Macron sur son cheval « pâle »

Quand un gouvernement inscrit son action sous le signe de la guerre, chacun doit s’inquiéter pour sa vie et sa liberté.

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Macron sur son cheval « pâle »

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 20 décembre 2022
- A +

« Responsabilité, mais en aucun cas panique » dit Macron.

Il n’est pas Saint Jean-Paul II. Quand c’est Macron, les populations sont en droit de s’inquiéter.

Quand un gouvernement inscrit son action sous le signe de la guerre, chacun doit s’inquiéter pour sa vie et sa liberté. C’est la porte ouverte à des coercitions majeures, des décisions qui pourront entraîner la mort d’innocents puisque c’est la guerre.

C’est la justification du totalitarisme.

 

La peur, mode de gouvernement

Macron a créé la peur puis il a chevauché ce « cheval pâle » pour étendre son pouvoir. Certains justifient cette politique de la peur par l’obtention de l’obéissance des Français, pour leur bien. Si la peur est nécessaire, la politique est mauvaise. Si la confiance est obtenue, la politique est bonne.

Il a créé l’effroi lors des épidémies de covid. Cet effroi était totalement injustifié du point de vue médical. La peur a permis de soumettre les populations, les enfermer, les vacciner en masse malgré les effets secondaires vaccinaux nombreux et graves, de les chosifier, réduites à un QR code pour mieux les contrôler, de mettre en place et tester une législation totalitaire.

Cette législation est prête a être utilisée de nouveau dès que l’État le voudra. Ce sont ses décisions. Il en porte la responsabilité.

Il a joué avec la peur à propos du « dérèglement climatique anthropique » et systématiquement négatif. Personne ne peut dire ce qu’est un climat réglé, le CO2 est un « gaz de vie », il n’y a pas « d’urgence climatique ». Le réchauffement à l’Holocène a permis l’explosion de la vie sur Terre, l’apparition de l’Histoire, la prospérité de l’humanité qui à l’ère glaciaire, se réduisait à quelques groupes à peine capables de survivre.

Il a annoncé l’alarmante « fin de l’abondance ». Les pénuries n’ont rien d’apaisant et signent une politique socialiste. Il a accentué la peur avec la pénurie énergétique que lui et son gouvernement ont immédiatement instrumentalisée pour effrayer, faire obéir et culpabiliser les Français. C’est une crise artificielle, qu’il a délibérément provoquée en prenant des sanctions contre les Français au prétexte de punir la Russie. Les sanctions sont sa décision. Il en porte la responsabilité. Cette crise énergétique est préméditée. Nous n’avons pas besoin que des missiles de précision frappent nos infrastructures énergétiques, nous avons nos politiciens.

Cela fait des années que pour complaire aux Khmers verts et être élus, les politiciens en charge du pays, quelle que soit leur étiquette, ont sabordé la filière nucléaire : défaut d’entretien, fermetures intempestives et idéologiques des centrales existantes, abandon des surgénérateurs etc. S’y ajoutent des centaines de milliards d’euros de mal investissement dans des énergies dites « renouvelables » non fiables, non pilotables, intermittentes, immatures technologiquement, polluantes à la fabrication, à l’implantation, à l’utilisation et à la fin de vie. Il n’est pas incohérent d’inclure dans cette liste les voitures électriques.

Il nous a précipité dans une guerre contre la Russie, ce qui n’est pas rassurant. Il a envoyé de l’argent, des troupes françaises, du matériel de l’armée française à l’Ukraine. Il a choisi son camp. La guerre continue, des civils innocents meurent.

Covid, Macron donnait le change

Les maladies font peur depuis l’aube des temps. Ce sont des adversaires d’autant plus angoissants que leurs vecteurs sont invisibles. Les gens demandent protection. Le gouvernement a beau jeu de « protéger ». Les gens jugent la gravité de l’épidémie à la sévérité des coercitions qu’ils subissent. Ils souffrent pour être sauvés.

Des milliers de personnes sont mortes : manque ou retard de soins (Plan blanc) ; retard de diagnostic ; suicide en conséquence des mesures d’enfermement et de coercition sociale ; effets secondaires létal du vaccin anti covid obligatoire et de masse alors que ces personnes en parfaite santé ne seraient jamais mortes du covid ; manque de soins précoces quand elles l’avaient contracté.

Le Sénat se penchait déjà sur ces problèmes le 1er décembre 2021 : troubles des règles, fausses couches, déficit de naissances etc.

Il y a aussi les statistiques Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS ) aux États-Unis et l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) en France.

Malgré tout cela, Macron pouvait donner le change lors de sa gestion du covid en prétendant agir pour « sauver des vies » et « protéger » les Français « quoi qu’il en coûte ». Bien des Français ont gobé sa propagande. Les milliers de vies sacrifiées étaient présentées comme le prix à payer pour en sauver d’autres. Des sacrifices humains en quelque sorte.

 

Énergie, impossible de donner le change

Parlant des coupures d’électricité engendrées par cette politique de pénurie énergétique, Laurent Meric, porte-parole d’Enedis, a inquiété tout le monde. Il a fallu rassurer.

Macron est alors allé au charbon : « Ce débat est absurde […] le rôle des autorités publiques ce n’est pas de transférer la peur, ni de gouverner par la peur. » 

Les décès liés à la gestion du covid étaient considérés comme des dégâts acceptables. Ce n’est plus le cas des éventuels décès qui seraient liés à la crise énergétique. Dans le premier cas le coupable désigné de la souffrance infligée n’était pas un humain mais un virus. Le coupable véritable, le gouvernement, était occulté. Dans le second le coupable véritable, le gouvernement, ne peut pas se cacher. Il apparaît au grand jour. Un traumatisme causé par un humain sur un autre être humain est plus délabrant qu’un traumatisme d’origine non humaine.

Macron peut agiter la guerre en Ukraine, les gens sont de plus en plus conscients qu’il est le responsable de la situation du pays.

Malheureusement au lieu de revenir à une politique saine et utile il persévère et continue à enfoncer le pays.

 

La peur changera t-elle de camp ?

Aurait-il peur ? Aujourd’hui le « cheval pâle » s’est emballé. Il lui faut calmer les ardeurs anxiogènes gouvernementales et médiatiques.

« Appeler chacun à la responsabilité pour qu’il y ait de la sobriété ». Si coupures d’électricité il y a, c’est de la faute des Français qui n’auront pas fait d’économies suffisantes. Si ce qui reste de l’industrie s’effondre à cause de la politique énergétique, les particuliers, qui ne représentent que 20 % de la consommation d’électricité, ne souffriront pas de coupures.  « Le travail du gouvernement c’est qu’il y ait une planification » 

Le souvenir des Gilets jaunes le hante. Il a du les réprimer et les traiter comme des criminels. Que se passera-t-il quand les Français se rendront compte qu’ils sont victimes d’une politique abjecte et abreuvés de mensonges ?

Par la faute de Macron la situation de la France n’est pas brillante. L’énergie c’est la vie. Les coupures d’électricité ne se réduisent pas à avoir froid et mettre un pull à col roulé, ni à être privé de téléphone ou d’ordinateur. L’électricité est partout dans la vie quotidienne, les systèmes électriques, les systèmes automatiques sont multiples. Sans énergie, en particulier sans électricité, plus d’entreprises, plus d’agriculture, plus d’industrie agroalimentaire. William Saurin et Garbit mettent la quasi-totalité de leur production à l’arrêt.

Des millions de nos compatriotes sont déjà en grande pauvreté, en grande précarité de logement ou alimentaire. Cela pourrait pousser ceux qui n’ont plus rien à perdre à se révolter. Dans cette hypothèse, les nouveaux Gilets jaunes qui descendront dans la rue seront probablement plus coriaces et moins pacifiques que les précédents.

Le pouvoir a peur, d’où l’appel à rendre les armes dites illégales, c’est-à-dire la pétoire du grand-père. Les mafieux, les trafiquants, les malfaiteurs, les terroristes garderont leurs kalachnikovs et tout le matériel occidental que l’Ukraine revend au marché noir. Le pouvoir craint la violence du désespoir. Désarmer la population diminue considérablement ses moyens de révolte.

Seul l’État reste armé, il garde le monopole de la violence légale. Il se protège d’un éventuel recours à la violence légitime à son encontre.

« Le droit de celui dont on attaque la liberté, ou, ce qui revient au même, la propriété, les facultés, le travail, est de les défendre même par la force; et c’est ce que font tous les hommes, partout et toujours quand ils le peuvent. » Frédéric Bastiat, Services privés, service public. (1850)

 

Malveillance

Pourquoi une telle malveillance ? L’État est-il psychopathe ?

Le psychopathe n’a aucune empathie pour autrui, n’accorde aucune valeur à la vie humaine, à la personne qui est réifiée.

Pourquoi un tel manque de maturité et de culture ?

Il faut remarquer que l’âge moyen des derniers gouvernements indique que leurs membres ont subi depuis l’école primaire jusqu’à l’enseignement supérieur l’éducation issue des idées de 1968 et des pédagogues. Ils ont été élevés par des adultes ayant eux mêmes subi en grande partie cette éducation. La question du lien de cause à effet avec cette médiocrité mérite d’être posée. Ils n’ont pas la culture nécessaire pour avoir une pensée critique. Il faudrait espérer alors que ni Macron ni son gouvernement ni l’Union européenne n’ont vu venir, imaginé que les conséquences catastrophiques de leurs politiques seraient causes de souffrances immenses pour la population. Ces souffrances seraient donc accidentelles.

À moins qu’obnubilés par la création d’un monde nouveau, d’un Homme nouveau, les souffrances infligées aux populations soient considérées comme un mal nécessaire et donc délibérées. Ce qu’il faut observer c’est la ténacité dans la nocivité. Se tromper une fois peut arriver, c’est une erreur. Se tromper deux fois est une faute. Continuer à se tromper n’est plus une erreur : c’est voulu et répond à un objectif.

 

Bastiat reviens !

« Que faut-il donc faire ?
Voici ma pensée. Je la formule dans toute sa naïveté au risque de faire dresser les cheveux sur la tête à tous les financiers et praticiens.
Diminuer les impôts. — Diminuer les dépenses dans une proportion plus forte encore.
Et pour revêtir cette pensée financière de sa formule politique, j’ajoute :
Liberté au dedans. — Paix au dehors. » Frédéric Bastiat, Paix et liberté le budget républicain (1849)

Liberté au dedans :

« Pour moi, je pense que lorsque le pouvoir a garanti à chacun le libre exercice et le produit de ses facultés, réprimé l’abus qu’on en peut faire, maintenu l’ordre, assuré l’indépendance nationale et exécuté certains travaux d’utilité publique au-dessus des forces individuelles, il a rempli à peu près toute sa tâche. 

En dehors de cercle, religion, éducation, association, travail, échanges, tout appartient au domaine de l’activité privée, sous l’œil de l’autorité publique, qui ne doit avoir qu’une mission de surveillance et de répression. » Frédéric Bastiat, À MM. les électeurs de l’arrondissement de Saint-Sever 1846

Paix au dehors :

En finir avec les sanctions, renouer avec la Russie, écouter ce qu’elle dit, en finir avec la censure, cesser d’entretenir la guerre en Ukraine, penser d’abord à la France.

S’il faut la défendre « Je dirais au pouvoir : manquez-vous de force pour maintenir l’ordre au dedans et l’indépendance au dehors ? Voilà de l’argent et des hommes, car c’est au public et non au pouvoir que l’ordre et l’indépendance profitent. » Frédéric Bastiat, À MM. les électeurs de l’arrondissement de Saint-Sever 1846

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  • quel magnifique résumé de la situation de la France et des méfaits de nos politiques, bravo;

  • Merci pour vos conseils plein de sagesse inspirés de Bastiat mais le tripoteur en chef, pervers narcissique, ne les suivra jamais.
    C’est tellement plus facile d’instaurer la paranoïa collective, la peur de la menace invisible, pour se faire obéir du peuple !

  • Qu’entendez-vous par « écouter ce que dit la Russie » ? Nous savons parfaitement ce qu’elle dit : que tout le mal du monde vient du libéralisme, que la démocratie libérale est un mensonge, que la liberté politique est une illusion, que l’Occident est pure décadence. N’est-ce pas plutôt vous, qui refusez d’entendre ce qu’elle déclare à jet continu depuis neuf mois ? Où puisez-vous vos informations ? Songez-vous un seul instant que Bastiat aurait vu dans l’Etai poutinien, centralisateur et prédateur au plus haut point, férocement opposé à tous les principes libéraux, un allié possible ? En vertu de quel contortionnisme ?

    • J ai oublié de dire que c’est Angela Merkel qui a fait cette déclaration du 8/12/22

    • Tout à fait d’accord avec Blook.
      C’est vraiment dommage que P de Casanove, qui est si lucide sur la situation générale de la France et les responsabilités écrasantes des gouvernants (dont bien sûr Macron aujourd’hui) perde le sens commun à propos de l’agression poutinienne; la référence à notre cher Bastiat est totalement à côté de la plaque.
      Un autre point de désaccord à propos du vaccin anti-covid : les errances de la politique anti-covid du gouvernement (confinements abusifs…) ne doivent pas nous conduire à condamner le vaccin, même imparfait.

      • Je suis d’accord avec vous, cher z63. Prendre appui sur le délire sanitaire de Macron pour vomir aveuglément toute vaccination est absurde. Aucun médecin sérieux ne nie que le vaccin a sauvé les vies de très nombreuses personnes âgées. Le fait qu’un produit soit rendu obligatoire par l’État n’en fait pas un produit absolument condamnable. Quant aux Gilets Jaunes, il ne faut pas oublier qu’ils ont été très vite rejoints par la pire racaille communiste, gauchiste, anarchiste et islamiste : défendre ce mouvement sans distinction est suicidaire.

      • Mais il ne faut pas avoir peur de le dire, cette injection génique n a rien à voir avec un vaccin, pas assez d ‘études sur les méfaits et l on voit bien ce que cela donne;

        -2
  • Hélas, mille fois hélas, cet article reflète la triste réalité de la situation dans laquelle se trouvent des millions de Français, bernés par des idéologies imposées et par une aliénation de leur liberté d’expression et de penser. Et nous sommes en France, pays d’émergence de la démocratie … jadis … dans un passé lointain au retour improbable sinon par une nouvelle « révolution » libérale prenant enfin en considération l’individu-citoyen.

  • Il faut se méfier de tout gouvernement voulant nous embrigader au nom de la guerre contre tout et n’importe quoi, assurément.

    Mais pourquoi diable vouloir « renouer avec la Russie, écouter ce qu’elle dit, en finir avec la censure, cesser d’entretenir la guerre en Ukraine » ? Qui entretient la guerre en Ukraine à part la Russie qui l’a déclenchée ? Y a-t-il plus antilibéral qu’un état russe bâti sur la spoliation, la corruption et l’agression de ses voisins ? Plus suspect ou dangereux pour nous que de nous rapprocher d’un état qui coche toutes les cases de l’antilibéralisme, et s’en réclame de manière assumée ? Si moi aussi je jouais à faire parler les morts, je dirais que Bastiat aurait eu un avis très clair mais je doute que ce soit celui que vous lui prêtiez. Arrêtons de faire parler ces morts de grâce ! Quant à vouloir faire de la Russie un partenaire, elle nous montre chaque jour qu’elle ne peut être un partenaire fiable en utilisant la pression de l’énergie, en venant empoisonner jusque chez nous ses ennemis et en finançant chez nous sa propagande. Quel intérêt à « renouer » avec quelqu’un qui veut votre perte ?

    Sinon, et sans grande surprise, on retrouve Roland Lombardi dans les sources avancées. Eric Denécé ou Jacques Baud n’étaient plus disponibles en thuriféraires du Kremlin ? Sans surprise, derrière ces fausses informations, la patte pas très habile de l’ours russe.

    • « Quel intérêt à « renouer » avec quelqu’un qui veut votre perte ? » C’est une excellente question, et ceux qui vous mettent un « -1 » pour l’avoir posé on peur du reflet qu’elle leur renvoie d’eux-mêmes. La tirade pro-Poutine n’est pas seulement bête, elle est coupable. Quant à Roland Lombardi, il écrit pour l »Humanité, RT et Sputnik. Tout un programme.

    • La France et l’Allemagne, prétendument garantes des accords de Minsk, sont les dernières à pouvoir parler de fiabilité des partenaires russes.

      • De plus, il faudrait nous expliquer en quoi les échanges économiques devraient se faire exclusivement entre états amis. Nos échanges avec les pays du Golfe, par exemple, obéissent-ils à cette règle, eux ?

  • rarement lu un résumé aussi lucide et implacable de la calamiteuse situation de la France. Maintenant, que faire pour en sortir ?

    • Le vouloir. Et à voir combien de commentateurs vous traiteront de tous les noms, dont « poutinien », si vous proposez la moindre solution qui ne passe pas par l’écrasement de dizaines de milliers de gens sous les bombes, ça n’est pas gagné.

  • « Que se passera-t-il quand les Français se rendront compte qu’ils sont victimes d’une politique abjecte et abreuvés de mensonges ? »
    S’ils ne s’en sont pas encore aperçu, c’est soit qu’ils sont aveugles, soit, plus grave qu’ils sont c**s et ne veulent pas voir, et personnellement je pencherai pour la seconde proposition.
    Donc il ne se passera rien à moins que les banlieues émotives n’allument quelques mèches de mortiers pour animer la morne France!

  • en gros d’accord.. mais..

    la peur est presque toujours à la base de l’argumentation politique peur du capitalisme ou
    des migrants .. on parle de peurs  » communes » qui deviennent obligatoires ce n’est pas un hasard si le scepticisme est devenu quais criminel et réglementé..
    le problème reste que l’état ne doit PAS se mêler de certains trucs.. .. or seul l’état est à même d’obliger.. un vaccination ne doit pas être obligatoire.. mais elle peut être exigée CONTRE par exemple l’accès à un lieu privé ou « étranger. »

    écouter la russie ça ne veut rien dire… c’est poutine qui cause pas la Russie.

    • en gros d’accord.. mais..

      la peur est presque toujours à la base de l’argumentation politique peur du capitalisme ou
      des migrants .. on parle de peurs » communes » qui deviennent obligatoires ce n’est pas un hasard si le scepticisme est devenu quais criminel et réglementé..
      le problème reste que l’état ne doit PAS se mêler de certains trucs.. .. or seul l’état est à même d’obliger.. un waksin ne doit pas être obligatoire.. mais elle peut être exigée CONTRE par exemple l’accès à un lieu privé ou « étranger. »

      écouter la russie ça ne veut rien dire… c’est poutine qui cause pas la Russie.

  • Je croyais que Contrepoints était un journal libéral, et certainement pas un journal complotiste. Cet article est ahurissant de mauvaise foi, avec un degré de réflexion égal à zéro. Je suis très déçu de lire ici que le vaccin contre le Covid était une mauvaise idée, et qu’il faudrait cesser d’aider l’Ukraine. Exactement ce qu’on lit chez les complotistes. Triste.

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