Plan contre le cancer : une critique libérale
Le président de la République vient d’annoncer un plan contre le cancer. Quelle est l'approche libérale dans ce cas de figure ?
Le président de la République vient d’annoncer un plan contre le cancer. Quelle est l'approche libérale dans ce cas de figure ?
L’État doit tout faire pour que les individus restent le centre du jeu et des décisions qui y sont prises. Ainsi la route de la liberté peut se substituer à celle de la servitude.
Le 11 novembre 1918 marque l’armistice de la Première Guerre mondiale mais malheureusement pas la fin du suicide européen par le nationalisme guerrier ou le socialisme.
Par une habile combinaison de coercition et de manipulation, l’État parvient à placer les individus dans un état de somnolence.
Après toutes les consignes contradictoires que nous avons eues, si nous réalisions enfin que tout ce qui concerne notre propre vie ne peut être décidé et choisi que par nous-mêmes ?
C'est la canicule ! De l'appli qui veille sur votre grand-mère, à l'étude qui prouve qu'il fait plus frais à l'ombre, petit tour des trouvailles inutiles et coûteuses du gouvernement.
La façon du président de vouloir nous rendre amicales les administrations qui prélèvent taxes et cotisations et les dépensent selon les fins sociales du moment confirme qu’il s’inscrit dans l’État dévorant que nous traînons depuis 1945.
Cette manière centralisée de gérer les problèmes du terrain risque d'être une fois de plus délétère pour les Français : mais cette fois, Il est question de la vie des individus.
À 30 ans de distance, les commémorations autour de la chute du mur viennent à point pour réveiller nos consciences engourdies. Faisons enfin tomber les murs de Berlin qui sont en nous, qui nous enferment et nous font mourir à petit feu !
Opérer la redistribution des revenus en accroissant le "contrôle étatique" sur ce qui reste privé : quelle liberté dans l'État-providence ?
Le gouvernement britannique envisage de punir les sites porno autorisant l'accès aux moins de 18 ans. La mesure fait hurler les défenseurs des libertés.
Il est bien triste de constater que malgré les échecs de l’État, visibles tous les jours, personne ne songe à le remettre en cause.
Les politiques tendent de plus en plus à restreindre les libertés des citoyens « pour leur propre bien » et ignorent les conséquences néfastes de ces mesures.
Dans ses déclarations récentes, Emmanuel Macron se place comme un monarque au-dessus de son peuple. Et nous considère comme ses enfants.
Notre Sécu et l’Éducation nationale sont nos deux mamelles les plus abouties du collectivisme à la française. Du monopole d’Etat imposé par la force.
Une tribune du groupe Cincinnatus, un collectif citoyen issu de société civile et d'élus locaux contre le centralisme jacobin.
Environ la moitié des Français compte principalement sur l’État pour améliorer leur situation économique. Les excès du dirigisme n'effraie pas les électeurs.
Le score État-moralisateur de l'Institut Économique Molinari montre l'inefficacité des politiques prohibitives pour améliorer les conditions sanitaires.
La France fait partie des pays où les mesures concernant l’alcool ou le tabac sont les plus restrictives, et où le spectre du « Nanny state », l'État omniprésent et omnicompétent, est le plus présent.
Coavionnage : à la tentation de l’État-Nounou, préférons l’option de la responsabilité. Il est temps de lever le flou juridique.