Les banques centrales prises au piège du coronavirus
Pour les populations impactées, le COVID-19 pourrait entrainer une série de catastrophes économiques et financières que les banques centrales auront amplifiées par leurs décisions imprudentes.
Pour les populations impactées, le COVID-19 pourrait entrainer une série de catastrophes économiques et financières que les banques centrales auront amplifiées par leurs décisions imprudentes.
Pour en finir avec les déficits publics beaucoup croient qu'il faut d'abord baisser les dépenses puis réduire les impôts. C'est une erreur. Que faut-il donc faire ?
La classe des fonctionnaires et des hommes politiques est-elle bien placée pour investir au mieux l’épargne des citoyens ?
Pour nos enfants endettés de demain et surtout pour le plus grand profit des politiciens d'aujourd'hui, oublions déficits et dettes, sauvons la planète en 2050 !
Taux d’intérêts, iPhones et « biens fondateurs » : une démonstration que l’économie ne peut être contrôlée – simplement observée.
L’élite parisienne veut imposer à la France ses chimères et ses dénis de réalité. Désormais 80 % de nos impôts sont au service de l’idéologie et du clientélisme.
Par Philippe Alezard. Niccolo Fontana, dit Tartaglia, ne se doutait pas en février 1535 qu’avec sa résolution générale des équations du troisième degré, il allait…
Nos chers banquiers centraux ont oublié plusieurs choses essentielles.
Taux négatifs et excès de création monétaire : on marche sur la tête… à quand le jour où vous devrez payer pour mettre votre argent en banque ?
La BCE y croit-elle encore ? La semaine passée, les mots de Mario Draghi semblaient plus proches du dépit que de l’espoir, à l’approche d’une fin d’année qui sent déjà le souffre. Comme une ultime tentative, de nouvelles mesures encore plus accommodantes sont annoncées pour septembre.
Autant il est incontestable que l'action de la BCE pour sauver l'euro en 2012 fut un succès autant il est également incontestable que cette action pour relancer l'économie est un échec patent.
Jerome Powell continue à monter ses taux d’intérêt. Ils restent négatifs en Europe. Ce grand écart ne sera pas tenable longtemps.
L’endettement mondial est tel qu’il est impossible que les dettes soient honorées. Nous nous dirigeons donc vers un jubilé ou l’hyperinflation.
Veolia a emprunté 500 millions d’euros sur le marché obligataire, en novembre 2017, à taux… négatif. Pourquoi ?
La Fed est pressée d’arriver à remonter ses taux pour pouvoir mieux les baisser en cas de récession. Si la récession arrive avant, il faudra en passer par les taux négatifs.
Les mouvements de l’or s’expliquent par l’usage de la monnaie falsifiée. Les taux négatifs sont la preuve du désordre monétaire qui règne.
Beaucoup de gens ne comprennent pas encore vraiment toutes les implications des taux négatifs.
Si les taux de la BCE montent, Emmanuel Macron ne pourra plus rien faire si ce n’est acter la faillite des finances publiques de la France. L’Allemagne le sait.
L’assurance-vie voit son rendement attaqué. Le cadre réglementaire a choisi son camp : la protection de l’industrie financière et non celle des épargnants.
Croissance, marchés financiers, dollar : ce que nous réserve l'année 2017 en bien comme en mal.