Non, le libéralisme ne recherche pas l'intérêt général
Le libéralisme serait-il la défense des intérêts particuliers, « égoïstes », au détriment de l’impérieux « intérêt général » ?
Le libéralisme serait-il la défense des intérêts particuliers, « égoïstes », au détriment de l’impérieux « intérêt général » ?
Sur quelle base légitime repose donc le suffrage universel, « principe d’expression de la volonté populaire » ?
Malgré ses incohérences majeures, la théorie du contrat social représente un des mythes fondateurs de nos social-démocraties. Est-il possible de revisiter ce dogme pour en corriger les lacunes ?
Malgré ses incohérences majeures, la théorie du contrat social représente un des mythes fondateurs de nos social-démocraties. Peut-on la corriger ?
Ne soyez pas ignorant de ce que signifie pénétrer dans un isoloir.
Sauvage" voilà un qualificatif dont d’aucuns aiment commodément affubler le libéralisme, surtout quand ils ne le connaissent pas. Mais qu’en est-il ? Troisième partie de la série « Ce que le libéralisme n’est pas ».
Comment restaurer la confiance entre peuples et dirigeants africains ?
Il est intéressant de voir le point commun matérialiste entre les deux doctrines les plus populaires de notre temps, le marxisme et le keynésianisme.
Le « contrat social » étatique n’est en fait qu’un système de loi du plus fort.
Rousseau fut, selon les mots de Berlin, « l’un des ennemis les plus sinistres et les plus redoutables de la liberté dans toute l’histoire de la pensée moderne ».
Si le contrat social n'est pas signé, quels peuvent être les fondements d'une société libre ?
Les gens font constamment référence à des constructions d'esprit pour justifier leur position.
Les intérêts humains sont-ils naturellement harmoniques ou antagoniques ? Une grande question à laquelle Frédéric Bastiat tentât de répondre.
Le contrat social, que personne n’a signé et dont personne ne connait les clauses, n’a de contrat que le nom. Par Georges Kaplan. Je suis…
Incapable de préserver son "pacte social", la social-démocratie fait payer l'addition aux générations futures.
Le gouvernement, après avoir truffé le contrat social de petits caractères, serait bien avisé de faire en sorte que les Français le signent.
Le second tome de la trilogie rédigée par Corentin de Salle en hommage aux idées libérales vient d'être édité
Jean-Jacques Rousseau est un auteur qui a entretenu des rapports ambigus avec le libéralisme. Il est à la fois un authentique penseur de la liberté,…
Un mystérieux « contrat » que l'on aurait conclu avec la « société » dont il est bien difficile de retrouver la trace