Pourquoi l'abstention ? Mais surtout : pourquoi aller voter ?
Pourquoi continuer à aller voter alors que la politique a été dévoyée et que les hommes politiques ont surtout des aspirations personnelles ?
Pourquoi continuer à aller voter alors que la politique a été dévoyée et que les hommes politiques ont surtout des aspirations personnelles ?
Comme pour les marques des produits ou services, il faut désormais choisir un terme accrocheur ou fédérateur pour nommer un parti. Le mot parti disparaît totalement puisqu’il représente la politique à l’ancienne, particulièrement honnie.
Depuis plusieurs mois, la Belgique croule sous les scandales de tous genres : Publifin, Samusocial et consorts sont devenus des incontournables. Des personnalités politiques ont été jetées en pâture aux citoyens. Mais, est-ce vraiment là que se situe le problème ?
"Si on confiait au diable l’organisation de la vie publique, il ne pourrait rien imaginer de plus ingénieux" nous dit Simone Weil.
Macron et les anciens partis : où en est-on fin 2017 ?
Ramener les politiques à la réalité du monde actuel et les empêcher de cantonner l’individu dans les rêvasseries idéologiques ne peut qu’être ressenti comme un progrès.
Jérôme Cahuzac a l’avantage de brutalement mettre un nom, un visage, un parcours, sur la face immergée de l’iceberg politique : l’étroite imbrication entre les élus qui gouvernent et les entreprises qu’ils réglementent et qui les financent.
Le collectif "Ma voix" prétend renouveler l'offre politique aux prochaines élections législatives partielles qui se tiendront à Strasbourg. Un point sur cette nouvelle forme de contestation politique.
Comment espérer un renouvellement dans la vie politique quand tout est fait pour l'empêcher ?
Le renouvellement politique pourrait venir de la société civile mais l'étatisme très important ne le permet pas.
Une analyse de la distribution des votes et des modes de scrutin.
Un sondage révèle les intentions de vote aux primaires de la droite et du centre, et dans l’hypothèse d’une primaire a gauche pour 2017.
Les régionales sont plombées par deux vices, aujourd’hui cachés, qui ne cesseront d’obérer la vie publique française.
Ne proposant ni analyse, ni solution, les partis du centre nuisent au bon fonctionnement de la démocratie.
L'offre politique en France est cloisonnée. Impossible de choisir réellement au sein des programmes. Et si nous imaginions un système plus souple ?
Rien n’est plus réjouissant que de dilapider l’argent des autres.
L’État verse des dizaines de millions d’euros à des partis dans lesquels les électeurs ne se reconnaissent pas.
Qu'y-a-t-il de spécifique aux partis politiques ivoiriens qui engendre une telle violence ?
La politique française a besoin d'une révolution copernicienne : les partis ne doivent plus être au cœur de la vie politique française, la démocratie ne doit plus tourner autour d’eux !
La conjoncture politique nous amène à réfléchir au rôle des partis dans une démocratie en général, et en France en particulier.