France, patrie des droits de l’Homme : la fin d’un mythe
La France aujourd’hui s’emploie à réduire à néant les droits et libertés fondamentales avec application et ténacité.
La France aujourd’hui s’emploie à réduire à néant les droits et libertés fondamentales avec application et ténacité.
Les mesures liberticides modulées au gré des chiffres quotidiens nous préparent une société atomisée dont le coût sanitaire et social est loin d’être calculé.
Le retour à la normale ne semble pas être pour tout de suite, d’autant qu’une date de sortie définitive du confinement ne semble pas être à l’ordre du jour.
Loi de "sécurité globale" : des mesures qui ne répondront ni aux attentes générales de sécurité, ni aux garanties en matière de libertés individuelles.
Pour bien des gens, le gouvernement n'avait pas d'autre choix que d’attenter aux libertés. C’est faux. C'est l’État qui a créé la crise et qui s’est interdit tout autre choix.
Les libertés fondamentales ne sauraient être négociées sur l’autel d’une quelconque calamité, sous peine que le remède ne provoque une affliction plus profonde et plus durable que le mal censé être éradiqué.
Le gouvernement de Pedro Sanchez a déclaré l’État d’urgence et obtenu son maintien pour une durée de 6 mois. La dérive illibérale de ce gouvernement socialo-communiste n’est pas spontanée et semble préparée.
Il faut s’inquiéter lorsque les citoyens préfèrent que l’oppression soit générale plutôt que de défendre leurs libertés.
Pourquoi le libéralisme n’est pas un concept abstrait dénué de toute réalité, mais pas non plus ce qu’on lui prête de manière tout aussi abstraite ou farfelue.
Malgré les manifestations rassemblant des milliers de personnes depuis le mois de mai, le nouveau projet poussé par Pékin au nom de la sécurité nationale a été adopté.
Au nom de la préservation de l’environnement, les « droits, libertés et principes » peuvent être purement et simplement supprimés.
Les opposants au droit de s’armer tentent de faire passer ce droit sacré pour désuet ou dangereux, alors même qu’il est protégé comme la liberté de la presse ou encore le principe d’un gouvernement restreint.
Il est permis de se demander quelle autorité morale a l’État pour dire ce qui est éthique ou ne l'est pas.
Par un simple calcul, depuis novembre 2015, nous avons passé 50 % de notre temps en état d’urgence ! 829 jours ! 27 mois ! 2 ans et 3 mois !
« Le coronavirus ravit tous les ennemis de la liberté » nous alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement généralisé, le virage autoritaire de la gestion de cette crise est au moins aussi inquiétant que le coronavirus lui-même.
Un entretien avec Louis Tandonnet, avocat et auteur de "La jurisprudence essentielle en droits de l'Homme et libertés fondamentales" (édition LexisNexis).
Contrepoints défend aujourd'hui quatre libertés fondamentales pour les individus. Soutenez-vous, car ces valeurs sont les vôtres.
Un roman plaisant à lire, pour qui est attaché aux libertés fondamentales. Même si l’idée de départ dérange un peu.
En jouant la posture du maintien de l’ordre dans le conflit des gilets jaunes, le gouvernement avoue son incapacité à réformer et prend le risque d’oublier que c’est le respect des libertés qui est la seule et unique raison qui rend un État légitime.
Augmenter la dépense publique n’est pas sans conséquence pour la liberté.