Le monde sur tapis roulant
Économistes, psychologues, et même philosophes sont unanimes : notre quotidien ressemble à celui du sportif compulsif sur tapis roulant, qui court mais n’avance plus.
Économistes, psychologues, et même philosophes sont unanimes : notre quotidien ressemble à celui du sportif compulsif sur tapis roulant, qui court mais n’avance plus.
Les banques centrales éliminent de la vie économique le principe de la capitalisation des intérêts composés et souhaitent asservir les populations à leur pouvoir de création monétaire.
À l'opposé de la doxa des Verts, favoriser la décroissance du PIB dans un but écologique est un véritable contresens.
Peut-on créer de la croissance en décarbonnant notre économie ? Non, cela relève de la pensée magique.
Trop souvent, on met l’accent sur les chiffres et sur les explications techniques lorsqu’on parle de croissance économique. Or, il faut prendre le temps d’expliquer les principes de base derrière celle-ci.
Les choix historiques sont difficiles à réformer quand ceux qui en profitent ont le pouvoir. Un exemple : la retraite par répartition, qui garantit une rente indexée sur l'inflation à un âge fixe.
Si relancer la croissance avec toutes ces dépenses constitue une promesse évidemment alléchante, on peut toutefois s’interroger sur la réelle nécessité.
Souvenons-nous que la croissance, c’est le changement et non la dilatation de chaque secteur et de chaque entreprise.
L'écologie, une vraie science qui étudie l’environnement et l’impact des activités humaines sur celui-ci, est bien différente de l'écologisme.
En deux semaines à peine, le coronavirus a contaminé près de 150 000 Américains, et mis au chômage plus de trois millions de personnes. Un taux de chômage à 30 % est-il possible ?
L'apparition des téléphones intelligents dans nos vies a considérablement changé notre quotidien. Instrument de progrès social et économique, c'est bien le téléphone que nous devrions célébrer, pas la "journée mondiale sans téléphone".
Croissance, chômage, emplois : en fonction de intérêts, le gouvernement français utilise l'Allemagne comme un modèle ou un repoussoir.
Une croissance économique qui ralentit, une inflation qui ne réagit plus, des rendements des marchés qui baissent. L’idée d’une douce torpeur pour les années à venir fait son chemin. Ce scénario est-il crédible ? Oui, sous certaines conditions.
Il est faux de prétendre que la croissance économique s’accompagne nécessairement d’effets pernicieux.
Si l’on compare les pays prospères et les pays pauvres, il est clair que les premiers se caractérisent invariablement par des degrés plus élevés de libertés individuelles, en particulier dans le domaine économique.
Contrairement à ce que suggèrent les injonctions des mouvements écologistes, ni la qualité de notre environnement ni celle de notre mode de vie ne justifient l’abandon de la croissance économique et de la civilisation industrielle.
Par Nicolas Lecaussin. Un article de l’Iref-Europe On peut craindre le pire avec cette Convention citoyenne pour le climat que vient de mettre en place…
Hommage à l’un des esprits français les plus brillants du XXe siècle, dont il y a encore à apprendre aujourd’hui.
Accélérer la croissance et la création d’emplois obligent ainsi les employeurs à se faire concurrence sur le marché de l’embauche et profitent ainsi aux employés et demandeurs d’emplois.
La productivité continue de freiner nos économies. Toujours aucun redressement, malgré tout ce que l’on entend sur l’apport des nouvelles technologies et le soutien des politiques monétaires ultra-accommodantes. Or, sans productivité, point de salut.