Le plan de relance contrarié par le spectre de la seconde vague
La consommation ne repartira pas plus que la production si l’initiative n’est pas libérée de toute la bureaucratie technocratique française.
La consommation ne repartira pas plus que la production si l’initiative n’est pas libérée de toute la bureaucratie technocratique française.
Tenter d’appliquer obstinément au forceps une distinction entre employés et indépendants que la gig economy a rendue caduque est contre-productif.
Par Marius-Joseph Marchetti. Chers lecteurs, si aujourd’hui, nous nous intéressons à la publicité et à ce qui l’entoure, c’est qu’elle a un rôle de poids…
Pour Jean-Baptiste Say, la cause des surproductions sectorielles est l’intervention publique.
Contrairement à une idée fort répandue, ce n'est pas la demande qui génère la richesse, mais le capitalisme.
En suivant la théorie des "moteurs de la croissance", l’économie serait une machine dont les hommes politiques régleraient la puissance à travers les manettes budgétaires à leur disposition.
Comme les Mélanésiens, nous croyons à une forme de "culte du cargo" : nous sommes convaincu que c’est de notre demande que dépend notre richesse.
L'opinion courante considère que c'est la demande qui tire l'économie. Keynes a théorisé cette opinion, mais elle paraît naturelle à beaucoup, sans qu'il soit besoin de se pencher sur la théorisation. Est-elle juste pour autant?
Selon le mythe économique keynésien, les cycles économiques sont causés par un inexplicable pessimisme qui conduit les gens à cesser de dépenser et d’investir, provoquant un effondrement progressif de la demande dans l’économie
Au-delà de l’offre et de la demande, avec Alain Laurent, à propos de l’ouvrage de Wilhelm Röpke