur à l’Université Panthéon-Assas
Nicolas LECAUSSIN, essayiste et directeur de l’IREF
Yan LE MEN, président de la commission des assurances collectives de la CSCA
Pr. Bertrand LEMENNICIER, économiste et professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
Henri LEPAGE, économiste
Gérard LONGUET, ancien ministre et président de Région
Alain MATHIEU, entrepreneur et essayiste
Charles MILLION, ancien ministre
Hervé NOVELLI, ancien ministre
Benoît PAGET, président de Canibal
Pr. Pascal SALIN, économiste et professeur émérite à l’Université Paris-Dauphine
Marc de SCITIVAUX, économiste et financier
Me Patrick SIMON, avocat et président de l’ALEPS
Hervé de VEYRAC, assureur et président honoraire de l’AGEA
Bernard ZIMMERN, ingénieur et président de l’IREME
L’article est paru une première fois sur le Figarovox
Oui, c’est le projet qui a fait gagner la primaire à Fillon, et il fallait se douter qu’un candidat se réclamant de Thatcher verrait tout le système se lever contre lui.
Le risque est bien trop grand pour les socialistes que les libéraux se rendent compte qu’ils ne sont pas ultra-minoritaires et que le libéralisme (ou plutôt l’antisocialisme) a un réel socle d’adhésion dans ce pays.
Qu’ont gagné les socialistes avec cette incroyable cabale journalistique ? Créer le fort sentiment pour une partie énorme de la population qui réclame de profonds changements d’être prise en otage et muselée par la désinformation chronique et la manipulation.
Ils ont oublié que depuis Internet il avait une vie après la télé.
Continuez l’effort de rupture ,
Ooooouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
François Fillon !
Heuuuu, comment vous le dire…..
il reste celui dont le programme initial, celui pour lequel il a été choisi au sein de son parti, était le plus intéressant. Le fait est que la « cabale journalistique » citée ci-dessus semble avoir atteint son but : ne pouvant discréditer les idées, elle a discrédité l’homme, qu’importe si en juin il est blanchi par la Justice il sera trop tard.
Et si par un hasard extraordinaire il devait passer (tout peut arriver), il aura été suffisamment affaibli pour ne plus pouvoir faire un mouvement sans que les propriétaires de la rue de ce pays (les syndicat, le « camp du bien ») ne se sentent obligés de faire tout ce qu’ils peuvent pour le bloquer. Surtout si le mouvement devait menacer d’une manière ou d’une autre leur robinet à pognon gratuit (donc toucher à la sécu, à la formation professionnelle, au logement social et à tout ce qui tue ce pays à petit feu)
Comme vous le dites, Fillon ne peut plus appliquer le programme de Fillon !
Il faut donc que Fillon adouble quelqu’un pour appliquer le programme de Fillon.
Qui ? Un clampin quelconque ? Un politique interchangeable ? Un Péju hors du temps ? Un Coppé à 0,4% ?
Si le candidat à la présidentielle est aussi facilement que remplaçable, pourquoi s’acharner à en choisir un ?
Un tel projet ne peut être porté que par un candidat fort et légitime, pas par un ersatz ou un clone arbitrairement choisi.
Aucune solution…
Macron, c’est se prendre le mur de la dette à 200 km/h au lieu de 50 km/h.
Au moins on ne sentira rien
Désolé les gars, vos noms sont maintenant dans le haut de la pile du juge et des contrôleurs fiscaux. Être pour la liberté économique, c’est louche, très louche même, çà sent à plein nez l’argent volé aux fonctionnaire (où à l’état, c’est la même chose) à qui il revient de fait (pardon, de droit, mais c’est pareil aussi). L’argent est un monopole d’état, point barre. À la rigueur, les seules fortunes un peu acceptables (mais qu’on adore critiquer gentiment) sont familiales.
Continuez monsieur Fillon, tenez le coup. Nous vous avons élu aux primaires car vous étiez le plus apte d’après nous à redresser ce pays. Nous sommes encore très nombreux à vous faite confiance et à compter sur vous. Nous ne voulons pas de deuxième choix…Courage !