Nationalisation de l’épargne : en marche vers la finance citoyenne
La nationalisation de l’épargne est pur arbitraire et pur gaspillage. C’est attirer mensongèrement l’épargnant français dans ce qu’on appelle « la finance citoyenne ».
La nationalisation de l’épargne est pur arbitraire et pur gaspillage. C’est attirer mensongèrement l’épargnant français dans ce qu’on appelle « la finance citoyenne ».
Récemment, le gouvernement a annoncé les modalités de son Grand Plan pour soutenir les start-up et favoriser l’innovation en France. Rien d’innovant, que du déjà vu…
Dénoncer le poids de l’État, c'est bien, mais c'est insuffisant : encore faudrait-il regarder de plus près où va l'argent et qui décide de sa destination. Une réforme qui serait trop délicate ?
On peut se demander si les dispositions prévues par la BPI sont véritablement là pour aider les entreprises. Quelles solutions alternatives ?
Comment François Hollande compte-t-il accélérer le rythme de réformes qui n’ont même pas encore vu le jour ?
Loin de remplir son rôle de banque publique, BPI France réalise de piètres performances financières.
Est-ce vraiment le rôle de la puissance publique que de faire du « bon business », nous déclare le directeur de la BPI ?
Les banques publiques, Caisse des Dépôts ou Banque Publique d'Investissement en tête, démontrent leur nocivité.
La Banque publique d’investissement (BPI) aura décidément beaucoup fait parler d’elle avant même d’exister.
Ségolène Royal à la BPI, ce n'est pas du népotisme. Puisqu'on vous le dit !
Ségolène nommée vice-présidente et porte-parole de la Banque publique d'investissement (BPI).
La solution retenue pour "sauver" Dexia présage de lendemains qui déchantent.
Hamon, pour faire comme les grands, mobilise 500 millions pour les SCOP, même si les Français n'en sont pas friands.
De nouveaux fiascos dus à l’action de l’État dans l’économie se profilent à l’horizon.
La maladie dont souffrent nos entreprises, qui tue les unes et épuise les autres, c’est l’État, ses prélèvements obligatoires et ses réglementations paralysantes.
La future BPI sera un nouveau dinosaure dont la lourdeur s'ajoutera à une pyramide déjà impressionnante d'aides aux entreprises.
Une phrase de Jean-Pierre Jouyet, le futur président de la BPI, a mis en émoi politiques et syndicats. Un nouvel épisode médiatique qui montre combien le simple fait de constater la réalité est devenu insupportable de nos jours.
La création de la Banque publique d’investissement confirme la volonté de l’État de s’engager dans un rôle où il a toujours obtenu de mauvais résultats : celui d’actionnaire.
Les structures d'investissement publiques sont légions et représentent des dizaines de milliards d'euros. Pour quels résultats ?
C’est hier 11 septembre qu'ont été posées les fondations de la Banque publique d’investissement (BPI), promise par François Hollande durant sa campagne.