Par l’équipe de Contrepoints et de l’association Liberaux.org.
Contrepoints s’engage auprès de la Fondation de France.
Pour faire face à la crise sanitaire, la Fondation de France, l’AP-HP et l’Institut Pasteur ont lancé un appel aux dons à travers l’alliance « Tous unis contre le virus ».
Si vous aussi vous souhaitez vous mobiliser et faire un don à la Fondation de France, vous pouvez le faire sur cette page dédiée.
Les dons collectés seront destinés à venir en aide aux personnels soignants, à financer des projets de recherche ainsi qu’à soutenir des associations qui œuvrent auprès des plus vulnérables.
Pour les personnels soignants, partout en France, il s’agira notamment :
– de fournir du matériel pour accroître les capacités d’accueil des personnes malades et de leurs proches dans les hôpitaux ;
– de déployer des services de proximité pour soutenir et aider les personnels soignants dans leur vie quotidienne ;
– d’accompagner la mise en place de cellules d’aide psychologique pour les soignants éprouvés par les conditions auxquelles ils doivent faire face.
Pour le soutien aux chercheurs, les dons serviront à financer des projets de recherche menés notamment dans les domaines suivants :
– l’étude du nouveau coronavirus et de la pandémie en cours afin de limiter son expansion ;
– l’élaboration de tests permettant de détecter des anticorps contre le virus dans la population ;
– la mise au point de traitements efficaces et innovants contre le nouveau coronavirus ;
– le développement de vaccins ;
– l’étude de l’impact de l’épidémie sur les soins et les soignants.
Pour les associations de proximité, les dons serviront à aider :
– des personnes âgées confinées seules chez elles ou en établissements ;
– des personnes vivant dans la rue ;
– des personnes atteintes de troubles psychiques dont les soins doivent être absolument maintenus dans le contexte de confinement ;
– de toutes les personnes fragiles qui se retrouvent très isolées.
Vous pourrez ensuite suivre concrètement ces actions et les bilans de ces actions, directement sur le site de la Fondation de France.
Dans cette crise sanitaire et devant les manquements, défaillances et erreurs de gestion, la société civile se mobilise pour prendre le relai.
Merci de votre générosité.
L’équipe de Contrepoints et de l’Association Libéraux.org
?
Si je fais un don en tant que libéral, j’aimerais qu’il soit clairement identifié et qu’on ne retrouve pas dans les médias ensuite les habituels couplets sur le manque de générosité et d’empathie des libéraux.
J’aimerai faire un don de masques non homologués par l’état sans passer par les structures de l’aphp, de la fondation de France, de l’institut pasteur et de l’inserm c’est possible ?
On est en pleine dissonance cognitive…
Le sens de l’humour involontaire de Michel O est significatif : « Si je fais un don en tant que libéral… ».
Michel O semble se caractériser d’abord et avant tout par une pensée politique. Ce n’est pas du tout une philosophie libérale. Un libéral considère le pouvoir politique comme un mal nécessaire et se considère lui-même comme un être libre qui pourrait éventuellement, au nom de sa liberté, se rebeller contre un pouvoir autoritaire.
On ne donne pas « en tant que libéral » mais en tant qu’humain altruiste. Seuls les communistes, les fascistes, les radicaux de tout poil se pensent d’abord comme des militants ou des adeptes d’une idéologie. Je ne serai jamais, pour ma part, ni un militant politique, ni le soutien inconditionnel d’une quelconque pensée, fut-elle libérale. J’exige toujours, au préalable, le bénéfice d’inventaire. Il faut se méfier comme de la peste (ou du coronavirus) des dérives de la pensée politique ou économique.
Je donne pour l’humanité, en tant qu’homme.
Autre remarque : très heureux que la rédaction de Contrepoints sorte un peu de son négativisme parfois très populiste pour s’associer à une campagne de dons. En cultivant constamment la polémique à propos de cet épisode pandémique, vous lassez les lecteurs exigeants et caressez dans le sens du poil les adeptes des solutions toutes faites, soi-disant libérales.
Le libéralisme aurait-il résolu la quadrature du cercle ? Le sens des nuances n’est pas inutile. Ou pour reprendre une formule célèbre : tout ce qui est excessif est sans portée.
Ce qui est excessif, Monsieur, ce sont les dernières quatre-vingt années durant lesquelles les bureaucraties de santé ont extorqué par la contrainte des ressources énormes pour aboutir à une incapacité aveuglante de prévoir une et de se préparer à une pandémie pandémie, problème sanitaire bien connu dans ses principales manifestations depuis des siècles et à y faire face sans recourrir à des méthodes moyenâgeuses (souvenons-nous du lépreux et sa crécelle) et liberticides détruisant la valeur de l’épargne et/ou les vies des gens, les ruinant ainsi une ennième fois.
On peut effectivement, comme vous le faites, se demander si le marché libre aurait fait mieux, mais seulement si, préalablement, on a admis que l’étatisme dans les soins de santé (comme ailleurs) a été un lamentable échec.
Et la campagne de dons lancée par C. ne serait qu’un vain exercice de « virtue signaling » si, par ailleurs -et heureusement- de nombreux articles et commentaires sur son site n’avaient mis en lumière mieux que moi cette escroquerie intellectuelle.
Les dépenses de santé sont de 16,9% du PIB aux Etats-Unis et de 11,2% en France (voir OCDE). Personne ne pense aujourd’hui que l’état sanitaire de la population américaine soit bon (obésité, etc.), ni mêmé meilleur qu’en France.
Y-a-t-il aux Etats-Unis une « escroquerie » encore plus énorme qu’en France ?
Selon vous, c’est une évidence. Ou alors vous employez des mots totalement inappropriés pour frapper les esprits, sans souci d’exactitude.
Cela s’appelle le populisme.
Mais non. Je donne sans attendre que Contrepoints fasse une campagne d’appels aux dons. C’est mon côté altruiste. Si CP fait une campagne, je ne considère pas ma réponse en don supplémentaire comme un geste politique, mais j’aimerais bien que l’on considère la dénonciation de ceux qui me condamnent simplement parce que je serais libéral — et par conséquent dénué d’empathie — comme un geste politique malvenu. Mais franchement, de toute façon quand je donne, je n’en rien à faire de ce qu’on pense de moi, je donne parce que c’est mon choix d’individu. C’est juste que quand on pense du mal de moi j’aimerais pouvoir me défendre, et que certains gestes pourraient m’y aider.
« la dénonciation par ceux qui me condamnent »
Le don volontaire est pour un libéral le substitut incontournable à l’impôt.
a condition que celui ci ait disparu
Le don volontaire oui mais en quoi dois je croire que mon don servira vraiment à la recherche ?
Sinon le conflit d’intérêt entre gilead, roche et le crédit suisse, avec des pseudo études a 2 balles, on en parle ?
Rien de libéral là dedans
Ah oui le jubilee, j’avais oublié…
et un don involontaire, qu’est-ce ? Une contribution volontaire obligatoire ?
Si vous êtes contre le don volontaire pour faire tourner les missions régaliennes de l’état alors accepter l’impôt.
Je peux également venir en aide à beaucoup de gens dans mon entourage.
Personnes âgées, mamans dans le besoin, personnes isolées, ce n’est pas ce qui manque…j’aime pouvoir regarder ces personnes dans les yeux et leur faire part de ma compassion et de mon amitié.
Lorsque le contact est impossible, je donne Uniquement après avoir la certitude que mon argent sert une cause que je partage.
vous avez raison , regardez ce que ces organisations utilisent pour leur propre fonctionnement,, ce n’est pas satisfaisant quand vous donnez 100 euros , combien arrivent là ou ils devraient?
Ainsi vous justifiez l’impôt.
What is a cartel ?
pas plus que çà , si on libéralise on crée une concurrence et le tri se fera par les mutuelles
Je n’ai malheureusement aucune confiance dans la Fondation de France que ce soit dans leurs choix d’investissements, dans leur mode de gestion, dans leur fonctionnement etc…Je préfère (euphémisme) aider des petites associations constituées de bénévoles, à la rigueur quelques salariés et aux faibles charges de structure, de communication … et le tutti quanti.