Le rêve de tous : un pétrole plus gratuit… que gratuit
Le cours du pétrole américain s'est effondré, jusqu'à passer sous zéro dollar hier. Aujourd'hui, le lundi noir a eu ses gagnants et ses perdants.
Le cours du pétrole américain s'est effondré, jusqu'à passer sous zéro dollar hier. Aujourd'hui, le lundi noir a eu ses gagnants et ses perdants.
Les prix de l’essence sans plomb et du diesel vont atteindre une zone rouge et irrémédiablement le consommateur français va être confronté à une baisse de son pouvoir d’achat.
Quels cours du baril futur ciblent les majors pétroliers ?
L'accord avec l'Iran va-t-il faire varier le prix du baril ?
Oui, comme dit l’Agence Internationale pour l’Énergie, la demande a été dopée aux États-Unis par la baisse des prix.
Mais c’est vrai, qu’y avait-il à discuter ? Peut-on changer de politique 6 mois après avoir déclenché une guerre des prix alors qu’elle n’a pas encore porté tous ses fruits ?
Les événements au Yémen témoignent-ils d'un changement dans la donne dans le domaine du pétrole ?
L'État devrait pleinement bénéficier de la hausse du prix du baril. S'il remonte...
Et si la baisse des prix aidait à l’accélération de la demande ?
La saison des résultats est un moment idéal pour étudier l’impact sur les sociétés de la chute des cours du baril, les vues de celles-ci sur le futur et les mesures prises pour y faire face.
Un baril à 30 $ - 40 $ ? Pourquoi pas 10 $ si l’on veut se référer au passé ?
Jusqu’où pourra (ou devra ?) descendre le cours du Brent avant de se stabiliser ?
Le prix du baril baisse mais pas l'essence à la pompe. Pour quelles raisons ?
Si l’Arabie saoudite précise qu’elle ne cherche pas à politiser le pétrole dans son intérêt, les signes envoyés jusqu’à maintenant ne sont pas si clairs.
Le ministre saoudien du pétrole effectue cette semaine et la semaine d’après deux déplacements dans deux grands pays exportateurs de pétrole aux États-Unis avec l’Arabie. Est-ce vraiment un hasard ?
Le cours du baril de Brent approche les 90$ alors que l’Arabie Saoudite vient de baisser ses prix à ses clients asiatiques.
Le Brent peut-il continuer de baisser ? Et si oui… jusqu’où ?