Le climat ou le nouvel enjeu de la tentation autoritaire

La transition écologique qui consiste à transformer étatiquement, idéologiquement et obligatoirement la société au lieu de la laisser évoluer au rythme naturel de la science et des technologies mises en concurrence est déjà bien engagée.

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Le climat ou le nouvel enjeu de la tentation autoritaire

Publié le 23 juillet 2019
- A +

Par Nathalie MP.

L’information n’a pas pu vous échapper : la planète est en danger, le climat est en danger, les papillons et les abeilles sont en danger, l’humanité court à sa perte, la fin du monde est proche, jamais l’humanité n’a été confrontée à un risque de cette ampleur, il faut absolument sauver ce qui peut encore l’être, on ne peut plus attendre, il y a urgence, il n’y a plus une minute à perdre, l’avenir de la planète et l’avenir de la vie sont en jeu !

Ce discours typiquement catastrophiste, mélange d’inquiétudes sur l’épuisement des ressources et sur le réchauffement climatique anthropique qui va tous nous engloutir dans les eaux impétueuses des océans ou la fournaise accablante de terres en désertification croissante, on nous le sert depuis près de 50 ans.

 

Contrôler nos vies pour le climat

Dans son célèbre rapport de 1972 intitulé The Limits To Growth, le Club de Rome voyait déjà le système économique mondial aller au désastre en 2030 si rien n’était fait au plus vite pour mettre un terme à l’épuisement des ressources naturelles provoqué par les coups conjugués de croissances démographique et économique débridées.

Quant à faire quelque chose, il n’était question que d’en passer par un contrôle drastique de nos vies : limitation des naissances à deux enfants par famille, taxation de l’industrie pour limiter la production et redistribution des richesses à chacun selon ses besoins. Bref, du planisme et de l’autoritarisme.

En 2012, une petite mise à jour des projections de 1972 conduisait le Club de Rome au même résultat : le système de production capitaliste s’effondrera en 2030, certains « experts » parlant même de 2020.

Nous sommes en 2019, je vous laisse juges de la pertinence de ses analyses – sachant que les populations souffrant de sous-nutrition sont passées sous la barre des 800 millions de personnes quand la population mondiale montait à 7 milliards ; sachant qu’il n’existe aucune inquiétude sérieuse à avoir sur l’épuisement à moyen terme des ressources naturelles ; et sachant que les projections démographiques actuelles font toutes état d’une baisse de la fécondité qui va entraîner à plus ou moins brève échéance une baisse de la population mondiale.

En fait d’effondrement, on a plutôt assisté à la chute du monde riant de la planification communiste tandis que le monde capitaliste faisait et continue à faire de son mieux pour adapter ses processus industriels et ses produits aux exigences environnementales croissantes des opinions publiques. Sans compter que partout où le mode de production capitaliste est suffisamment appliqué, il a l’incommensurable audace d’augmenter l’espérance de vie et le niveau de richesse.

Mais la catastrophite aiguë n’en a pas disparu pour autant, bien au contraire. Focalisée sur le climat depuis le Protocole de Kyoto de 1997 qui fixa les premiers objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (CO2 principalement), elle permet aux tentations autoritaires nichées au cœur de l’écologie radicale depuis le premier rapport du Club de Rome de rebondir de plus belle.

 

Appel face à la fin du monde

C’est ainsi qu’en août dernier, l’astrophysicien français Aurélien Barrau accédait à la notoriété mondiale en lançant un Appel face à la fin du monde. Oui, vous avez bien lu, la fin du monde :

Il n’est plus possible de le contester : le monde se meurt. La catastrophe en cours est immense. Peut-être sans précédent dans l’histoire universelle. (…) Beaucoup d’humains – probablement une majorité, voire la totalité – vont souffrir et peut-être mourir. Les individus animaux vont mourir par dizaines de milliers de milliards. (…) Au rythme actuel, dans quelques décennies, nous aurons presque tout saccagé. Nous aurons commis un crime contre l’avenir. etc. etc.

L’apocalypse puissance mille, autrement dit, et c’est aujourd’hui, sous nos yeux, à nos portes, dans nos champs et dans nos villes que ça se passe : silence, on tue.

Tremblez, pleurez, lamentez-vous tant que vous voulez, humains trop lâches pour résister aux injonctions de la consommation capitaliste sans limite ni vergogne, mais il n’existe qu’un seul chemin de rédemption : renoncez à votre petit confort apparent et « exigez du pouvoir politique qu’il impose le nécessaire » !

Ce qui est bien avec les solutions autoritaires, c’est que même si tout est mis en œuvre pour nous faire comprendre qu’on nage en pleine horreur écologique et climatique, il n’est finalement jamais trop tard pour se soumettre. Tant il est vrai que ce qui compte n’est pas la réalité, mais le sentiment d’urgence profondément inoculé en nous à force d’activisme et d’appels de ce type qui pourraient enfin nous pousser à renoncer volontairement à notre mode de vie libéral et à nous placer docilement sous la contrainte tyrannique du prétendu impératif climatique.

Si l’on reste attaché à la notion de réalité et à l’analyse des faits, disons qu’on observe un (tranquille) réchauffement de la planète ainsi qu’un accroissement du taux de CO2 dans l’atmosphère. Mais c’est tout, ajouterais-je, au risque de choquer peut-être certains lecteurs sensibles.

Le reste, l’apocalypse annoncée, la disparition des ours polaires, la montée vertigineuse des océans, la disparition de la banquise, les exodes massifs pour cause de sécheresse, l’accélération des événements climatiques extrêmes – tout ceci n’existe que dans les obsessions des écologistes de combat et dans des projections dont les données plus affolantes les unes que les autres ne sont jamais vérifiées a posteriori dans les faits (voir graphique ci-dessus).

Contrairement à ce qu’affirme Aurélien Barrau, on n’a jamais vu de réfugié du réchauffement climatique. On n’a jamais vu de mort ou de malade non plus. Des morts et des blessés dans des tremblements de terre ou des ouragans, oui, et sans doute plus qu’autrefois car la population mondiale a augmenté, et elle tend à se montrer moins vigilante dans ses implantations. Mais des victimes du réchauffement, non.

 

« Il faut sauver la planète »

Autrement dit, le réchauffement climatique a accédé politiquement au statut de première externalité négative du développement économique capitaliste alors qu’on n’a jamais vu la moindre matérialisation effective de ses dommages. Mais grâce à une pression politique et médiatique intense, tout le monde répète en boucle avec un air pénétré qu’il faut sauver la planète.

Aussi, quand Aurélien Barreau nous sort son catastrophisme par paquets de douze et appelle à une forme de dictature du bien autoproclamé pour sauver l’humanité, il est immédiatement suivi sans sourciller par Juliette Binoche et une ribambelle de belles âmes hautement conscientisées.

Il est immédiatement suivi par le think tank Novethic, entité étatique dépendant de la Caisse des Dépôts et Consignations, qui se faisait récemment l’écho des mesures terriblement contraignantes qu’il faudrait mettre en œuvre pour limiter à 1,5°C (objectif de la COP21) la hausse de la température globale depuis l’ère pré-industrielle.

On croit rêver en lisant qu’il faudrait interdire la vente de véhicules neufs pour un usage particulier dès maintenant, que les constructions neuves devraient être exclusivement de l’habitat collectif avec une surface maximum de 30 m2 par habitant, que les vols hors Europe non justifiés devraient être interdits à partir de 2020, ou que les vêtements neufs mis sur le marché devraient être limités à 1 kg par personne et par an.

Des préconisations à vous donner la chair de poule, mais qui représentent cependant la mesure concrète du dirigisme ultra-autoritaire que nos activistes les plus divers exigent des États dans tous les domaines de notre vie « pour sauver la planète ».

Le cabinet qui a pondu ce programme reconnaît qu’il est « peu réaliste » mais d’ajouter ensuite :

C’est une véritable économie de guerre qu’il faut mettre en place, une économie de rationnement, d’efforts intenses qui nous sort de notre monde de confort.

Que comprendre sinon qu’il faudra en passer par le despotisme – on n’ose dire éclairé – de l’écologisme radical ? Comme le dit Aurélien Barreau à la fin de sa propre tribune, ce qui compte, c’est de multiplier les appels pour qu’ils finissent par envahir l’espace.

 

L’apparition de Greta Thunberg

L’espace… et les esprits. Ce n’est pas écrit mais c’est bruyamment sous-entendu, et c’est en passe de fonctionner. La mobilisation des lycéens, la mobilisation de Greta Thunberg en témoignent tristement.

Greta Thunberg a 16 ans et souffre du syndrome d’Asperger, c’est-à-dire une forme d’autisme qui altère ses capacités sociales. Suite à une dépression nerveuse sévère, elle développe des angoisses à propos du changement climatique, devient végétalienne, ne prend plus l’avion et réussit à convaincre ses parents de la suivre dans cette voie.

Depuis août 2018, elle passe ses vendredis assise devant le Parlement suédois avec un panneau orné du slogan « grève scolaire pour le climat » afin d’obliger son gouvernement à mettre en œuvre les mesures (du type Novethic, forcément) qui permettront de réduire les émissions de CO2 conformément aux accords de la COP21.

Rapidement repérée par les mouvements écolos qui n’ont décidément aucun scrupule à instrumentaliser une jeune fille mineure et, qui plus est, fragile, elle intervient notamment lors de la COP24 qui s’est tenue en Pologne en décembre dernier.

On comprend vite qu’elle ne parle pas climat mais anti-capitalisme primaire, le climat n’étant plus qu’un prétexte dans un combat totalement politisé. La lutte contre le réchauffement climatique est transformée en « justice climatique » et passe par la mise en accusation des « riches » – encore eux. Un discours typiquement gauchiste qui n’a plus rien à voir avec la science du climat mais toutes les apparences de l’idéologie des lendemains qui chantent socialistes (vidéo, 03′ 46″) :

Notre civilisation est sacrifiée pour permettre à une petite poignée de gens de continuer à gagner des sommes d’argent énormes. Notre biosphère est sacrifiée pour que les riches des pays comme le mien puissent vivre dans le luxe. Ce sont les souffrances du plus grand nombre qui paient pour le luxe de quelques-uns.

Dès demain, nos lycéens consciencieusement effrayés par l’épouvantable futur qui leur est décrit à longueur de médias – « la planète court à sa fin », « je ne veux plus avoir d’enfants », etc. –  seront donc en grève scolaire pour le climat. Il n’est guère rassurant de voir les secrétaires d’État Emmanuelle Wargon (écologie) et Gabriel Attal (éducation) entrer complaisamment dans leur jeu. Faut-il s’attendre à de nouvelles mesures coercitives, à de nouveaux impôts, au retour de la taxe carbone, le tout gentiment emballé dans les terreurs fort opportunes des jeunes générations ?

La transition écologique qui consiste à transformer étatiquement, idéologiquement et obligatoirement la société au lieu de la laisser évoluer au rythme naturel de la science et des technologies mises en concurrence est déjà bien engagée par le gouvernement à coup de taxes, interdictions et subventions, et on ne voit pas ce qu’il pourrait faire dorénavant sans porter une atteinte considérable aux libertés individuelles déjà passablement écornées dans ce pays.

Cet article a été publié une première fois en mars 2019.

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  • Le but inavoué de toutes ces manoeuvres est l’élimination physique des pauvres pour éviter qu’ils viennent bouffer dans la gamelle des riches écolos blancs. Devinez donc où en trouve le plus grand nombre ?

    • Nope. Les pauvres sont totalement éco-compatibles en tant que serviteurs et mascottes. Également, comme reproducteurs dans de strictes limites, la reproduction étant diabolique et caca-boubou aux yeux du bobo conscientisé.
      L’élimination physique ne s’applique qu’aux hérétiques.

      • Et bien entendu, seul le bobo éco-conscientisé ne fait pas du caca-boubou. Seul, il transforme ce qu’il touche en or massif…

      • @ Pangzi
        Auparavant ils avaient besoin d’esclaves qui travaillaient pour les engraisser. Mais avec la robotisation ils n’en ont même plus besoin. D’où ce mépris de Macron, qui est leur représentant, pour ce peuple de chômeurs. Ils haïssent les pauvres!

    • En effet, la « tentation autoritaire » relève d’une minorité qui entend nous asservir avec notre consentement.
      En ce 23 juillet de « canicule », une nouvelle rafraîchissante qui montre que les procédes de propagande n’ont pas changé depuis l’URSS: exploitation idéologique de faits, occultation d’une partie de la réalité, sans compter les mensonges avérés…

      https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/reunion-front-froid-sud-neige-fondue-sommets-732760.html

  • L’écologie politique n’est qu’une mutation du socialisme.

    Les dicsours sur la lutte des classes, les sales riches, les méchants patrons et le turbokapitalisme étant un peu usés, il fallait bien trouver autre chose

    Du coup on nous ressert les même idées, mais enrobées de bonne conscience ecolo et surtout avec l’idée d’urgence, pour accélérer l’agenda socalio marxiste.

    Et devinez quoi…ça marche !

    Le socialisme semble malheureusement immortel, et recyle à l’infini ses bonnes recettes de culpabilisation et d’autoritarisme.

    • L’objectif juif maçonnique (Illuminati) est la réduction de la race humaine (les goyim) au statut d’animaux domestiques au service de l’élite. Et tout le reste en découle, étant bien admis que l’élite, c’est eux.

    • Le pire, et il faut le répéter, le trompéter sur tous les toits: le CO2 n’y est pour rien dans le -petit- réchauffement climatique observé. RIEN, mais RIEN de RIEN.
      Ce qui n’empêche pas de s’occuper de choses sérieuses, comme les rats à Paris ou les cacs et bouteilles plastiques dans les océans.

      • Vous verrez, dans 20 ans ces andouilles demanderont du rabio de rat bio pour épargner les insectes…
        Incohérents un jour, incohérents toujours ❗

  • Bravo et merci pour cet article. Une bouffée d’air frais !

  • Un grand pays fut ecologiste avant l’heure: l’urss
    Pas de bagnole , pas de voyage non autorises quelques m2 par personne dans une habitation communautaire, files d’attentes demesurees devant le magasin d’etat….reservê au peuple.
    Donc si le climat evolue vers la catastrophe….., C’est la faute a poutine…et a trump voulant une croissance demesuree de l’amerique ….la liberte est l’ennemie de la planete .

    • Pas sûr qu’on puisse qualifier les usines et les politiques de l’ex-URSS d' »écologistes avant l’heure » – ce qui reste de la mer d’Aral pourra en témoigner, pour prendre un exemple extrême.

  • ne votez pas pour et çà disparaîtra

  • la planète en danger…..une aubaine en or pour ceux qui ne savent plus comment pomper l’argent des citoyens ; et puis pendant ce temps on ne nous parle pas de tout les sujets qui fâchent ….

  • de toute façon et c’est la même chose avec le communisme qu’est ce qui empêche de vivre les islamistes en accord avec leur parole, (on n’a pas vu les membres du pcf vivre dans une petit collectivité où tout le monde possède tout et décide de tout non?)…

    parce que il faut rappeler une chose la minorité qui s’enrichit bel et bien de façon importante y arrive car cela profite à un très grand nombre…ce n’est donc pas la raison pour laquelle on saccagerait la « planète ».

    ceci dit on a toujours des militants communistes…

    • on peut aussi rappeler qu’une génération précédente protesta contre la société de consommation…pour au final arriver à faire de l’éthique, la biologie des arguments marketing de vente!!!
      ce mouvement n’est pas vraiment une nouveauté…

  • Et juste après leur défilé contre les zinjustes (et riches) pollueurs capitalistes, nos jeunes ados vaillants et sémillants retourneront manger à la cantine où on balancera à la poubelle 70 % des légumes et autres aliments qu’ils auront laissé dans leur assiette. En attendant, ils auront téléphoné (appareil bourré de terres rares et d’électricité d’origine nucléaire) à leur maman pour transmettre leur fierté d’avoir lutté pour la planète, tout en dévorant leur choco pop (ou leur m’n m chrispie sont là) en jetant sur le trottoir son magnifique emballage coloré.

  • Excellent texte, comme toujours Nathalie.
    Mais qu’il est difficile à faire passer dans nos entourages.
    Pour ma famille, pour mes amis, Greta est le fer de lance de cette nouvelle jeunesse qui s’approprie les problèmes que nous, adultes, ne savons pas, n’avons pas su gérer.
    Et puis, hein, une gamine de 16 ans, autiste qui plus est, elle ne peut pas dire de bêtise, la vérité ne sort elle pas de la bouche des enfants ?
    Mais je continue, continuellement, à lutter pour contrecarrer les messages anxiogènes de nos medias conscientisés. Au risque de devenir chiant moi-même puisque les mensonges, les erreurs et les contrevérités sont balancés tous les soirs par paquets de douze.
    Je ne vous parlerai pas des cours de SVT de mon fils en 1ère.
    Je suis obligé de tout reprendre.
    Bref, le monde n’est vraiment pas rose avec cette bien-pensance dégoulinante.
    Et comme dit un des éditorialiste de ce site, j’ai comme la vague impression que ce pays est foutu.

    • Raphaël Gluksman sur France Inter: nous prêchons la bonne nouvelle (l’écologisme politique) !

      • Gluksman est liberticide, et ne s’en cache pas : les libertés privées DOIVENT être limitées pour lutter contre le sacro-saint changement climatique.

        • Ils tiennent ouvertement des discours fascistes et personne ne proteste!

          • Ils viennent de finir d’épuiser les discours racistes…. Ils passent à autre chose.

          • Règle numéro 1 : le « camp du bien ne saurait être taxé de fascisme, qui par définition appartient au camp du mal »
            Règle numéro 2 : si le discours d’un membre reconnu du « camp du bien » a la couleur du fascisme, l’odeur du fascisme, le goût du fascisme, voir la règle numéro 1.

          • Les discours fascistes passent toujours quand ce sont des discours tenus par des gauchistes.

            • Ce n’est pas un hasard : la fascisme est une forme du même socialisme, comme la social-démocratie, le nazisme ou l’écologisme, entre autres, le sont. C’est même une de celles qui a le mieux réussi (à détruire son pays plus rapidement que les autres). Récemment, un concurrent sérieux est apparu avec le chavisme bolivarien. La lutte est rude entre les impétrants socialistes pour réussir à faire pire que ses concurrents.

          • Une question:
            a quel moment le fachiste est il devenu fasciste ?
            En 68 on les appelait fachistes, diminutif ‘fachos’; puis l’écriture a glissé vers ‘fasciste’, mais le diminutif ‘facho’ a subsisté.
            Je demande parce que je viens seulement de m’en rendre compte en vous lisant.
            D’ailleurs même le correcteur veut modifier ‘fachiste’ en ‘fasciste’…

            • le mot fasciste vient d’Italie ou il est né..  » de l’italien fasci, faisceau
              (maniere de ranger les armes) (emblème de l’autorité de la Rome antique utilisé par les milices de Mussolini) »..
              mais bon on ne peut pas demander aux boutonneux branchés SMS , de savoir de quoi ils parlent

              • Le faisceau était le symbole du pouvoir (de contraindre et de punir) dans la Rome antique. Chaque magistrat était précédé des licteurs, plus ou moins nombreux (2,6 ou 12) selon son rang, qui portaient un faisceau constitué d’une hache entourée de verges servant à fouetter les condamnés à ce supplice!

      • Et ces gens là osent critiquer les religions…

    • Aucun espoir dans les 20 ans a venir, la doctrine soviétique n’aurra pas encore disparu .
      Concernant le climat je me souviens d’un interview de Hulot dans les année 95 je ne sais plus c’est faucheux, mais qui prédisait le cahot en 2015 ….plus de pétrole….. ressource de la terre épuisé…
      Le catastrophisme climatique, la bonne blague, la terre n’a certain pas besoin de nous pour vivre donc elle nous fera payer le prix fort en cas de débordement, dans tous les cas à l’échelle de sa vie nous ne représentons rien, voulons nous sauvez la planète ou nous même.
      Un bonne Éruption volcanique « Krakatoa » mettrait tous le monde d’accord sur les biens fait du climat …..

    • Pays foutu, mais pas la planète car d’autre pays sont moins dogmatique écolo.

    • Greta est surtout l’instrument de papa et maman …un peu comme les jeunes qui sont l’instrument de l’ednat et de l’Etat socialiste , quand ils sont naifs ils servent l’intérêt de certains.

  • Et le manu qui sort le st graal ( la cop 21 ) pour se définir comme le garant mondial du  » sauvetage de la planète « ! Mais que les gens sont veaux, n’est-ce pas mon général, s’ils vont voter pour lui!

  • Enfin un peu de respiration.
    Exemple de censure médiatique:
    J’ai écrit dans un forum d’un quotidien du matin , proche d’un avionneur, que « Greta était la Bernadette Soubirous de l’ecologie religieuse » , ce propos a été censuré par le journal.
    On ne plaisante pas avec la religion

    • @eden à la différence que bernadette soubirous n’a jamais forcé qui que ce soit à venir à Lourdes . Elles s’est contentée de vivre selon ses choix . On rêverait qu’il en soit de même pour les écolos

    • Heureusement que tu n’as pas parlê d’autisme..les autistes sont tres gourmands de nature et pour cause…on ne plaisante pas avec la maladie ..mais on l’exploite sans remords.

    • Oh, mais c’est un crime de lèse-majesté. Et pire que d’insulter Oulà, là.

  • Vive la République Écologiste du Véganistan !

    • Et oui, il y a un parallèle entre les talibans et écolos fachos. Ils veulent que le reste de la population vivent selon leur préceptes, leurs idéaux. La contrainte et la violence viendront quand ils en auront les moyens.

    • qui boutera les valets de l’impérialisme des forces de l’argent , hors les murs de la france lumière du monde?

  • «C’est une véritable économie de guerre qu’il faut mettre en place, une économie de rationnement, d’efforts intenses qui nous sort de notre monde de confort.»

    Ou comment exiger le totalitarisme sans le dire…

  • « C’est une véritable économie de guerre… » En effet, et c’est une guerre contre les populations:
     » Dans les années 60, le rapport « Iron mountain » publié aux Etats-Unis, soutient que la guerre remplit des fonctions fondamentales dans la société : maintien de la cohésion sociale, fort contrôle gouvernemental sur l’économie, contrôle de la surpopulation, source de progrès scientifique et d’inspiration artistique, etc. La guerre étant devenue impossible [du fait de l’équilibre de la terreur pendant la guerre froide] , elle ne peut plus assumer ses fonctions sociales de façon crédible, il faut lui trouver un substitut. Le rapport examine de nombreuses possibilités, parmi lesquelles la menace écologique occupe une place de choix.

    Après avoir envisagé diverses solutions [dont des pollutions de masse]? le rapport conclut sur le fait qu’il faudra trouver un ennemi de remplacement d’une ampleur et d’une crédibilité suffisantes, si l’on veut que la transition vers la paix aboutisse un jour sans désintégration sociale.
    « Il est plus que probable, selon nous, qu’une telle menace devra être imaginée, plutôt que créée, à partir de situations inconnues. »
    (Leonard Lewin, Report from the Iron Mountain on the Possibility and Desirability of Peace, New York, the Dial Press, 1967. Traduit en français sous le titre La paix indésirable ? Rapport sur l’utilité des guerres, Calmann-Levy, Paris, 1967)

    Comme le rapport « Halte à la croissance ? » qui le suivra, ce document doit être considéré comme une opération de manipulation psychologique, [..] un épisode majeur de la guerre idéologique menée par les malthusiens pour transformer le paradigme des sociétés occidentales. Les idées de la « Montagne de fer » (Iron Mountain) vont en effet prendre racine et aboutir, in fine, à la création d’une nouvelle menace globale, le réchauffement global.  »

    Extraits de:
    http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/31/89/29/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes.pdf

    Il est important de comprendre que l’idéologie sous-jacente, qui s’apparente à la fois au malthusianisme et à un totalitarisme planétaire – dont les médias, ONG et certains milieux universitaires sont les obligés – préexistait à la fable du réchauffement anthropique.

    • Les origines du rapport n’étants pas clairement établie (CIA ?, analystes ? journalistes ?…), il faut faire gaffe quand on l’utilise pour étayer son argumentation. Le constructiviste de salon adore mettre de doigt sur ce point. Ce qui est bien entendu débile, le « rapport » ne fait que décrire des processus psychologiques a l’oeuvre dans nos sociétés : notamment le besoin d’avoir d’avoir un ennemi (« Construire l’ennemi » d’Umberto Eco est assez passionnant de ce point de vue) et, par conséquence, croire qu’il peut être combattu. Croire qu’on peut arrêter la fin du monde, croire que l’on peut changer la « mauvaise nature » de l’homme pour créer un paradis sur terre… Gustave Lebon à écris 2/3 trucs sur ce sujets.
      Le bain de sang final n’a que peut d’importances pour ceux qui en font la promotion. La cause sera toujours la plus importante…

      • La politique rend fou. Quelle que soit l’idée de base, la réalisation conduit immanquablement à l’abject.

        On le sait, et pourtant non seulement on ne fait rien, mais les media sont le fer de lance des politiques destructrices.

      • Le rapport b’rst qu’un é,élebt du te te d’Emmanuel Grenier. Par ailleurs tout cela s’inscrit dans le contexte géopolitique d’après 1945.
        Ce qui interpelle aussi, c’est que beaucoup de noms cités dans ce texte sont des idéologues mondialistes que l’on retrouve à la création d’autres instances internationales ou de l’UE…
        Ce qui importe, ce sont les faits.

  • L’écologisme radical se pare d’un visage enfantin mais ce totalitarisme est en marche et c’est bien là le danger majeur pour la planète. En France les écologistes obtiendront entre 6 et 8% des voix aux prochaines élections mais personne, soyons en sur, ne se demandera comment ils peuvent avoir aussi peu de voix et autant d’influence dans les médias et dans les organes du pouvoir.

  • Ce qui est marrant avec Greta Zetong, c’est sa façon de dire que rien est fait.
    Du haut de ses 16 ans et de sa méconnaissance de la société et de la politique, comment peut-elle dire que rien est fait ?
    Sait-elle toutes les lois, réglementations écologistes qui sont faites ? Et que dire des divers financement, subventions qui sont conditionnés « transition énergétique » ? Et toutes les innovations du privé qui réduisent la consommation d’énergie et de CO2 ? Et tous les remplacements structurels allant dans ce sens ?
    Elle ne le sait pas et l’ignore. Le changement est généralement pas quelque chose d’aussi palpable. En tant que gamine endoctrinée, elle agit comme toute gamine endoctrinée et considère que le changement doit se faire par un dictateur éclairé qui guide le peuple vers la lumière, le bras tendu comme Lénine.
    Elle veut que tout soit mobilisé pour la fin, mais ignore que mobiliser plus de moyens qu’il ne le faut est contreproductif à cause des rendements décroissants, et évince les moyens pour d’autres secteurs qui ne sont pas moins importants (nutrition, santé, déplacements, construction et même écologie)

  • Bon article comme toujours auquel je souscris totalement.
    Les réactions des 2 secrétaires d’état me révolte.

  • ridicules….. dangereux…….

  • En d’autres termes, chers frères, sœurs et grille-pains non binaires, Il est temps! Temps de nous offrir en sacrifice à un animisme planétaire de pacotille, ce qui, peut-être, nous consolera de la mort de Dieu et de l’abdication de la Raison.
    … Ce continent est foutu.

  • Dès qu’il y a une connerie à faire l’énarque débile de la loupe pas!

  • je partage à 1000 pour cent cette analyse… Que pouvons-nous sou faire? je vais mettre ce texte sur Facebook comme une bouteille à la mer . .Si tout le monde le fait peut être nous arriverons à gagner la bataille de l’opinion ,mais ,en tous cas ,répondre à la demande de pouvoir d’achat des GJ par des mesures pastèques ,ça n’arrangera pas le climat quasi du insurrectionnel pays

  • Comme quoi le fondamentalisme n’est pas que religieux. Ces gens là sont dangereux mais ils ont le vent en poupe et c’est diablement inquiétant. Ce qui est ironique c’est qu’on sait que les gilets jaunes ne sont pas insensibles à la cause écolo. Il faudra alors qu’ils en rabattent sur leurs exigences du « toujours plus » puisqu’il faut faire désormais « du toujours moins ». La contradiction est aujourd’hui au centre de nombre de décisions débiles mais quand on défend une cause on n’est pas à ça près. Ce qui aussi « cocasse », c’est de voir nombre de jeunes s’engouffrer dans cette démarche, eux les consommateurs invétérés (scooter, téléphone portable, terrasses des cafés, vacances) et si peu capables de réflexion.

    • @yann ce phénomène a tout d’une religion la nouvelle divinité est la terre, la nature . C’est pour moi la renaissance d’un paganisme assez ancien.

    •  » Comme quoi le fondamentalisme n’est pas que religieux.  »

      En fait l’étude de l’évolution du climat est devenue une religion. Il ne faut croire que le version de la théorie dominante. Tout ce qui va à l’encontre est devenue de l’hérésie. Les idéologues réchauffistes ont décidés eux-même comment le climat doit évoluer.

    • Les jeunes sont idéalistes et manipulables.
      Mais la cible ce sont les adultes: réduire les opposants au silence (s’ils émettent des objections, ils ne s’opposent pas seulement aux politiques climatiques, mais aussi à la jeunesse et ça, c’est pas bien)

  • En effet. Mais le pire est quand même que ces jeunes, soi-disant l’avenir, choisissent de refuser de s’instruire comme moyen d’action. J’aurais bien vu que leur mouvement soit plutôt une grève du zèle, s’obligeant à apprendre le double pour avoir une chance de mieux se mesurer aux « problèmes » qu’ils dénoncent…

  • Le seul et unique but des « écologistes » est l’éradication du capitalisme. C’est ce qu’a déclaré, il y a plusieurs années déjà, une responsable du mouvement à l’ONU. Quand on sait ça, on a compris les manœuvres des escrolos.

  • Toutes ces simagrées me font penser à la danse de la pluie.
    Comme si les politiciens étaient des sorciers qui peuvent faire la pluie et le beau temps et comme s’il suffisait de gesticuler pour changer le climat. Ta gueule, c’est magique…
    J’en peux plus de ces pitreries.

  • Ce qui est fort, c’est que l’on peut voir sur le schéma du plat de spaghettis que les 2/3 de la fin du monde ont mystérieusement disparu.

    Les Ayatollah climatistes cherchent avidement (comme l’or du reich) ces 2/3 de réchauffement lucratif perdus au fond des océans. Faute de résultats, on a transformé le réchauffement en changement assaisonné de biodiversité et de particules fines pour justifier la transitude.

    Et tout va pour le mieux dans le monde des fake-media, de la boboïtude et des bisounours.

  • Un article utile car il reprend et rappel l’essentiel des néfastitudes irrationnelles et abrutissantes des Auto proclamés Ecolos.

  • Est-il possible d’avoir le lien vers la source du graphique qui donne la différence entre les résultats des modèles et ceux de la réalité ?

  • Bonne lecture.

    Mesdames et messieurs les proviseurs,
    L’engagement du ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse (MENJ) pour répondre aux défis induits par le changement climatique est profond et s’inscrit dans les politiques éducatives, les actions et les projets pédagogiques.
    La montée en puissance des problématiques liées au changement climatique rend nécessaire une implication volontariste de la part de tous les acteurs de la communauté éducative, pour contribuer à la mise en œuvre de la transition écologique et du développement durable.
    Dans ce cadre, la date du vendredi 15 mars prochain doit être l’occasion d’organiser des débats portant sur les enjeux du changement climatique et sur les réponses qui peuvent y être apportées. Il s’agit ainsi de donner les moyens à tous les lycéens de pouvoir s’engager à l’occasion de l’appel international à la jeunesse pour lutter contre le changement climatique.
    Le 15 mars de 16h à 18h : organisation de débats durant une séquence banalisée.
    Je vous demande d’apporter toute votre attention aux initiatives qui émaneront des lycéens, en particulier dans le cadre des travaux des conseils de vie lycéenne (CVL) et des maisons des lycéens (MDL).
    Vous organiserez un moment banalisé le 15 mars, de 16h à 18h, dédié à des discussions argumentées entre les élèves, les enseignants et les personnels de direction sur les thématiques du changement climatique.
    Les thèmes abordés lors de ces débats pourraient porter, par exemple, sur :
    • Les économies d’énergie ;
    • Les énergies renouvelables ;
    • Le lien entre la lutte contre le gaspillage alimentaire et celle contre le changement climatique ;
    • La citoyenneté et la solidarité face au changement climatique.
    Ces échanges pourraient déboucher sur des propositions de projets pédagogiques à mettre en œuvre au sein des lycées, comme des « démarches globales de développement durable » (E3D), ou à la participation à des concours comme CUBE 2020 – Concours Usage Etablissement Efficace 2020, ou le label Eco-École.
    Les représentants au CAVL sont également mobilisés en lien avec les CVL. Ils reprendront les différentes propositions qui permettront d’alimenter la préparation du Conseil national de la vie lycéenne qui se tiendra le 5 avril prochain.
    Vous trouverez en fichier joint un argumentaire résumant les différentes formes de prise en compte du changement climatique par le MENJ, ainsi que le lien vers un dossier de présentation du changement climatique élaboré par le ministère de la transition écologique et solidaire.
    Une page dédiée à cette mobilisation sera mise en ligne sur le site Eduscol dès le 12 mars afin de vous aider à organiser cette séquence qui vise à la fois à informer les élèves des enjeux et à formuler des propositions concrètes émanant de la réflexion collective.
    Je vous remercie par avance de votre implication en faveur de l’engagement de toute la communauté éducative sur cette thématique.

    Jean-Marc HUART
    Directeur général de l’enseignement scolaire

  • Nathalie MP pose la question « Faut-il s’attendre à de nouvelles mesures coercitives, à de nouveaux impôts, au retour de la taxe carbone, le tout gentiment emballé dans les terreurs fort opportunes des jeunes générations ? »

    Bien sur, c’est le but de ces manifestations probablement téléguidées d’ailleurs. Macron a reçu cette jeune fille, on parle maintenant de lui décerner un prix Nobel….
    Ensuite, on pourra faire revenir la ribambelle de taxes écolos qu’on a du abandonner à cause des gilets jaunes et on nous expliquera que c’est indispensable : il faut sauver la planète !

  • Et le pire sera dans 30 ans quand ils s’apercevront que les scénarios catastrophes tant annoncés n’auront pas eu lieu, ils vous dirons au lieu d’admettre qu’ils ont eu tort que si les catastrophes ne sont pas arrivées c’est justement grâce à toutes ces gréves du climat, aux taxes écologiques, à la prise de conscience collectives qui nous a évités de connaitre le pire. Alors que ça fait déjà plusieurs fois que l’on nous a annoncé ce fameux point de non retour. ( les écolos nous auront réussi à nous inventer des points de non retour qui se manifestent plusieurs fois dans le temps. )

    Les prophètes de malheurs nous fait le même coup il y a plus de 20 ans avec la couche d’ozone. Que c’était déjà trop pour prendre des mesures comme l’interdiction des CFC. Ils nous expliquaient que les molécule de CFC dans l’atmosphère ont une durée de vie de 50 ans à 80 ans ce qui continuera à amplifier les dégâts à l’ozone.

    Maintenant que l’ozone va mieux 20 plus tard; au lieu d’admettre qu’ils ont exagéré la menace, ils nous sortent le coup que c’est grâce à toutes les mesures prises il y plus de 20 ans pour interdire les CFC qui a porté ses fruits. Par contre l’histoire de la durée de vie de la molécule de CFC qui devaient empirer les dégât pendant plusieurs décennies; ben ils comme par hasard complètement oubliés ce détail.

  • La « fin » du communisme mais aussi de la « foi »(éducation ou ..) chrétienne en occident, ont laissé un vide qu’une nouvelle religion politique s’est dépêchée de combler. Ce mouvement met à jour également le déclin du Monde Scientifique qui n’est plus à même de se faire entendre (ou n’en a plus le courage ou …), de la baisse de niveau général (plus grand monde capable de lire ou d’étudier un dossier….dont la Presse) etc ajoutés à l’infiltration « d’activistes/lobbyistes » qui, aujourd’hui, sont aux manettes..sans parler des politiques qui se sont engouffrés .etc… Mais c’est de « notre » faute. La France « silencieuse » est restée silencieuse et l’est toujours pensant qu’un bulletin dans l’urne suffisait . Elle (nous) a laissé faire, n’a pas compris que les rapports de force, de communication, d’expression avaient changé …. Elle se retrouve aujourd’hui face à des réseaux constitués, actifs, communiquant et en fait au pouvoir.. Et! là ??????

  • Mais. Est-ce que les lycéens comprennent qu’ils manifestent pour exiger d’avoir un niveau de vie inférieur à celui de leur parents ?

    (En plus de bouffer des insectes, ne jamais posséder de voiture, renoncer aux voyages et s’entasser dans des HLM BBC à 30 m2 max par personne)

  • Commentaires sur la courbe de Christy présentée dans l’article.

    Le docteur John Christy enseigne la climatologie à l’université d’Alabama, Huntsville. C’est un ancien du GIEC. Il a disposé sur une même courbe les 102 modèles des membres du GIEC (dont la moyenne est la courbe rouge dite courbe du GIEC) et les mesures réelles par ballons et satellites.
    Il est facile pour tous d’observer que:
    1) Les courbes des modèles sont très foisonnantes, ce qui en soi montre une grande incertitude desdits modèles. La courbe rouge, moyenne des incertitudes, ne diminue en rien l’incertitude. Les prévisions du GIEC sont donc empruntes d’une grande incertitude.
    Seul un modèle est en accord avec les mesures réelles: ce labo n’aura pas ses subventions l’an prochain !
    2 ) La courbe rouge du GIEC est très au-dessus et très fausse par rapport aux mesures expérimentales. Pire, sa prolongation jusqu’à la fin du siècle pour extrapoler des prévisions à partir d’une courbe fausse et très incertaine relève d’un délire hallucinant, démarche dans laquelle aucun scientifique ne se risquerait.
    3) Les courbes expérimentales sont très concordantes, augmentent très peu, et montrent que « l’urgence climatique » dont on nous rebat les oreilles est une pure vue de l’esprit.

    Au vu de ces résultats, les Américains ont laissé tomber provisoirement le GIEC. La France, pays de Descartes, aurait dû faire de même.

  • C’est vrai les écolos les plus radicaux ont une vision totalitaire, comme tous les radicalismes. La peur, le catastrophisme sont leurs armes. Bien que tout le monde ne tremble pas c’est devenu l’air du temps, un champs de force invisible qui entraîne tout. Dans mon club d’astronomie, la plupart des scientifiques sont de vrais moutons sur le sujet et diront : ce n’est pas ma spécialité, je ne sais pas trop, faisons confiance.
    J’en déduis que ce n’est pas seulement une question de connaissances mais surtout une question de concurrence envers les esprits radicaux.

    •  » Dans mon club d’astronomie, la plupart des scientifiques sont de vrais moutons  »

      En même temps je les comprend. Car être scientifique est douter de la théorie dominante du réchauffement climatique peut leur amener des emmerdes au niveau professionnel.

      • Malheureusement vrai, surtout les universités françaises qui sont des vrais repères de gauchistes, mais cela gagne les USA et d’autres pays, comme le révèle l’article de Peggy Sastre dans le point !
        L’Occident est en pleine décadence intellectuelle et morale, pendant que l’Asie forme des dizaines de milliers de scientifiques tous les ans. L’avenir est la bas et comme nous régressons ils vont prendre le leadership que nous abandonnons à cause de la gauche!

  • A propos des écolos de salon, la petite Greta Zedong :

    https://tinyurl.com/yxr6rzmd

    • ce qui rigolo est de demander ce que ces gens SAVENT…or à part « les scientifiques sont convaincus que ‘ si on fait rien ‘ c’est la catastrophe »… c’est sans doute le néant…

  • Le pétrole et le gaz gouvernent l’économie du monde depuis bien longtemps…Tout conflit armé révèle cet état de fait..Les ressources de notre vieille terre se reconstitue naturellement…Mettre en avant l’écologisme c’est permettre d’économiser ces matières premières et l’ingéniosité de la science fera le reste..En pratique continuez à vous chauffer au fioul et à rouler en diesel..chaudières et moteurs font et feront des progrès majeurs….Les grands pétroliers y travaillent et manoeuvrent en silence….

  • le portrait a quelque chose de la Joconde!

  • Quand on voit ce qui a déclenché la grande crise des GJ (le 80 km/h, le durcissement du CT et une augmentation de la taxe carbone), il est fort probable que les mesures « jusqu’au-boutistes » de type rationnement des déplacements, interdiction d’usage des véhicules (avec le corollaire d’une grave crise sociale sur fond de chômage grandissant) engendrent un contre-coup que les politiques auront bien du mal à gérer.
    A court terme, le plus probable reste cependant l’élection de partis d’extrême-droite pour qui l’écologie, le développement durable et le réchauffement climatique sont les cadets de leurs soucis.
    L’ED joue sur du velours : les conséquences éventuelles du réchauffement climatique ne surviendront pas, si elles surviennent, avant des dizaines d’années. Les crises sociales, pour cause de décisions politiques insensées et liberticides, surgissent très rapidement.
    Aurélien Barreau et Greta Thunberg sont les meilleurs agents – d’aucuns n’hésiteraient pas à parler d’idiots utiles – de l’extrême-droite en Europe.
    La question est donc la suivante : que préférons-nous… Des mesures liberticides prises sous la pression d’écologistes radicaux, ou des mesures liberticides décidées par des partis d’extrême-droite parvenus au pouvoir ?

  • Je rajoute un commentaire à celui que j’avais fait en mars dernier lors de la première parution de cet article.
    Vous utilisez l’expression « écologie radicale » alors que l’écologie est une discipline scientifique et ne peut donc être radicale. Il s’agit en fait d’écologisme radical, c’est à dire d’idéologie radicale.
    D’ailleurs en fin d’article, vous dites bien : « la transition écologique qui consiste à transformer étatiquement, idéologiquement et obligatoirement la société… »
    On nous bassine au quotidien avec « l’écologie », alors qu’il est en réalité question d’écologisme.
    Ne rentrons pas dans le jeu des idéologues qui utilisent à dessin le mot écologie pour éviter le suffixe « isme » (qui sous-entend une idéologie) du mot écologisme et faire croire que leur discours est basé sur la science et non sur l’idéologie.

  • Sainte Greta vient de dire à l’Assemblée nationale que les pays riches doivent atteindre 0 emission de CO2 le plus vite possible. Super ! dès qu’on va toucher à leur porte-feuille les Français réagiront.

  • Nathalie MP, vous n’y connaissez rien en climatologie…

    • Sauf que toute cette hysterie n’a pas grand chose à voir avec le climat.

      Il suffit d’écouter les discours de Sainte Greta, au bout de 2min, ça part en délire marxiste, anti-riche et anti-capitaliste.
      Pas trop difficile de voir qui est derrière elle et tire les ficelles

  • Je pense qu’il sera difficile de revenir en arrière…
    Quand on voit le nombres de personnes qui investissent dans des panneaux solaires pour profiter des subvention et du rachat subventionné de l’électricité produit.
    Même des mairies se lancent dans des projets de solaires, de plus en plus d’agriculteurs se lancent également dans des projets de méthanisation à coup de prêts bancaires, de subventions de l’Ademe et des conseils départementaux/régionaux (région Grand Est).
    Il faudra bien continuer à prélever/augmenter la CSPE pour racheter tous ces KWH produits à grands frais pour que les prêts contractés puissent être remboursés

  • il ont meme trouvé une beradette soubirou.. alors si ce n’est pas une religion , c’est quoi

  • Le socialisme est politiquement une phrase transitoire vers un système utopique : le communisme. Utopique donc inatteignable.

    L’échec du socialisme est toujours dû au fait -selon ses pairs- qu’on ne l’a pas laissé mûrir vers l’idéal communiste.

    C’est pour cette raison que le socialisme sera constamment recyclé. Le gauchisme, qui englobe toutes ces formes de socialismes, est un abcès qu’on ne peut percer.

  • Donc pour vous Mme MP le réchauffement climatique est une vue de l’esprit et ses conséquences une chimère et une manipulation de ceux qui ont des intérêts entre autre financiers à nous le faire croire ? J’ai quand même un peu de mal à vous suivre !

    • MP pense que c’est un complot des gauchistes comme Bolsonaro ou comme Trump qui pense que c’est un complot des chinois, c’est dire le degré de connerie des climato septiques.

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