Macron barre ferme vers la tempête
C’est donc acté : cette terrible austérité qui frappe une partie des Français s’est donc achevée lundi 10 décembre au soir. Le président Macron, dans un…
C’est donc acté : cette terrible austérité qui frappe une partie des Français s’est donc achevée lundi 10 décembre au soir. Le président Macron, dans un…
La remise en ordre des comptes des administrations centrales reste une priorité non traitée.
Il est impossible d'avoir à la fois la rigueur budgétaire, la modération fiscale et davantage de services publics.
"En France l’administration centrale vit à crédit 47 jours par an. Elle épuise toutes ses ressources le 15 novembre, un mois avant les autres États de l’Union européenne, équilibrés jusqu’au 13 décembre." (Cécile Philippe)
La dette accumulée par l'administration Trump diffère de celle entassée par son prédécesseur. Analyse.
Pourquoi la France va souffrir plus que les autres de cette augmentation du prix du pétrole.
Depuis 2009, le ratio dépenses publiques sur PIB a baissé de près de quatre points en moyenne en Europe et notamment en Allemagne. Pourquoi pas en France ?
60 milliards : le montant du déficit public et aussi celui de la fraude fiscale. Pourtant faire disparaître l'un ne résoudra pas l'autre.
Un déficit moins élevé qu’attendu ne fait pas une cagnotte. La résurgence de ce débat vieux de 20 ans prouve l’inculture de ceux qui votent le budget.
Les pertes récurrentes du Réseau SNCF proviennent en réalité d’un interdit politique. Il ne faut surtout pas faire apparaître la réalité économique aux yeux de tous.
Peut-être allons-nous enfin revenir à des raisonnements de bon sens et proclamer que le public comme le privé doivent être compétitifs.
La « vérité sur les comptes publics de la nation » comme dirait Gérald Darmanin, c’est que nous étions déjà les champions du monde des dépenses et des prélèvements, et que nous voilà à battre nos propres records.
Le déficit public repasse sous les 3% : c'est une bonne nouvelle, qui malheureusement ne repose pas sur une politique vertueuse en matière de dépenses publiques.
L’an prochain nous devrions enregistrer une croissance d’à peine 1,7% du PIB, au prix d’un déficit de 2,9% du PIB.
Découvrez quels subterfuges les politiciens et les bureaucrates utilisent pour dissimuler le véritable coût de l’État aux yeux des contribuables.
Un article de l’ALEPS Où est la réforme budgétaire promise et magnifiée aujourd’hui par les nouveaux dirigeants ? Les dépenses n’ont pas diminué, les impôts…
L’État macronien, tout en affichant la posture d’une diminution des dépenses, va réussir l’exploit de demander 60 milliards € de plus en 2018, que l’État sarkozien.
Avec le vote de la loi de finances, nous verrons l’éternel retour du débat entre politique de relance keynésienne et politique du respect des engagements européens. C'est un leurre.
Chaque année, la Cour des comptes fait un certain nombres de préconisations. Chaque année, ce sont les mêmes, et chaque année… tout le monde s’en fiche !
Le FMI propose, dans son rapport annuel sur la France appelé article IV, une projection du budget consolidé (budget de l’État, des collectivités locales et de la Sécurité sociale) pour les cinq années à venir.