On ne peut qu'être préoccupé quand le législateur se préoccupe de faire la police de l'assiette, hormis les cas où la santé publique serait vraiment en jeu.
La production de viande ne nuit pas à l’environnement, sa consommation est bonne pour la santé, et personne ne se soucie autant du bien-être des animaux que les éleveurs et les agriculteurs qui les soignent tous les jours.
Appeler "viande" des composés de soja ou des hamburgers au tofu, c'est changer le sens des mots. C'est aussi faire courir un danger nutritionnel aux consommateurs.
En protégeant les vaches sacrées, les Hindous ont fait de l'Inde l'un des principaux exportateurs de viande bovine. Le marché est plus fort que la religion.
Pourquoi si nous sommes responsables ne devrions-nous plus manger de viande le lundi ? C’est très simple. Il s'agit d'une pure offensive commerciale des foodtechs.
Comment un mouvement ultra-minoritaire a-t-il pris une telle ampleur dans les médias ? Entretien avec Eddy Fougier, auteur de l'étude "La contestation animaliste radicale" (Fondapol, janvier 2019).
Dans l’état actuel des choses (et de nos habitudes alimentaires) seules les protéines animales peuvent nous permettre d’assurer l’apport protéique correspondant à notre besoin physiologique.
L'étau des groupes de pression vegan se resserre. Manger de la viande sera-t-il bientôt interdit ?
Faire des cantines scolaires végétariennes, c’est priver de viande les enfants à qui les parents ne peuvent pas en payer.
Il serait peut-être plus intéressant pour tout le monde de se questionner, par exemple, sur des modes de production plus efficients plutôt que d’opter pour une solution extrême.
Taxer la viande : l'idée ne cesse d'avancer dans les esprits des législateurs. Elle est pourtant contre-productive.
Autant nous ne pouvons que respecter la démarche personnelle des végétariens, des végétaliens ou des véganes, autant ceux qui ambitionnent d'utiliser la loi pour faire interdire la fourrure ou la consommation de viande ont une vision pervertie du droit.
L’État n'a pas voulu instaurer de vidéosurveillance dans les abattoirs. Dès lors, un boulevard s'est ouvert aux organisations abolitionnistes qui peuvent démontrer qu’il n’est pas possible dans notre pays de réduire la souffrance des animaux.
En souhaitant rendre l'humain vertueux par le biais de la Loi sans se cantonner au débat philosophique sur la sensibilité animale, la nouvelle idéologie politique végan menace nos libertés.
Le formatage des esprits dès l’école primaire porte ses fruits : l’adoration du saint Panda, la crainte des légumes non bio et la panique face aux pesticides préparent et facilitent l’ingestion et la digestion de toutes les fadaises médiatiques.
Comme les zadistes, les cheminots en grève et les étudiants bloqueurs soutenus par la CGT et la France insoumise, les militants végans les plus acharnés utilisent la violence pour imposer leurs idées.
Puisqu’on vous dit que la France subit une vague d’austérité, c’est que la France subit une vague d’austérité, et puis c’est tout, il n’y a…
La vie d’un animal ne vaut pas celle d’un homme, n’en déplaise aux égalitaristes.
Pour respecter les canons de l'alimentation vegan, il n'y aura pas d'autres solutions que de recourir aux OGM !
"Personnellement, étant très attaché aux libertés individuelles, dont celle de manger ou non de la viande, imaginer qu’un jour peut-être, la loi limiterait voire interdirait sa consommation me stresse énormément."