Hausse du prix de l’électricité : la faute aux taxes qui augmentent depuis 20 ans
Au total, les taxes représentent environ 37 % de la facture d’électricité, et le prix HT est taxé à environ 48 %.
Au total, les taxes représentent environ 37 % de la facture d’électricité, et le prix HT est taxé à environ 48 %.
Où est donc le « marché libre » censé faire baisser le prix de l’électricité au consommateur ?
Le gouvernement britannique a donné suite à une demande d'EDF pour l'ouverture de négociations en vue de la construction de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR.
En 2019 la France comptait 34 fournisseurs d’électricité pour les particuliers et 46 pour les professionnels. Ce nombre augmente chaque année (sept de plus en 2019). Et qui dit plus de fournisseurs signifie baisse des prix.
À quoi joue « l’équilibriste » RTE-DGEC dont la chute entraînerait celle de l’activité économique de la France ?
"Il n'y aura pas de coupure cet hiver" nous assure-t-on. Mais la réalité des chiffres de notre production d'électricité nous incite à penser le contraire.
Faut-il nous préparer à vivre comme dans les années 1970 ou dans un pays sous-développé, avec des coupures de courant régulières, puisque nous n'avons plus de quoi fournir suffisamment d'électricité ?
La STEP permet d’équilibrer le réseau électrique et d’augmenter la part de production d’électricité décarbonée dans le mix énergétique.
La France ne doit pas gaspiller ses ressources. Alors pourquoi sacrifier une centrale qui fonctionne très bien, évite un déficit commercial important au pays, et qui plus est permet de rester dans le cadre des accords de Paris au sujet des gaz à effets de serre ?
Soutenir les EnRI aux dépens du nucléaire, c’est se tirer une balle dans le pied et dépendre de plus en plus de la Chine et de la Russie.
Un fournisseur d’énergie a le droit de dire qu’il est 100 % renouvelable car il a payé une Garantie d’origine, un impôt vert, une forme de racket institutionnalisé.
La France n’est plus une nation industrielle, et il faut l’expliquer aux rédacteurs de la Programmation pluriannuelle de l’énergie.
La baisse de l’activité liée à l’épidémie du Covid-19 conduit à une baisse drastique de consommation d’électricité, ce qui désorganise encore plus ce qui était déjà un chaos devenu incontrôlé.
Pour une question de sécurité nationale, il est vital de mettre en état de fonctionnement tous les moyens de production destinés à fournir de l’électricité en cas de difficulté majeure.
Le consentement à l’impôt suppose la justice fiscale. Ce n’est pas le cas des choix opérés pour cette transition énergétique.
Le nucléaire en France manque désormais de main-d’œuvre hautement qualifiée.
L'entêtement de nos politiques à détruire la richesse existante, comme Fessenheim et à gaspiller autant d’argent dans les ruineuses énergies renouvelables est une honte !
Les règles de prudence pour équilibrer le réseau électrique français sont bafouées par des responsables politiques et, plus grave encore, par le Réseau de transport d’électricité
La loi permet bien aux employés d’EDF de cesser le travail, mais pas qu’ils puissent couper ici ou là le courant de manière intentionnelle.
D'ici que la réforme soit appliquée, les avantages catégoriels des trois grands régimes spéciaux resteront financés par les contribuables à hauteur de 2 à 3 milliards d’euros par an.