Ouïghours : le boycott de la Chine n’est pas la solution
Le vrai sujet n’est pas de restreindre les échanges mais d’agir pour qu’ils soient mieux équilibrés et mieux régulés dans le sens de la préservation des intérêts des partenaires de la Chine.
Le vrai sujet n’est pas de restreindre les échanges mais d’agir pour qu’ils soient mieux équilibrés et mieux régulés dans le sens de la préservation des intérêts des partenaires de la Chine.
La CGT, la FSU et d’autres organisations de gauche exigent que soient bloqués les licenciements. Une ineptie économique.
Il est urgent de rectifier le tir en faisant quelque chose que nos administrations détestent faire par-dessus tout : évaluer l’efficacité des dispositifs qu’elles ont imposés à tous.
Le 2 décembre dernier disparaissait l'économiste Walter Williams. Une grande figure de la pensée libertarienne et un combattant de la liberté s'en est allé.
L'approche constructiviste de la première femme appelée à diriger les finances publiques américaines ne laisse rien présager de bon pour l'avenir de l'économie de la première puissance économique mondiale.
En intervenant sur tous les fronts, la machinerie administrative a fait bondir la part des dépenses publiques, rapprochant dangereusement l'économie française d'une économie administrée de commandement soviétique.
Entre le « quoi qu'il en coûte » d'Emmanuel Macron et « le bilan va s'alourdir quoi qu'on fasse » d'Olivier Veran, on mesure l'ampleur des difficultés auxquelles notre économie est aujourd'hui dramatiquement confrontée.
Il semble qu'on évolue sûrement mais de moins en moins lentement vers un régime inquiétant dans lequel l'Etat paie les salaires, prétend créer les emplois, bénéficie d'une création illimitée de monnaie et restreint de plus en plus sévèrement nos libertés.
L'histoire économique montre que les pays développés ne doivent pas leur prospérité à la colonisation mais que celle-ci a été un jeu à somme négative que récusaient les partisans du libéralisme économique.