Chômage en France en 2020 : on n'a encore rien vu
Tout irait-il donc pour le mieux sur le front de l’emploi ? Pas exactement.
Tout irait-il donc pour le mieux sur le front de l’emploi ? Pas exactement.
L’industrie a besoin de compétitivité lui permettant d’obtenir des résultats lui permettant d’investir : elle n’a jamais demandé les béquilles de la technocratie.
Il ne s’agit nullement d’un plan destiné à relancer l’économie, mais plutôt de partager le butin entre les plus gros ministères, financer des lubies et accroître les entraves économiques.
Les milliards pleuvent sur les entreprises françaises, mais on peut s'interroger sur les effets pervers de cette manne financière.
Un haut de bilan solide renforce la valeur de l’entreprise lors d’une cession mais surtout cela lui permet de faire face plus facilement à des crises comme celle que nous traversons.
À 30 ans de distance, les commémorations autour de la chute du mur viennent à point pour réveiller nos consciences engourdies. Faisons enfin tomber les murs de Berlin qui sont en nous, qui nous enferment et nous font mourir à petit feu !
Pour l’essayiste, les nouveaux agents publics doivent être recrutés sur la base d’un contrat de travail semblable à celui des salariés du secteur privé.
Parmi les nombreux poissons d’avril qui frétillent dans nos eaux administratives avec une désespérante réalité, voici l’histoire abracadabrante mais vraie des fonds européens LEADER pour le développement rural qu’il va peut-être falloir rendre.
À l'heure des États généraux de l'alimentation, il est temps de faire un choix pour l’agriculture française : celui de l’entreprise et non plus de la quasi-administration.
La dette est-elle un point commun suffisant pour comparer les deux pays ?
Prime aux gros. Les petites entreprises sont le parent pauvre des 110 milliards de subventions que l’État et les collectivités locales distribuent chaque année aux sociétés.
Les entreprises qui courent après les aides publiques sont des entreprises qui abandonnent une partie de leur liberté.
L’ancien PDG du groupe Essilor dénonce le poids croissant de la sphère publique et "la fiction de l’État-Providence qui détruit la société".
Évaluées à plus de 100 milliards d’euros, les aides de l’État, peu efficaces, sont attribuées selon le poids de lobbies industriels toujours prompts à tendre la sébile.
Il n’y a pas de raison de continuer à soutenir une industrie qui n’en a plus besoin et qui n’engendre pas les conséquences environnementales attendues.
Regard sur la marginalisation de la communauté aborigène.
Audace Institut Afrique vient de lancer une campagne qui vise à promouvoir l’intérêt de l’entreprise privée et du libre-échange dans le recul de la pauvreté.
Avec une dette de 250% du PIB, au bord de l'effondrement économique, la Grande-Bretagne opta pour restaurer l'étalon-or