Les banques centrales défient Einstein
Les banques centrales éliminent de la vie économique le principe de la capitalisation des intérêts composés et souhaitent asservir les populations à leur pouvoir de création monétaire.
Les banques centrales éliminent de la vie économique le principe de la capitalisation des intérêts composés et souhaitent asservir les populations à leur pouvoir de création monétaire.
Officiellement, la réforme des retraites est à l’arrêt et la question se pose de savoir si et quand elle redeviendra d’actualité.
Les chiffres du bilan démographique français 2020 ne sont rien sans leur contexte, c'est-à-dire leurs causes et leurs conséquences, parmi lesquelles le virus et ses effets sur les retraites, l’immigration et l’émigration.
Il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités, et ce pour deux raisons mensongères.
Comment investir à la fois en fonds garanti et en fonds en actions pour améliorer le rendement d’un placement en sécurité ?
L’arrêt de l’activité décrété par le gouvernement assèche les ressources des caisses de retraite sans que leurs dépenses soient réduites sensiblement car les décès de la COVID frappent très majoritairement des personnes très âgées proches de l’âge moyen de mortalité.
Le rebond du Covid-19 nous montre à quel point notre État obèse est un roi-nu, il ne dispose pas des moyens nécessaires pour assurer ses fonctions essentielles.
Emmanuel Macron et Bruno Le Maire ne cessent de répéter qu’ils ne proposeront pas de nouveaux impôts. Mais ils se battent pour que l’Europe acquière une souveraineté fiscale, c’est-à-dire qu’elle lève de nouveaux impôts.
A l'heure où Emmanuel Macron déclare que « nous ne ferons pas l'économie d'une réforme de notre système de retraites », voici un bref rappel à propos de la capitalisation.
On peut craindre que la pandémie ne fournisse un excellent prétexte à ce gouvernement pour imposer au secteur privé et à ses retraités des sacrifices injustes que, sinon, il n’aurait jamais pu exiger d’eux.
Avec l'état d'urgence, quel est le devenir d’une réforme présentée comme emblématique du quinquennat macronien ?
OPINION : la France devrait profiter de la réforme des retraites pour développer les capitalisations collectives et, ainsi, alléger le coût du travail.
Le débat parlementaire sur la réforme des retraites sera-t-il balayé par un recours au 49-3, ce fameux article de la Constitution qui permet de faire adopter un texte par défaut ?
Retour sur un moment oublié d’histoire sociale toujours bien actuel, alors que nombre de syndicalistes n’osent pas défendre ouvertement la capitalisation.
La France championne du monde de durée vie en retraite : ne serait-ce pas une des principales causes des déficits ?
Vouloir « compenser » le caractère pénible de certaines tâches en octroyant le droit de partir plus tôt en retraite est une très mauvaise idée sur le plan économique.
Un lâchage de la CFDT sonnerait comme l’hallali pour un projet que tout le monde reconnaît comme mal ficelé, et préparé de façon désordonnée.
Le docteur Jérôme Marty s'adresse aux politiciens responsables de la dégradation inéluctable du système de soins.
Un même mot revient pour dénoncer le projet de régime universel unique de retraites, qui a été examiné, vendredi 24 janvier, en conseil des ministres : la pénibilité.
La polémique de la retraite des cadres souligne l’incohérence de cette gauche acariâtre rivée obsessionnellement aux vertus de la répartition comme à la beauté d’un mirage.