Indigestion syndicale chez McDonald's
Rien ne vaut une bonne intersyndicale d'extrême-gauche pour couler une entreprise...
Rien ne vaut une bonne intersyndicale d'extrême-gauche pour couler une entreprise...
Bienvenue, Mr Smith ! Le nouveau pilote d'Air France-KLM n'a pas encore mis les pieds dans son bureau qu'il affronte déjà la vindicte syndicale.
Le nouveau président patronal Geoffroy Roux de Bézieux va-t-il vraiment bousculer la vieille dame de l’avenue Bosquet, ou va-t-il se contenter de beaucoup de communication ?
Les enjeux des élections professionnelles de cette fin d’année sont majeurs pour les suites à donner à la nouvelle culture des relations sociales au sein de la SNCF.
L'élection du medef du 3 juillet prochain ne mobilise pas les foules. Verra-t-on l’emporter un candidat incarnant le renouveau à l’instar d’Emmanuel Macron en politique ? Ou le nouvel élu défendra-t-il avant tout le système en place ?
Un entretien sur la CGT et le syndicalisme avec Pierre Rigoulot, spécialiste du communisme et rédacteur en chef de la revue Histoire et Liberté.
Les Français ont raison d'être choqués par les grèves SNCF, elles ont tout d'une manifestation purement politique.
Sauver la SNCF ? Mais pour quoi faire ? Et avec quel argent ?
Certains s’inquiètent de voir l’organisation patronale manquer singulièrement de souffle au moment où la présidence de la République s’inscrit dans un renouvellement systémique.
Pimkie a annoncé hier avoir présenté à son comité central d’entreprise un projet de rupture conventionnelle collective portant sur près de 200 départs volontaires. Serait-ce la fin du syndicalisme de contestation ?
Avec habileté, le Président Macron fait avaler aux syndicats un nombre impressionnant de couleuvres. Face à lui, ce sont des confédérations en pleine déconfiture qui entament des retraites en ordre dispersé.
Encadrer le droit de grève par les règles élémentaires d’imputabilité propres à la protection de la propriété privée permettrait à coup sûr de mettre fin aux sempiternelles tentatives d’embrasement et de grand soir.
La CGT et ses proches ont péniblement rassemblé le 12 septembre quelques maigres dizaines de milliers de manifestants, complaisamment filmés par des chaînes amies qui montraient une foule là où il y avait des rangs mités.
Aujourd’hui l’opposition ne se mesure plus au nombre de manifestants dans la rue. L’écoute donnée aux syndicalistes croît en fonction inverse de leur représentativité.
Pourquoi avoir évoqué le privilège des billets gratuits pour les familles de cheminots ? Coup de com ou premier coup de semonce ?
Selon Le Monde le régime de retraite dispendieux des cheminots devrait disparaître au profit d’un grand régime universel. Manifestement, les cheminots n’ont pas bien compris que les années de veau d’or s’achevaient.
Projet prioritaire d'Emmanuel Macron depuis son élection, la loi sur la moralisation de la vie publique a été adoptée dans la douleur par le Sénat, à la veille du week-end du 14 juillet.
Les ordonnances ont suscité peu d’enthousiasme au sein des organisations syndicales. On peut s’attendre à une montée progressive en température, surtout dans l’hypothèse où le gouvernement durcirait son projet après les législatives.
Le nouveau gouvernement ne pourra réformer en profondeur le France sans réforme préalable du droit de grève.
La CGT tente une nouvelle fois de priver les Français de carburants pour arriver à ses fins clientélistes. Des méthodes choquantes.