Il faut privatiser Pôle Emploi
Il faut privatiser Pôle emploi et transformer le statut des agents publics en salariés du privé, véritables agents commerciaux.
Il faut privatiser Pôle emploi et transformer le statut des agents publics en salariés du privé, véritables agents commerciaux.
Le télétravail est une opportunité précieuse dont le bon usage doit être apprécié au plus près des partenaires dans la diversité des situations. La souplesse de la réglementation est le meilleur gage de son efficacité sociale, et liberté doit être laissée aux acteurs.
La formation et l’éducation des travailleurs français seront la clé de notre redémarrage économique. En serons-nous capables ?
« Bâtir un modèle économique plus fort, pour ne pas dépendre des autres », un « modèle économique durable qui soit la clé de notre indépendance » ?
La solution pour aider les soignants n'est pas de leur donner des congés, mais de réfléchir autour du temps de travail.
Contre toute attente, les chiffres du chômage ont baissé aux États-Unis entre avril et mai.
Les publications trimestrielles habituelles de l'INSEE et la DARES peinent à rendre compte de la réalité des statistiques du chômage.
Quel que soit le domaine où se pose le regard, on revient toujours à un fondamental : la présence humaine interactive. Alors télétravail, oui, quand cela rend service !
Le "Protocole national du déconfinement pour les entreprises pour assurer la sécurité et la santé des salariés" pondu par les pouvoirs publics est un labyrinthe réglementaire à la fois infantilisant et méprisant le privé.
Là où l’État et les services publics ont failli malgré d’énormes moyens, c’est justement le marché et le privé qui devront prendre le relais. C’est le laissez-faire qui redressera la France, pas la planification étatiste.
En plus du télétravail, le gouvernement grec a introduit d'autres mesures qui ont donné une aura de flexibilité dans la gestion des relations de travail.
Face au Covid-19, que peut-il rester du salariat en 2021 ou en 2025 dans une économie fortement récessive et chavirée dans ses fondements comme dans ses moyens ?
L’État décide, en lieu et place des chauffeurs eux-mêmes, que ce statut d’indépendant est inapproprié. Les chauffeurs ne sont pas gagnants à être salariés.
Le chômage baisse et c'est tant mieux. Mais nous ne travaillons plus beaucoup en France, et nous cherchons à le cacher. Les chiffres ne mentent pas et ils expliquent nos faiblesses.
Obliger les entreprises à considérer les travailleurs autonomes comme des salariés pourrait réduire les revenus de ces derniers et les priver de ce premier pas sur le marché de l’emploi.
Certes le chômage baisse, mais ce n'est pas le moment encore de se réjouir : il y a fort à faire.
La fin du salariat et du CDI est déjà annoncée ; les travailleurs de demain seront à leur compte, libres et exerçant diverses fonctions tout au long de leur carrière.
Charges sociales salariales et patronales sont toutes payées in fine par la même personne : le salarié ! Illustration en image de l'ampleur des prélèvements sociaux en France.
Si la politique américaine de l’emploi est le fruit d’un changement de cap évident, cela ne semble pas être l'option choisie par la France.
Oblomov et Diogène, deux grands fainéants, vivraient-ils en France, où la durée du travail, la productivité, et le taux d’emploi y seraient tout trois plus faibles qu'ailleurs ?