Les bases de la domination étatique et de la soumission populaire
Par une habile combinaison de coercition et de manipulation, l’État parvient à placer les individus dans un état de somnolence.
Par une habile combinaison de coercition et de manipulation, l’État parvient à placer les individus dans un état de somnolence.
« B. A. BA d'économie », de Gérard Dréan vise à présenter les faits fondamentaux de la réalité économique, en se gardant bien d’entrer dans la confrontation des théories et encore plus des idéologies.
Le gouvernement s’ingénie à rendre le déconfinement le plus compliqué possible alors que sa levée dans tous les secteurs constitue une condition indispensable du retour « à la normale ».
Il y aurait les fonctionnaires utiles, et ceux qui font du chiffre d’affaires : une vision manichéenne bien française mais sans rapport avec la vie réelle.
Certains pensent que le marché a échoué et que l’État doit donc reprendre la main et planifier la santé et l’économie de manière encore plus autoritaire.
Le radicalisme politique ne s’explique pas par la volonté d’améliorer la vie matérielle des individus. Il s’explique par le goût des luttes de pouvoir.
Les incendies majeurs que subit l’Australie sont en grande partie explicables par des raisons autres que le dérèglement climatique.
Une écologie politique dogmatique abuse les Français en voulant leur faire croire qu’ils pourront vivre de vent et de soleil, en dépit des réalités physiques, économiques et humaines.
Le dogme fondateur de la nouvelle idéologie à la mode est le catastrophisme, dont l’avatar extrême est la « collapsologie ».
L’émergence de l'écologisme ne fait pas que des malheureux et sert admirablement bien l’idéologie anti-libérale dominante hexagonale.
Avec ses 33 listes françaises, le scrutin européen du 16 mai prochain offre une occasion de prendre la politique avec hauteur et distance. OPINION
Peut-on se passer des idéologies lorsqu'on est un professionnel de la politique ? Question posée à l'aube des élections générales au Nigeria.
Changer de modèle mental n'est pas donné, et est nécessaire si l'on veut faire évoluer son organisation.
Les idéologies agitent et font rêver. Mais le pragmatisme doit dominer l'action politique, qui n'est ni 100% libérale ni 100% socialiste.
Par Yves Montenay. Vous avez reconnu cette phrase célèbre de Lénine : « Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons ».…
Marx aurait eu 200 ans aujourd'hui. Pourquoi, malgré ses multiples échecs, le marxisme continue-t-il à séduire ?
L’idéologie en soi suscite un débat… qu’elle pollue instantanément. Peut-on converser avec un idéologue forcené, non pas pour débattre de ses idées mais simplement à propos du préalable idéologique qu’il adopte ?
Est-il encore temps de croire à la liberté ? Est-il encore temps de rejeter les promesses de lendemains qui chantent des dirigeants, qui ne mènent qu’à la servitude ?
L'agitation autour de l'ISF est secondaire : c'est au niveau idéologique qu'il y a un problème, la France étant incapable de mener de vrais débats économiques.
Environ la moitié des Français compte principalement sur l’État pour améliorer leur situation économique. Les excès du dirigisme n'effraie pas les électeurs.