Jo Jorgensen, antidote à un débat Trump-Biden qui vole trop bas
La candidate libertarienne Jo Jorgensen n'était pas invitée aux débats réservés à Trump et Biden, mais elle a présenté son programme et répondu aux questions des électeurs.
La candidate libertarienne Jo Jorgensen n'était pas invitée aux débats réservés à Trump et Biden, mais elle a présenté son programme et répondu aux questions des électeurs.
Les travers de TikTok mis en évidence par Donald Trump changeraient simplement de mains en cas de vente forcée de l'application à Oracle.
La politique d'Obama a été sanctionnée par les urnes. Comment l'expliquer ?
Quel est le programme du Green Party à l'élection présidentielle américaine, programme qui pourrait bien influencer la politique énergétique d'Obama ?
Dans le reportage "Au cœur du Tea Party" diffusé mardi soir, Arte a présenté un portrait bien caricatural des membres du Tea Party.
La campagne présidentielle fait un flop aux États-Unis. Pour s'en convaincre, observons la façon dont Obama et Romney sont perçus à travers le regard des humoristes.
Obama n’est qu’une version « Mini-Moi » de Roosevelt. Tant mieux : le New Deal avait été une mauvaise chose pour l’économie !
Malgré un piètre bilan économique et géopolitique, la popularité du Président Obama reste assez élevée dans les sondages. Comment l'expliquer ?
Dans ce pays où les débats idéologiques étaient réputes dépassés, s'affrontent deux conceptions de la place de l’État dans les affaires de la Cité, du domaine socioéconomique aux questions dites sociétales.
Le premier audit de la Fed avait rendu de décoiffantes conclusions en juillet 2011 : un hold-up de 16 000 milliards !
Si Romney est élu et s’il applique son programme, on pourrait redire « America is back », comme du temps de Reagan.
Si l’Amérique quitte la route de la servitude, alors Paul Ryan y aura joué un grand rôle.
Mitt Romney a choisi comme colistier un ami de l’État-guerrier-providence.
Il y a de quoi être scandalisé par les propos ignares tenus par deux députés de l’UMP concernant l’actuelle élection américaine.
À en croire les médias, Paul Ryan, le colistier de Mitt Romney pour la présidentielle américaine, serait un dangereux "extrémiste". Mais que signifie "radical" dans la bouche d’un Démocrate ?
Il n'y aura pas de soutien inconditionnel à Mitt Romney pour la campagne présidentielle américaine de la part du libertarien Ron Paul.
Le système des primaires du GOP est hétéroclite et complexe. Plus de la moitié des délégués de la convention nationale restent à désigner et ce n'est pas avant la fin juin que Mit Romney pourra atteindre formellement le seuil des 1144 délégués.
Comment Ron Paul, un type quasiment inconnu, pourrait-il mettre en difficulté le candidat quasi-officiel des Républicains ?
Que Ron Paul parvienne ou non à attirer davantage de voix qu’en 2008, il n’en sera pas moins que ses idées se seront répandues d’elles-mêmes. Et c’est le plus important.
Dans le caucus du Nevada, Mitt Romney l'emporte, devant Newt Gingrich et Ron Paul.