Mario Draghi : fiasco à l’italienne
À 73 ans, plus d’un an après son départ de la présidence de la BCE, Mario Draghi reprend des fonctions officielles, pour le meilleur ou pour le pire.
À 73 ans, plus d’un an après son départ de la présidence de la BCE, Mario Draghi reprend des fonctions officielles, pour le meilleur ou pour le pire.
Le gouvernement italien soutient le projet de TIM en matière d'internet haut débit, aux dépens des règles les plus élémentaires de libre concurrence.
Le monde est contaminé. Le covid-19 – ou coronavirus – infecte toute la planète. L’Italie, le pays le plus touché en Europe, est face à un défi titanesque et encore une fois les Italiens se sentent ignorés et abandonnés.
Concrètement, c’est la mondialisation numérique qui est utilisée pour faire avancer la recherche, en l’espèce la lutte contre le coronavirus.
Quelles différences dans le système de santé et dans la réponse à la crise face au danger du coronavirus COVID-19 ?
Face au spectre de la pandémie, les pouvoirs publics italiens ont mis 11 villes en quarantaine, plaçant 52 000 personnes en zone de confinement.
En provoquant la chute du gouvernement italien, Matteo Salvini pose des questions existentielles à l'Union européenne.
Un roman sur l'Italie d'autrefois.
L’Italie n’a ouvert ses grandes lignes qu’en 2008. C’est maintenant le seul pays européen à avoir un TGV privé, l’Italo, qui a démarré en avril 2012, en concurrence avec la société publique Trenitalia. Le succès de l’Italo a été éclatant.
La géopolitique des constructeurs maritimes a beaucoup changé ces dernières années, avec l’émergence de nouveaux acteurs comme la Chine et la Russie. Dans ce monde en pleine recomposition, l’Europe a besoin de trouver un nouveau souffle.
Les donneurs de leçons judiciaires et humanistes avaient tout faux sur Cesare Battisti !
M. Moscovici est très mal placé pour donner des leçons d’économie et de fiscalité aux Italiens et l’Europe pourrait bien réagir autrement aux « populismes ».
Les médias sont financés par leurs annonceurs et les fonds publics. Tout en délivrant un message politique, ils occultent des informations vitales pour leurs lecteurs.
Deux pays-clefs de la construction européenne pratiquent la politique du va-et-vient. L'euro frétille encore.
Les Allemands et les Italiens vont droit au conflit en raison de l’euro. L’hostilité croissante de l’Allemagne a des justifications profondes, méconnues par les Européens du sud.
Le dispositif Target2 masque les déséquilibres de la Zone euro. La situation va devenir intenable car la BCE est transformée en fonds spéculatif sur un pari perdu…
La dette italienne s’élève à plus de 130% du PIB. Dans le discours public, cependant, ce problème semble avoir disparu.
Ce n'est pas un, ce sont deux populismes qui ont triomphé en Italie. Ils disposent d'une majorité au parlement et vont à présent gouverner ensemble.
Alors que la zone euro venait de renouer avec une croissance économique relativement dynamique (+2,5 %), le nouveau gouvernement italien fait-il peser une menace sérieuse sur la stabilité de la zone euro ?
Le marché est-il véritablement le coupable de la situation italienne, ou l’alibi parfait des politiciens pour se dédouaner de leurs responsabilités ?