Revenu universel, confinement : les (très) bizarres préconisations d’Esther Duflo
Le gouvernement et l’économiste Esther Duflo partagent la volonté de contrôler au maximum la vie des citoyens.
Le gouvernement et l’économiste Esther Duflo partagent la volonté de contrôler au maximum la vie des citoyens.
Le dynamisme du marché de l’emploi a profité à tous et surtout aux bas salaires. Les entreprises embauchent à tour de bras et l’une des raisons est la politique de déréglementation appliquée depuis 2017.
Les politiciens, par le biais de la réglementation, ont créé exactement le problème qu’ils proposent maintenant de résoudre grâce à une réglementation plus poussée et à la création d’une banque étatique.
La prospérité matérielle et la sécurité environnementale ne justifient donc en rien le fait de contrarier la production globale de richesses.
Ce n'est pas seulement le salaire minimum, mais chaque élément de la réglementation du travail qui rend plus onéreuse l'embauche d'un travailleur.
La principale cause de la pauvreté chronique en Afrique a été une chaîne sans fin de mauvaises décisions prises par ses dirigeants au cours des cinquante dernières années.
Tant qu’on empilera de nouveaux Plans technocratiques pour sortir de la logique de l’assistanat et de l’État-providence, la pauvreté et la dépendance aux allocations sociales feront toujours partie des caractéristiques françaises.
C’est l’échange qui permet de s’enrichir et de stimuler la croissance et l’emploi. Ainsi, les barrières commerciales ne nous protègent pas, elles nous appauvrissent.
La croissance économique et les opportunités qui en découlent profitent à l’ensemble de la population, y compris les moins fortunés.
Comment expliquer le paradoxe des économies riches en ressources mais qui enregistrent des piètres performances économiques, même par rapport à celles qui en sont dépourvues ?
Un nouvel outil vient d'être créé pour faire comprendre aux nouvelles générations les aspects positifs de la mondialisation économique.
Lever les barrières commerciales est beaucoup plus efficace pour améliorer la qualité de vie des habitants des régions pauvres du monde que d'envoyer de l'aide ou des technocrates pour contribuer à la conception de politiques publiques.
Début 2017, une nouvelle édition du rapport produit par Oxfam sur la pauvreté dans le monde a dénoncé les inégalités sur la planète. Le document a nourri de multiples indignations sur les méfaits de l’économie de marché, à tort.
L’État camerounais doit s’appuyer sur l’existant et avoir pour objectif d’autonomiser les paysans afin qu’ils deviennent riches au lieu de continuer à vouloir planter les urbains en milieu rural.
Comment réduire le coût du travail et protéger le pouvoir d'achat des plus démunis ? Certainement pas en passant par la revalorisation du smic, qui agit comme une trappe à pauvreté.
Le rapport Oxfam a donné lieu dans les médias à des commentaires tonitruants dénonçant les huit personnes qui concentrent entre leurs mains plus de richesses que la moitié de la population mondiale combinée. Qu'en est-il exactement ?
En recourant à une méthodologie qui a été discréditée plusieurs fois, Oxfam prouve sans le vouloir que la lutte contre les inégalités est un échec intellectuel.
Contrairement à ce que l’on croit généralement, les taux de pauvreté des États-Unis n’ont pas augmenté du fait de la mondialisation libérale de l’économie.
On compte 49 % de hausse des revenus entre 1979 et 2010.
Aide sociale : contre les pauvres ou contre la pauvreté ?