Portugal : ce que la dépénalisation des drogues a entraîné

La politique du Portugal en matière de drogues est révolutionnaire. Et ça marche.

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Portugal : ce que la dépénalisation des drogues a entraîné

Publié le 5 août 2015
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Le 1er juillet 2001, le Portugal a réalisé quelque chose d’extraordinaire : il a abandonné la guerre contre la drogue ou, plus exactement, la guerre contre les toxicomanes, en décriminalisant toutes les substances contrôlées.

Le Portugal essaie toujours d’interrompre la distribution de drogues, mais sur les quatorze dernières années, a cessé d’envoyer en prison ceux qui en possèdent ou en consomment.

 

Des résultats remarquables

Cette décision est d’autant plus remarquable que le pays avait bel et bien un problème à ce sujet : le Portugal était même au centre d’une « épidémie d’addiction » avec un Portugais sur cent dépendant de l’héroïne.

Mais avec ce changement de politique, les taux de MST et d’overdoses ont chuté de façon spectaculaire. Selon The Economist, depuis la décriminalisation, les morts provoquées par les drogues ont chuté de 80 %, de 80 morts en 2001 à 16 en 2012. En parallèle, et sur la même période, le nombre d’héroïnomanes a décru de moitié, en termes absolus.

 

Un focus sur la santé

La consommation de drogue est traitée comme un problème de santé publique et non comme un délit ou un crime, le gouvernement se concentre sur les traitements médicaux et la réduction des dangers de cette consommation. Ainsi, plutôt qu’avoir des policiers de plus en plus militarisés enfonçant des portes et opérant des fouilles corporelles aléatoires sur des individus pris dans la rue, le Portugal paye des psychologues et des spécialistes pour aider et accompagner les toxicomanes. Les ressources sont dirigées vers des seringues propres et des conseils médicaux au lieu de nouvelles menottes ou de cellules de prison.

On peut toujours pinailler pour savoir qui, de l’État ou des organisations caritatives, est dans la meilleure position pour résoudre les problèmes de santé des pauvres. On peut certainement être en désaccord avec la décision incohérente de maintenir illégal le versant production de drogues tout en légalisant leur consommation. Mais tous les amoureux de la liberté ne peuvent qu’applaudir le choix de s’écarter des politiques plus coercitives et plus violentes, et celui de s’approcher d’un plus grand respect de l’individu, de sa liberté de choix et, plus généralement, pour tout ce qui est pacifique.

À lire aussi :


Traduction Contrepoints de « What Happened (And What Didn’t) When Portugal Decriminalized Drugs »

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  • Il est fort dommage qu’ils n’aient pas juste tout libéralisé, mais il faut bien avouer que la fin de ces gaspillages policiers pour le harcèlement et la persécution des consommateurs est déjà un vrai gain pour la collectivité et pour chaque individu. Les non toxicomanes n’ont plus à subir les contrôles et fouilles qui ne les regardent pas ni a payer les policiers pour ces opérations. Les grands gagnants ce sont eux…

  • Pas seulement les liber1ux, les progessistes aussi devraient ce rejouir, une preuve de plus qu’ils ont totalement disparu de l’échiquier: ne reste que des conservateurs etatistes plus ou moins racistes…

  • Comment comptabiliser les consommateurs de drogue si l’usage est légal quant la distribution ne l’est pas ?

    • Je dirai que les méthodes pour comptabiliser les consommateurs de drogue quand la distribution est illégale ne doivent pas être très différentes que l’usage en soit licite ou non.

      • @Arno: Je pense que ca dépend des substances. Pour les joints par exemple le comptage des feuilles longue vendues donne déjà une idée. Dans le cas de la coke, c’est plus dur.

        Il parait que les analyses des eaux des égouts sont encore la méthode de comptage la plus efficace mais ça reste à prouver.

  • Je préfère Singap…

    • Ah le charme des vies gachées pour UN joint. L’exquise sensation de gloire et de puissance quand on voit un pauvre type agonisant au bout d’une corde un vendredi matin parce qu’il a voulu se faire eu un peu de fric en vendant un 500g (2000EUR de marchandise) de hash à des gens qui en voulaient… Il est beau ce système qui aboutit au plus haut taux d’éxécutions mondial: Mieux que la Chine, mieux que l’Iran, ou l’Arabie Saoudite. A Singapour on tue des gens pour refréner l’usage d’une drogue qui ne tue pas.

      Et puis quel délicates aprés midies que celles où vous vous faites amener de force sans besoin de soupcon ou de justification quelle qu’elle soit par la police pour pisser dans un bocal et voir si vous êtes positif? Vous étiez à Amsterdam il y a deux semaines? Tant pis! C’est interdit d’avoir fait des choses légales ailleurs! Faites moi rêver: Singapour où vous pouvez faire trois mois de prison si vous vous faites attrapper deux fois en train de boire une bière dans un lieu public (un truc super grave quoi!)

      Si de telles lois venaient à être promulguées en France il me semble qu’assassiner les policiers qui se rendent complice de leur application deviendrait un devoir moral.

      Le système de Singapour, la dessus, n’a rien à envier aux pires dictatures les plus rétrogrades. Je ne suis pas certain d’avoir des mots assez durs (et qui passent la modération) pour vous exprimer l’écoeurement que m’inspirent les trois mots que vous avez écrit.

      Pays de tarés approuvé par des malades mentaux.

      • Je ne connaissais pas cela sur Singapour.

        J’ai été regardé wiki, il semble que depuis 2006 il n’y a plus guère d’exécution (2 pas an)

        • N’importe quoi… On voit bien que vous n’avez pas lu la diatribe de Mitch. Il parle de droits fondamentaux et vous parlez de votre petit confort personnel. Ne connaissant rien de Singapour moi-meme, je note qu’apparemment les dictateurs sont tres accueillants…

      • Les gens qui agissent ainsi connaissent la loi et sont conscients des risques encourus. C’est trop facile de pleurer sur eux ensuite.

  • je serais d’accord avec vous si la « rédemption » des drogués ne se faisait pas aux frais de la collectivité .La liberté c’est aussi la responsabilité l là c’est je ‘ai le droit de me droguer si je veux ,c’est trés bien la coercition ne joue plus ,vive la liberté , tout va bien y a moins de morts. Ceux qui ne se droguent pas paieront pour moi.raisonnement semblable pour ceux qui exigent le droit d’avoir des rapports sexuels non protégés et qui court ensuite dans les hôpitaux quand ils attrapent une saloperie

  • Le Portugal est assez proche du bon sens.

  • Peut être n’ai je pas tout compris ?
    où est le principe de « responsabilité » de ceux qui consomment de la drogue ?

    Libre, peut être, mais alors il faut être responsable ! Responsable de ses actes et assumer !

    la conclusion de cet article est impayable : « plus grand respect de l’individu, de sa liberté de choix et, plus généralement, pour tout ce qui est pacifique. »

    ce n’est pas à la collectivité de payer pour ces mous du cerveau qui recherchent des paradis artificiels !

    « liberté de choix » , alors qu’ils assument !

    • D’un côté, c’est pas à la communauté non plus de payer pour votre rhum ou votre cancer. Le problème n’a rien de spécifique aux drogues.

      Cela dit, si vous préférez payer 3x plus pour des flics et des places en prisons (en plus de payer aussi pour les drogués, qui ne vont pas simplement arrêter de consommer leur came simplement parce que c’est interdits, et qui seront même plus nombreux, donc plus chers, comme le prouve l’article), c’est vous que ça que ça regarde.

      • Tout à fait d’accord, d’ailleurs les Français n’ont pas encore compris le système, puisqu’ils continuent de croire et soutenir la politique qui leur payer la facture pour engraisser des mafias étrangères venues profiter du fiasco répressif de la prohibition.
        Mais pour preuve du bon sens Français, un sondage qui proposait la gratuité des autoroutes le week-end, à été refusé à 70% !
        On n’est donc pas sortis de l’incurie, ni de la tyrannie qui a encore de belles années devant elle, à moins d’une prise de conscience collective… relativement improbable, au regard du « bon sens » évoqué ci-dessus…

    • Difficile de saisir l’impact de la « décriminalisation » en lisant l’article. On y parle de légalité de certaines activités et décriminalisation (comme en Californie) mais le titre évoque même la dépénalisation. Le texte dit que production ne signifie pas consommation de substance « contrôlées », mais cette « légalisation » précisément ne suppose-t- elle pas l’absence de contrôle?

      A étoffer s.v.p.

  • Les drogues aussi subissent des effets de mode.
    Tout mettre sur le compte de la depenalisation me semble hasardeux.

    De toute façon le drogué ne risque souvent pas grand chose(en france) et puis de toute façon il n’en a rien à faire.

    Curieux aussi comme les mentalités deviennent de plus en plus permissives pour les toxiques, et de plus en plus pointilleuses pour la mise sur le marché de produits chimiques, alimentaires, ou pharmaceutiques.

    • Il y à des drogues qui n’auraient jamais du être interdites en premier lieu surtout,
      comme le LSD ou la psilocybine, qui sont NON addictifs, et non destructeurs ,
      à l’inverse de l’héroine…

      • Chk: « qui sont NON addictifs, et non destructeurs »

        Physiquement non, psychologiquement c’est une autre histoire d’autant plus que ce ne sont pas les gens les plus équilibrés qui y touchent actuellement.

        • C’est juste, mais en même temps, tout peut être psychologiquement addictif, même manger des knacki peut l’être, véridique! Et dans ce cas le problème n’est pas réellement le produit, mais encore et toujours la responsabilité individuelle.
          C’est pareil pour l’alcool: ce ne sont pas toujours les gens les plus équilibrés et les plus modérés qui en boivent…
          Responsabilité, qui passe par éducation, instruction, et ce n’est pas évident.

          • Dr Slump: « C’est juste, mais en même temps, tout peut être psychologiquement addictif »

            Je pensais plutôt a « psychologiquement destructeur ».
            J’ai consommé les deux (fondue à la psylo du jura), j’ai un copain qui a fait un bad trip à cette occasion et je comprends qu’on puisse resté coincé dans une sorte de syndrome du miroir brisé destructeur.

            Pour la responsabilité, ceux qui pâtissent de ces consommations en manquent justement. Mais je suis quand même pour la dépénalisation, enfermer un type ne va pas changer ce qui a merdé dans sa famille, son éducation ou sa personnalité.

            • Oui, je suis d’accord. En même temps, il ne faut pas oublier que pour qu’il y ait responsabilité, il faut responsabiliser, et ça passe encore et toujours par l’éducation des parents, et par une information correcte et honnête sur les différentes drogues, de synthèse ou non, sur les différentes plantes, leurs effets et leurs risques associés, exactement comme on le fait avec l’alcool, sauf que l’alcool c’est tout de même plus simple d’apprendre comment ça fonctionne.
              Il faut cesser cet amalgame sur « la » drogue, tout mettre dans le même panier et frapper tous les différents produits du même sceau d’infamie et de dépravation: c’est ça qui à mon avis rend les drogues d’autant plus attirantes pour les jeunes écervelés. Donner une information correcte, factuelle à ce sujet, dédramatiser et jouer la transparence calmerait déjà pas mal la curiosité ludique qui peut être dangereuse pour les esprits non préparés.

          • Je t’assure que le cannabis n’a rien à voir avec l’éducation. Mes parents ne fument pas et ont toujours été contre la drogue, pourtant j’en ai abusé pendant mes années lycée, et j’en fume encore aujourd’hui, bien que beaucoup plus raisonnablement, parce que j’ai grandi, et que je bosse. Mes deux autres sœurs en consomment aussi régulièrement.
            La drogue dépend surtout des fréquentations, de ton statut social (je pense à la C, très consomee dans les milieux bourgeois), mais je suis aussi persuadée que certains ont un gène, une fragilité à l’addiction.

        • Même l’herbe peut vous amener assez bas. C’est pourquoi un suivi médical est recommandé. Au moins un psy spécialisé.

          • Je crois que le principal problème avec l’herbe, c’est que maintenant on commence à la consommer beaucoup trop jeune, à un âge où, adolescent, le cerveau n’a pas fini son développement, sans parler du fait qu’adolescent, on n’est encore qu’un gamin qui commence à peine à maturer. Or le cannabis est un psychotrope, il a des effets réels qui peuvent bousiller une personnalité à cet âge. Le cannabis ne devrait pas être consommé avant 20 ans, mais on l’a tellement banalisé par rapport à l’alcool que c’est devenu n’importe quoi, à 15 ans ça fume déjà régulièrement. Il ne faut donc pas s’étonner qu’on ait une proportion d’addiction qui ne devrait pas être si importante si on respectait cet âge minimum de 20 ans.

            Bref, encore un problème d’éducation, et de rétablissement de la vérité: oui le cannabis n’est pas aussi risqué pour la santé que l’alcool qui fait beaucoup plus de ravages, mais non fumer du cannabis n’a rien d’anodin, et sa consommation doit être considéré comme aussi sensible que celle de l’alcool, et faire l’objet des mêmes précautions.

            • D’accord avec vous.

              J’en connais un qui a fait des études. Il est incapable de se tenir et ne fait que des conneries à répétition :
              – conduite sans permis bourré et après avoir fumé
              – vols
              – violences

              Pas mal pour un jeune ayant fait des études.

              • Oui, je connais l’exemple des étudiants imbéciles. Je parlais avant tout d’éducation, selon sa définition d’origine: celle que les parents donnent. Quant à l’instruction civile ( » l’éducation » nationale), elle se contente de dire « la drogue, c’est mal! », et bien entendu, ça motive d’autant plus les jeunes ignorants à tenter la chose!

        • Le sucre est sans aucun doute plus problématique en tant que drogue que celle énoncée au dessus, pourtant c’est parfaitement légal de s’en goinfrer.

          je rejoins Mr Slump pour ce qui est de la responsabilité.

  • c’est la preuve par absence de preuves . c’est comme si on décidait que l’alcool n’est plus interdit et que le taux n’est plus vérifié chez les conducteurs. en fait supprimer une interdiction conduit toujours a supprimer un problème sauf si on se penche sur l’ex problème ..mais avec quel financement puisque cela n’intéresse plus le personnel politique ?

  • Dans le même ordre d’idée , la dépénalisation du permis de conduire par Taubira devrait faire baisser les accidents de la route ?…

  • Oui, en effet la politique du Portugal est un succès à tout points de vue, excepté pour le cannabis qui ne rapporte rien parce que son commerce n’est toujours par réglementé !
    C’est aussi pour la liberté de disposer de sa santé que les Français sont nombreux à s’exiler pour y passer une retraite en dehors de la violence, du crime et des trafics de la politique qui dégrade l’économie et la démocratie en France depuis au moins trente ans.

    Notre pays affiche actuellement près de 20 millions d’usagers de drogues dont 85% pour le cannabis, avec une politique violente qui force la violation des droits de l’homme et incrimine arbitrairement des citoyens qui ne causent de tords à personne.

    Mais qu’importe, l’essentiel c’est l’image, le « message », et l’utopie d’y croire, malgré une massive opposition à la prohibition qui atteind près de 66% favorables à une légalisation contrôlée du cannabis, le gouvernement s’autoproclame fer de lance de la lutte anti-drogue.. Ou plutôt la risée de tous les étas voisins qui constatent que la France est noyé dans un trafic qui est passé des mains de citoyens à celles des mafias des Balkans venus pour l’occasion.

    Ce sont des pertes par milliards d’euros, des milliers de vies détruites dans la violence, des familles séparées (affaires de parents revendeurs ou transporteurs), et tout cela pour espérer empêcher la liberté légitime d’apprécier la saveur du cannabis, du pavot, ou de la coca…
    Pourtant les plantes prohibées ne pourront pourtant pas rivaliser avec les conséquences criminogènes de la prohibition, mais l’embargo du lobby pharmaceutique coûteux ne passe plus dans l’opinion, même en y imposant une opinion négative par des loi illégales au regard des valeurs et principes de la république, dont la liberté est la première aliénée par la législation.
    Mais la politique anti-drogue montre surtout la collusion entre le pouvoir politique et le conseil constitutionnel qui accepte de valider un principe contraire au bien être du peuple en imposant un point de vue non partagé par la répression, la violence et la maltraitance. L’accusation arbitraire qui n’a pas de plaignant, comme la garde vues de 4 jours pour « torturer psychologiquement et physiquement » l’accusé sont des principes arbitraires dégradants et inacceptables, appliqués par le pays inventeur des droits de l’homme. C’est une trahison de nos valeurs et une aliénation des droits fondamentaux du peuple Français persécuté par la tyrannie d’une idéologie scélérate impopulaire, faisant l’apologie du crime, du trafic et de la répression, au travers de séries narcotiques qui inspirent la jeunesse à devenir trafiquants ou criminel…

  • Les effets collatéraux d’une légalisation serait énormes.
    Cette industrie fait vivre un nombre trop important de gens qui sans cela ferai quoi ?
    Le cambriolage et le vol est une reconversion probable….
    Ou alors proposer des stages pour la culture du cannabis à pôle emploi. Lol

  • Que pese le bon sens contre

    http://debamboozled.com/2014/02/09/others-3/is-it-time-to-end-the-war-on-drugs/

    Sans compter les politiciens, et toutes les meveilleuses lois qui ont pu etre passees au nom de  » la lutre contre » la drogue

  • @ Ca suffit La France est devenu un foutoir et j’ai honte pour mon pays rues sales incivilités violences…. La vie civile normale est devenue insupportable et vous devez subir ce bordel ambiant J’ai passe une partie de ma vie dans un foyer pour mes etudes de la seconde a la terminal, les personnes ne se respectaient ps pas et ce foyer du etre ferme apres qu un petit caid eut implante un trafic de drogue dans les annees 1980 leprobleme n’est pas nouveau Cette mixite sociale je n’ai pas choisie Pays en decadence ou les personnes qui veulent avoir une vie correcte sont meprisees au profit de celles qui foutent le bouzin .De surcroit cet article ne mentionne pas le cout pour la Secu Je pensais naivement qu’ etre liberal etait etre responsable de ses actes. L Etat francais n’assume plus une de ses fonctions régaliennes la securite Marseille par exemple et les banlieues en general. J’habite pres de lyon les quais du rhone sont des depotoirs le matin apres une nuit agitee Les personnes habitant le quai Augagneur se plaignent en vain Outre le bruit le matin il arrive que les entrees des immeubles soient devenus des chiottes En revanche si vous garez mal votre voiture vous avez systématiquement un PV , vous depassez de 2 km la vitesse autorisee PV et si vous voulez defendre votre bien vous aves un rappel a la loi La France est devenu un pays qui ne m’enchante pas Quelle image avons nous de Singapour?

  • « Comme le fait remarquer le journaliste Zeeshan Aleem de Mic.com, la solution portugaise n’est pas un remède mais ce n’est pas non plus une catastrophe » http://www.express.be/business/fr/economy/14-ans-apres-la-decriminalisation-de-toutes-les-drogues-voici-la-situation-du-portugal/211343.htm

    • La situation au Portugal s’est amélioré mais cela est aussi dû à d’autres facteurs. Il est dur de dire à quel point c’est la décriminalisation des drogues qui a permis une amélioration de la situation
      Perso, si on me demande ce que je pense de la décriminilisation, je dirais que ce n’est pas une solution miracle, ni un remède mais que ce n’est pas catastrophique comme le prétendent les opposants.

  • Pourquoi cet article a t’il disparu de la page d’accueil de Contrpoints des le lendemain de sa publication?

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