Reconstruire notre économie : le nouveau projet d’Emmanuel Macron est-il réaliste ?
« Bâtir un modèle économique plus fort, pour ne pas dépendre des autres », un « modèle économique durable qui soit la clé de notre indépendance » ?
« Bâtir un modèle économique plus fort, pour ne pas dépendre des autres », un « modèle économique durable qui soit la clé de notre indépendance » ?
L'ouverture d’un pays au commerce international est davantage une question de politique locale et intérieure qu’une question de participation à des organisations multilatérales.
FMI, OCDE, Commission Européenne ou autres Banques Centrales nous annoncent des mois à venir plus difficiles. Mais quel degré de croyance devons-nous accorder à ces prévisions, dans un monde où un tweet ou un chiffre peuvent provoquer une crise ?
L'Europe, caractérisée par un excès de prélèvements et de réglementations, est devenu un contre-exemple pour les nations soucieuses de prospérer.
Connaissez-vous le club des Hénokiens ?
La rupture met du temps à produire ses effets, et cela peut donner l’illusion à l’entreprise qu’elle a le temps d’y répondre.
Le modèle de Christensen propose de distinguer l'innovation continue de l'innovation de rupture en entreprise, à rebours des interprétations dominantes.
Tandis que le gouvernement britannique mise sur une baisse de l'impôt sur les sociétés pour relancer la croissance, du côté de Bercy c'est l'aveuglement sur l’effet du taux d’IS.
Depuis dix ans, le coût de la vie en Suisse a explosé alors qu'il était déjà très élevé au départ.
Le Maroc a un long chemin à parcourir pour devenir un modèle de réussite économique.
Les emplois utiles n'existent qu'au moment où les producteurs en trouvent l’utilité. Stimuler la demande peut, au mieux, faire revenir une économie au statu quo de la pré-crise.