Par Nathalie MP.
Ceux qui me lisent depuis longtemps savent que je ne suis pas follement enthousiaste à l’idée de voir des conseils d’élus ou des services publics dresser des crèches dans leurs locaux pour l’édification de leurs administrés.
En tant que catholique, j’imagine mal me signer devant l’Enfant-Jésus municipal avant de me rendre dans le couloir C bureau 215 pour déposer ma demande de permis de travaux. J’y vois un chemin pour la « dysneylandisation » des crèches, pour leur réduction à une minauderie décorative plutôt que la glorification de leur sens profond, et une emprise hors de propos du politique sur le religieux.
Autant les sapins, les pères Noël, les guirlandes et toutes les décorations chatoyantes qui l’accompagnent me semblent parfaitement justifiés tant la fête chrétienne de Noël est devenu un événement culturel majeur symbole de concorde et de paix dans le monde et dans les familles, autant la crèche en elle-même revêt un sens religieux extraordinaire qui doit être laissé à l’appréciation de chacun.
Il faut affirmer nos valeurs, nous dit-on. J’en conviens absolument. Mais on parle ici de religion, de transcendance. Quelle valeur peut avoir une affirmation religieuse que les pouvoirs publics s’approprient pour en faire un étendard officiel obligatoire et, de plus, forcément mobile au gré des changements de majorité ?
La vitalité des valeurs chrétiennes ne peut venir que des chrétiens eux-mêmes. Difficile de se plaindre de la disparition des repères chrétiens si par ailleurs personne ne va à la messe, si jamais aucun parent n’est disponible pour faire une heure de catéchèse par semaine, si personne ne se préoccupe de participer au denier du culte et si, globalement, nos « racines chrétiennes » ne sont convoquées que dans un rapport de force de pur affichage vis-à-vis de valeurs concurrentes. S’en remettre à la force publique pour exister, c’est déjà reculer. Vivons nos valeurs au lieu de revendiquer des droits et des statuts.
La foi chrétienne est une affaire personnelle, le choix exclusif et intime d’un individu libre. C’est le propre de l’amour de Dieu et de l’amour en général : que vaudrait un amour obligé ? La liberté est essentielle pour que ce sentiment devienne une vérité. Et Dieu, qui nous aime, nous place perpétuellement face à notre liberté.
La crèche est précisément le symbole de l’amour de Dieu. Dans l’obscurité et le silence, il a envoyé son fils unique parmi les hommes et l’a chargé de tels messages que j’en ai la chair de poule en l’écrivant : aimez-vous les uns les autres, soyez capables de pardon, changez vos cœurs de pierre en cœurs de chair.
Notons qu’il n’est écrit nulle part qu’il faille changer le cœur de notre voisin. On peut témoigner, parler, expliquer ce que l’on croit, et peut-être ceci débouchera-t-il sur un nouveau regard porté sur le Christ, mais ne nous y trompons pas, c’est bien le nôtre qu’il faut changer.
Plus facile à dire qu’à faire. D’ailleurs, je suis bien connue pour avoir un cœur de pierre et ce blog en est la preuve irréfutable. Combien de fois n’ai-je pas reçu en commentaire écrit ou oral des remarques dont la substance se résume peu ou prou à : “Vous vous dites catholique” et vous voulez baisser le salaire minimum, supprimer l’ISF et asphyxier la Terre entière dans un nuage de glyphosate ! Tout pour les riches, et les autres peuvent crever, c’est ça ? Mais regardez autour de vous ! Les inégalités augmentent et la planète est au bord du collapse !
Encore récemment, alors que je soulignais l’irresponsabilité qu’il y avait à lâcher 10 milliards d’euros non financés pour apaiser les Gilets jaunes dans un contexte de dépenses publiques déjà colossales, il a fallu m’entendre dire : « Mais, ma petite Nathalie, il y a un truc dans ce pays qui s’appelle la solidarité ».
Et c’était reparti pour un tour de table bien catholique et bien bourgeois sur la chance qu’on avait de pouvoir se faire soigner les pires maladies sans débourser un sou. Il se trouve que tous les convives avaient choisi l’école privée pour leurs enfants. Point que je me suis fait un malin plaisir de leur rappeler. On est passé au thème vacances.
Si je pensais en conscience qu’un salaire minimum élevé et des impôts confiscatoires très progressifs étaient la meilleure voie vers la prospérité et la liberté, si je pensais sincèrement que notre système politique et social est le meilleur qu’on puisse imaginer modulo quelques inévitables petites retouches à faire par-ci par-là, je n’hésiterais pas une seconde à le dire et à l’écrire. Ce serait tellement plus confortable.
Mais je ne le peux pas.
Au contraire, pour qui veut bien regarder, la France a accédé au rang de modèle parfait de l’échec de ce système “solidaire” lourdement redistributif et déresponsabilisant, ainsi que je l’expliquais récemment à partir des “trois graphiques de la France qui tombe” : dépenses publiques au plus haut, prélèvements obligatoires au plus haut, chômage au plus haut.
Vendredi dernier, Marlène Schiappa était justement interrogée sur les fameux 10 milliards non financés dont je parlais ci-dessus. Mais figurez-vous qu’elle préfère faire de la politique avec son coeur plutôt qu’avec une calculette ! Comme c’est mignon ! Et quel succès elle aurait eu auprès des convives de mon dîner !
Marlène Schiappa : « Je préfère faire de la politique avec mon coeur qu’avec une calculette » https://t.co/MjZyg5QDIF
— Europe 1 ? (@Europe1) 21 décembre 2018
Or des dépenses supplémentaires non financées signifient automatiquement plus de dette (on est déjà à 98,5 % du PIB), plus de frais financiers de la dette (dans un contexte de taux d’intérêt qui remontent), et plus d’impôts futurs qui pèseront inéluctablement sur les jeunes générations. Elles signifient tout aussi automatiquement des freins à l’investissement, donc à la production, donc à l’emploi, donc au pouvoir d’achat.
Finalement, avec sa jolie politique du coeur qui se traduit par une sainte horreur de l’analyse des faits, de la rigueur comptable et du chiffrage – travers dont elle n’est pas la seule à souffrir – la secrétaire d’État à l’égalité homme femme ne nous dit pas autre chose que : « À moi l’auréole de la “solidarité” ; aux autres la contrainte de payer mes mauvaises décisions et de repayer pour les réparer.»
C’est pourquoi, au risque de voir ma réputation de cœur de pierre me coller à la peau de plus belle, ce dont je ne tire aucun plaisir, et contrairement à Marlène Schiappa, je préfère faire de la politique, ou tout au moins commenter et suggérer, avec ma “calculette” plutôt qu’avec mon “coeur”.
Très joyeux Noël 2018 à tous !
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la différence est que renoncer a taxer n »est pas une perte ni un cadeau
make our taxes geat again!
Absolument. D’ailleurs, à propos de calculette, abandonner 4 milliards d’augmentation de taxe carbone est une tres bonne chose du point de vue libéral de Nathalie MP.
C’est quand même un comble de devoir rappeler aux gens ce qu’ils pensent en réalité !
« C’est quand même un comble de devoir rappeler aux gens ce qu’ils pensent en réalité ! »
1. Abandonner 4 milliards d’augmentation de taxe carbone est une très bonne chose, encore faudrait-il AUSSI envisager une baisse de dépenses publiques au moins équivalente. Rappel : on est au top partout ET en déficit chronique.
2. Quant à ce que je pense, désolée de vous dire que je ne vous ai pas attendu :
– https://www.contrepoints.org/2018/12/16/332584-macron-bye-bye-en-meme-temps-bonjour-bon-vieux-socialisme
– https://www.contrepoints.org/2018/12/13/332341-allocution-macron-reforme-nulle-part-dette-au-plus-haut
– https://www.contrepoints.org/2018/12/05/331714-gilets-jaunes-revendications-pour-la-liberte-et-la-prosperite
– etc.
Je m’étais juré de ne plus perdre mon temps à renforcer les libéraux par la contradiction, plus personne n’en veut du libéralisme, c’est sa fin mais les mots accrocheurs « libéralisme et cœur » ont fait leur effet et m’ont accrochés.
Même les libéraux auraient un cœur ??? fini la calculette ? Nnnooooonnn ?
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Décidément le monde est en plein bouleversement me disais –je.
Je constate que votre cœur s’exprime dans les limites bien circonscrites de votre personnalité, limites que vous vous êtes imposée et qui ont construit un système de pensée que vous estimez rationnel et il l’est, d’une certaine manière.
Sauf que cette rationalité est circonscrite dans le système économique actuel, point d’ouverture vers l’inconnu.
Votre cœur s’exprime dans les limites que vous vous imposée :Chrétienté et Libéralisme, 2 béquilles (idéologies) sans lesquelles vous seriez sans doute perdue, incertaine, comme toute personne vraiment libre.
Or le cœur, pour pleinement s’exprimer, ne peut être circonscrit dans des limites figées par la pensée, caricaturalement dite rationnelle.
Par exemple, il n’y a rien de rationnel à se satisfaire de l’inégalité.(on pourrait développer…)
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C’est là oublier que la faculté première du cœur, quand la pensée ne le bride pas, est justement de faire voler en éclat les limites.
A aucun instant vous n’envisagez la remise en cause du système de la monnaie , ni le capitalisme qu’un cœur libre ne peut cautionner.
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La monnaie actuelle condamne l’humanité aux travaux forcés à marche de plus en plus accélérée
Le capitalisme condamne à l’inégalité et accessoirement à la destruction de la planète .
Un cœur libre d’idéologie, un cœur libre donc, voyant les conséquences, ne peut cautionner ces 2 systèmes.
Toute tentative de rendre tolérable pour le cœur, ces 2 systèmes intimement liés, sera un échec car l’humain y est relégué au rang de machine, de serviteur des dits systèmes.
Vos argument se tiennent lorsque vous choisissez de raisonner dans vos limites circonscrites de ce 2 systèmes mais dans ce cas, ne parlez par de cœur svp, même si je vois que vous en avez un qui souffre.
« 2 béquilles (idéologies) sans lesquelles vous seriez sans doute perdue, incertaine, comme toute personne vraiment libre. »
Vous confondez liberté et absence totale de norme et de contrainte, qui ressemble plus au chaos. Mais ce n’est pas cette anomie, cette fausse (selon moi) liberté, qui ne mène qu’à un esclavage des faibles par les forts et de chacun par ses désirs, que défendent la plupart des libéraux.
Quant au sujet de l’article : le problème fondamental de la phrase de M. Schiappa c’est qu’agir avec son coeur plutôt qu’avec sa calculette, c’est bien beau, voire admirable, pour une action privée (il vaut mieux ne pas abandonner totalement la calculette tout de même, sinon c’est le banquier ou les autres créanciers qui se chargeront de rappeler la réalité du monde).
Mais s’il y a un domaine où cela n’est pas pertinent c’est précisément la politique.
« Vous confondez liberté et absence totale de norme et de contrainte, »
Pas vraiment … je parle de liberté d’un cœur non limité par les conditionnements séculaires de l’esprit, je parle de faire voler en éclat les carcans des systèmes de la monnaie et du capitalisme, auxquels nous sommes au service plus qu’il ne nous aident à vivre heureux.
Le but de l’économie actuelle n’est pas de satisfaire les besoins mais de générer de la valeur abstraite, peu importe les moyens et les conséquences.
(certes il y a quelques lois qui pondèrent.)
Les GJ sont l’expression de cette aspiration au changement qui commence par un rejet de l’existant.
Aspirations sans doute encore mal formulées.
Ne percevez vous pas les aspirations ambiantes à changer ce cadre de la monnaie et du capitalisme qui nous mènent dans le mur ?
Le cœur le voit, la calculette non, car la calculette n’a aucune imagination.
demandez à un marteau comment résoudre un problème, sa réponse sera innevitablement « enfoncer un clou ».
Vous faites un peu la même chose avec votre cadre actuel, vous ne raisonnez qu’en gestionnaire du système , système qui par construction va dans le mur Vous n’aurez JAMAIS de solution pérenne dans ce système de la monnaie et du capitalisme, à moins d’utiliser la contrainte et la force et de faire beaucoup de malheureux.
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« il y a un domaine où cela n’est pas pertinent c’est précisément la politique »
Oui dans le cadre actuel que vous n’envisagez a aucun instant de changer… Ne seriez vous pas un peu hermétique aux aspirations grandissantes et légitimes des citoyens ?
Pour résoudre un problème il est conseillé d’en identifier les causes racines et non les causes superficielles comme hélas les politiques font, les journalistes font et libéraux font. Chacun d’identifier une cause superficielle différente, qui l’etat, qui les patrons…
La monnaie vous dis-je et le capitalisme, vieilleries de l’histoire.
Chacun voit ce qu’il veut voir dans les Gilets Jaunes.
« je parle de liberté d’un cœur non limité par les conditionnements séculaires de l’esprit, je parle de faire voler en éclat les carcans des systèmes de la monnaie et du capitalisme, »
Mais de quoi parlez-vous ?
Ce que vous dites n’a aucun sens.
Il n’y a que des jugements de valeur sans intérêt, votre échelle de valeur ne concerne que vous et vous-même.
Dénigrer sans justifier ; Affirmer sans prouver ; Phrase vide de sens. De la pensée magique en vrac.
« Mais de quoi parlez-vous ?
Ce que vous dites n’a aucun sens. »
LOL Excellent, oui je perds mon temps visiblement.
Vous ne voyez aucun argument RELOL.
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Que puis je vous dire, vous ne comprenez rien aux conséquences de la monnaie via le crédit bancaire (création/destruction) et rien aux conséquences du système capitaliste forcement créateur d’inégalités, or il ne vous aura pas échappé que la nature humaine n’aime pas l’inégalité exagérée.
Approfondissez ces 2 points, surtout la monnaie qui est un véritable asservissement de l’humanité aux banques privées(lol), on discutera après.
J’aime beaucoup votre façon de « discuter »… (LoL pour vous imiter…)
J’aime beaucoup votre façon de « discuter »…
Que voulez vous dire ?
Que je suis agacé devant la mauvaise foi ou le manque d’effort ?
pas lol, lol
« Ne seriez vous pas un peu hermétique aux aspirations grandissantes et légitimes des citoyens ? »
Moi je suis d’accord pour envisager les choses sous cet angle :
Les citoyens aspirent à accéder au maximum de biens avec le minimum d’effort.
Comme ils sont aussi sociaux, ça aboutit aux échanges, à la monnaie, au capitalisme.
Quand ils restent ou redeviennent primitifs, ça aboutit à la guerre, au vol, au socialisme.
Ça c’est mieux lol
questions :
– d’où vient l’argent ? ex-nihilo des banques, via le crédit bancaire.Création lors de l’émission, destruction lors du remboursement des prêts.
-Quelle est la solution adoptée pour maintenir une masse monétaire suffisante pour permettre les échanges ?
Toujours plus de prêts, ce qui nécessite obligatoirement la croissance physique. Maintenant vous savez pourquoi il FAUT la croissance car sinon il n’y a tout simplement plus d’argent pour échanger même si les biens sont présents, c’est la récession, le krack.
-d’où vient l’argent des intérêts ?
d’autres prêts avec intérêts….lol chaîne de Ponzi, sans fin menant à une dette non remboursable.
Ce système n’est pas viable et très destructeur sur la vie des gens, sur l’environnement.
Ne pourrait il y avoir une monnaie plus pérennes que le système de l’argent dette actuel ?
La monnaie est très loin d’être un outil neutre comme vous l’entendez dans votre exposé.
C’est sûr qu’avec des « lol », on vous comprend beaucoup mieux. Dommage que le reste du texte soit pas aussi clair.
En tout cas j’ai retenu que vous ne deviez plus » ne plus perdre mon temps à renforcer les libéraux par la contradiction » ce dont la suite des commentaires m’a permis de donner corps à votre cohérence…
Oui lorsqu’on a vu, c’est très lol dans l’absurde au fond, s’il n’y a avait pas tous ces dommages collatéraux avec des humains dedans.
Bon, faut que je trouve un autre moyen de communication car ici le rendement est bien faible , je passe du temps pour rien au final, puisque je suis obligé de faire une » thèse » par nouvel interlocuteur.
« These » mal ficelée qui plus est, car a force de se répéter, on se lasse. Trop condensé, c’est incompréhensible.
Retenez déjà que Nous vivons un esclavage du système bancaire.
Allez bisous, A+
@ leham
Les biens s’échangent contre des biens, l’argent n’est qu’un intermédiaire et peut importe d’où il vient tant qu’il inspire confiance.
Si vous préconisez une monnaie non manipulée par les états pour régler leur gestion calamiteuse, et qui s’appuie donc sur une valeur réelle, alors vous trouverez certainement beaucoup d’adeptes ici. Mais ça ne remet pas en question la monnaie en elle-même, ni le capitalisme.
@cachou42″l’argent n’est qu’un intermédiaire et peut importe d’où il vient tant qu’il inspire confiance. »
c’est malheureusement faux, pas » peu importe d’où il vient », surtout d’où il est créé et suivant quel procédé : prêt bancaire ex nihilo PUIS destruction, plus intérêts à payer.
cela crée un déficit chronique de monnaie dans l’économie.
Hors des prets il n’y a quasiment aucun argent sur la planète, même ce que vous avez en épargne devrait être utilisé pour rembourser les prêts de la planète a l’égard des banques et encore il resterait les intérêts a honorer car cet argent n’a pas été émis par les dites banques.
c’est cela qui n’est pas anodin du tout.
C’est cela qui est un asservissement de la planète a l’égard des banques privées relol.
lorsque je dis remettre en question la monnaie, c’est remettre en question ce que je viens de décrire, l’existant, pas le fait d’avoir une monnaie pour échanger…bien sur qu’il en faut une.
Je parle d’une masse monétaire plus ou moins constante + un volant/complément par argent dette (crédit), comme aujourd’hui mais une petite partie seulement , pas TOUTE la masse monétaire en argent dette.
Effectivement l’état pourrait gérer cela aussi, et le citoyen lambda veiller au grain.
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Le capitalisme, c’est bon à oublier. Prenez n’importe qui entre 4 yeux, pas un économiste ni un psychopathe, et demandez lui s’il trouve normal que quelqu’un possède des millions de fois ce qu’il possède lui .
Le naturel de l’humain va vers le partage.
L’argent dette décris brièvement ci dessus, favorise la cupidité, car l’argent est structurellement rare, voué a disparaître au sens propre, détruit, lors des remboursements des prêts, cela formate les esprits à la peur de manquer , à la cupidité.
L’argent serait pérenne ça changerait vos aspirations.
Lorsque l’on ne craint pas de manquer, on partage plus volontiers.
@ leham
Vous devriez reconsidérer les fondamentaux de l’économie, peut-être en lisant « Le B.A. BA de l’économie à l’usage du citoyen ordinaire » de Gérard Dréan :
https://www.amazon.fr/B-BA-d%C3%A9conomie-G%C3%A9rard-Dr%C3%A9an/dp/2954259833/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1545848217&sr=1-1
@cachou42
Merci pour le ivre.
mais je doute que le hold up des banques privées sur la planète: le monopole de créer tout argent sur la planète qui plus est, contre intérêt, soit évoqué dans ce livre, que je pressens plutôt comme le manuel du bon mouton, comme tout bon cours d’économie.
Un indice qui montrerait que je suis dans l’erreur quelque part et me donnerait envie d’acheter ce livre ?
@ leham Extrait de la table :
…
Chapitre 2 : La monnaie et les prix
Échange indirect et monnaie
Les formes de monnaie
La monnaie et le marché
Monnaie, valeur et prix
Les prix de marché
La valeur de la monnaie
La monnaie et le temps
La création de monnaie
La concurrence entre monnaies
L’État et la monnaie
Le crédit
Monnaies locales et taux de change
Résumé
…
@cachou42
Merci la formalisation de l’existant peut être intéressante*, il est bon de la maîtriser mais je ne sens pas de regard critique dans cet ouvrage, au lecteur d’être critique pour 2.
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* bien que ,nous baignons déjà tous dedans.
Si je me permets de vous conseiller ce bouquin, c’et parce que la lecture de vos propos donnent l’impression que dans votre découverte de l’économie vous avez pris le train en route, et de plus dans le mauvais wagon : celui des idéologies.
Or, comme l’auteur le dit très bien dans son introduction :
« …. toute cette agitation verbale repose sur une ignorance des faits les plus fondamentaux de la vie économique, qui sont littéralement à la portée de tous, mais que les savants choisissent d’oublier. Ce sont ces faits élémentaires que ce livre vous propose de découvrir, en laissant de côté les économistes et leurs théories, et en parlant tout simplement de notre vie quotidienne, qui est à la fois la substance et l’enjeu de l’économie. Par la suite, si vous ne perdez pas de vue ces faits fondamentaux, vous saurez mieux interpréter et juger les discours contradictoires dont vous êtes abreuvés. »
C’est bien justement la prise en compte de ces fondamentaux qui permet d’obtenir un regard critique.
« C’est bien justement la prise en compte de ces fondamentaux qui permet d’obtenir un regard critique. »
Je vous re re merci, sincèrement.
Une fois lu, je pense que je serais encore plus assuré sur ma perception de cobaye dans l’expérience économique et bien plus assuré pour défendre mon analyse.
« toute cette agitation verbale repose sur une ignorance des faits les plus fondamentaux de la vie économique, qui sont littéralement à la portée de tous, mais que les savants choisissent d’oublier. »
Eh oui…reste a savoir de quel coté de la barrière on se situe…
Je serais curieux de connaître votre retour après sa lecture
« Ce système n’est pas viable »… Et pourtant il « fonctionne » depuis le début du Néolithique. Bon an mal an, c’est l’histoire d’un progrès « quand même ».
Par contre, l’«autre» système, lui, finit toujours très rapidement dans la faillite économique et le crime de masse.
Et je ne parle pas seulement du XXème siècle de sinistre mémoire, mais de TOUTES les tentatives de collectivisme, depuis au moins Wang Mang, les Gracques et quelques autres.
Il n’y a en réalité que 2 systèmes : celui qui fait confiance à l’individu pour créer (tout en le régulant pour qu’il ne nuise pas à la liberté des autres) et celui qui ne lui fait pas confiance, et prétend le « guider » vers le Paradis collectif.
Choisis ton camp, Camarade ! (et cours plus vite, le vieux monde marxiste est derrière toi !)
LoL !
Je constate que vous aussi êtes un adepte du lol et il en faut en ce moment ! Allez tiens, lol
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Le sempiternel choix entre peste et cholera…quelle vision étriquée qui est bien reposante pour le cerveau.
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Il serait peut être temps de faire preuve d’imagination , non ?
Il serait peut être temps de faire des analyses objectives, en ne laissant rien dans l’ombre., temps de remonter à la cause des causes et non de s’arrêter à la surface comme c’est dans tous les médias, ou par tous les hommes politiques.
Blabla me direz vous, manque d’argument, j’ai hélas déjà tout dit ici.
Le coeur , sujet initial, ne s’embarrasse pas du passé, des conditionnements, il voit clairement ce qui permet ensuite de poser une action juste.
Alors peut être n’est elle pas rentable a court terme pour certains cette action juste mais elle est juste.
Il faut effectivement choisir son camp, en, toute raison, remplacer le système de la monnaie actuel par un autre.
Quelque chose à y perdre peut être pour oser voir le vérité ?
La monnaie n’est pas une vieillerie périmée de l’histoire, c’est le moyen commande par lequel on peut faire des comparaisons entre des biens (et services) de natures très différentes pour arriver à procéder à des échanges (mutuellement enrichissants), par le biais de la fixation d’un _prix_. C’est sur un marché libre (qui certes est souvent une vue de l’esprit mais pas complètement non plus) que l’on peut avoir des échanges permettant à chacun d’augmenter sa satisfaction globale, la monnaie est un outil très commode pour le faire fonctionner.
Si vous avez pour vous en passer, une proposition d’un « autre cadre » qui ne revienne pas à des décisions autoritaires d’un « régulateur » qui mystérieusement « saurait » comment mieux allouer les ressources pour le bien de tous (_toutes_ les expériences pour mettre en place un tel système au-delà d’une communauté de quelques dizaines d’individus sont des échecs fracassants mais vous êtes peut-être assez génial pour savoir dépasser cela), dites le, ça promet d’être intéressant. Jusque là je reste sceptique. La contrainte et la force, c’est du côté qui n’admet pas le marché libre qu’on les rencontre habituellement.
@humpty-dumpty
Merci je sais a quoi sert la monnaie , ce n’est pas ça le sujet. Il en faut une.
Le sujet est d’où vient elle et suivant quel protocole ?
je l’ai dit plus haut.
c’est cela qui est a remettre en cause.
« c’est cela qui est a remettre en cause »…
Non : c’est cela que VOUS remettez en cause.
C’est votre droit, cela ne fait pas de votre opinion une vérité révélée.
« Non : c’est cela que VOUS remettez en cause. »
Absolument et je ne suis pas le seul.
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« C’est votre droit, cela ne fait pas de votre opinion une vérité révélée. »
Effectivement, on ne peut forcer personne à voir, sans doute y avez vous trop à perdre ?
C’est pourtant d’un telle évidence, d’un telle simplicité que peu de gens voient cette vérité. En toute objectivité je n’ai pas tort . lol
Le système de la monnaie dette, confié a des intérêts privés, ne peut mener que dans le mur, c’est tout simplement mathématique.
soutenir le contraire est tout bonnement irrationnel.
A vous de voir ou de ne pas voir.
Bien a vous.
« d’une « et non « d’un » (???)
En complément, vous savez il y a eu des évolutions depuis le néolithique, pourquoi devrait on se figer sur l’actuel ?
Surtout lorsqu’il mène dans le mur.
Si vous ne voulez pas voir et changer la trajectoire, ce n’est pas grave (lol), la réalité va se charger de nous faire voir.
Bonsoir leham,
« Je m’étais juré de ne plus perdre mon temps à renforcer les libéraux par la contradiction, »
Non, soyons sérieux.
Vous êtes venus ici initialement dans l’idée de montrer aux libéraux du site qu’ils avaient tort et que vos idées et concepts était meilleurs.
Malheureusement pour vous, cela n’a pas marché comme vous le pensiez. Votre post est un bon résumé de toutes les affirmations et « idées » qui ont émaillées vos commentaires passés et qui ont toutes été démontées par les différents intervenants.
Vous auriez pu en profiter pour creuser un peu et vous renseignez. Visiblement, ce n’est pas le cas. Il en sera malheureusement de même avec la référence que vous a transmise cachou42 un peu plus bas. C’est bien dommage. mais cela peut se comprendre. Quand une idéologie conditionne votre vie, il est parfois douloureux d’en changer.
toujours pragmatique , Nathalie, c’est bien
C’est désolant cette médiocrité ambiante
joyeux Noël ! ☺
La capacité à ne pas tout mélanger est flagrante dans ce texte, comme pour le droit et la morale dans d’autres textes libéraux.
Est-ce une caractéristique propre au libéralisme ?
Yep.
La première partie est frappée au coin du bon sens. Hélas vite gâchée par la seconde, où les vieilles habitudes des attaques ad personam reprennent vite le dessus. C’est lassant à la longue cette propension à taper de manière assez anecdotique sur les mêmes têtes de turc…
« travers dont elle n’est pas la seule à souffrir »
Ce n’est pas une attaque ad personam, c’est tout simplement le dernier exemple en date.
Marlène Schiappa n’est pas attaquée pour ce qu’elle est mais pour ce qu’elle dit. Ce n’est pas une attaque ad personam.
Au fait, ça ne serait même pas une attaque ad personam, mais ad hominem, ce qui explique très bien ce vieux article sur Contrepoints. Article qu’on trouve d’ailleurs, et c’est assez intéressant pour le faire remarquer, en haut de la liste des résultats lorsqu’on cherche « ad personam » 😉
Citer Marlène Shiappa pour ce qu’elle dit, laquelle est hypocrite en déconstruisant son discours comme dans le texte présent (prendre le beau rôle, et laisser « aux autres la contrainte de payer mes mauvaises décisions et de repayer pour les réparer ») ; cela ne laisse pas de place ni aux attaques ad hominem, ni ad personam. Il est tout de même possible de critiquer les positions de son adversaire ?
Vous m’avez mal lu. Je faisais un commentaire à l’intervention de Joe Bar, sans affirmer que j’adhère à son message. Ce que j’avais précisé dans un précédent post. Cette intervention était surtout pour rappeler le sens des deux expressions, « ad personam » et « ad hominem ».
Bien sûr que ce n’est pas une attaque ni ad personam ni ad hominem, parce que l’affirmation en tant que telle qui est reprise est attaquable.
et quand on verse 5400 euros d’allocation mensuel au parents du tueur de Strasbourg c’est le cœur ou la calculette qui entre en jeux ?
les associations? coût 80 milliards d’euros
les agences d’etat ? coût 100 milliards d’euros
voila ce que me dit la calculette
Marlene Schiappa préfère faire de la politique avec son coeur et sans calculette mais surtout avec le pognon des autres….Avec le pognon des autres, c’est toujours facile d’être généreux et de se passer de calculette.
une authentique socialiste , toujours prête avec son coeur à. sucer le pognon des autres. une fille bien quoi…
Toujours prête à sucer… le pognon avec cœur.
Ma calculette à moi a l’avantage de ne faire que les opérations que je lui demande, d’être muette, et d’avoir une touche « Clear All » qui ne se bloque pas enfoncée.
Cadeau de Noël; Sans calcul, à apprendre par cœur. A commenter en famille autour de la dinde.
D’innombrables rapports, analyse, livres etc. font état de délabrement de l’économie française, mais faute de courage politique, rien ne change. En notre maladie et bien plus grave. Le pays et très fortement imprégné par la culture communistes, qui souvent prend d’autres habits, mais les idées sont toujours là avec leur conséquences néfastes. Mais comment s’en sortir ? Il faut désoviétiser la France.
• Diminution réelle des dépenses de l’Etat et leur transfert dans l’appareil productif.
• Réduction des prélèvements obligatoires de façon à stimuler l’initiative privée-seule créatrice des richesses à redistribuer.
• Engager la restructuration des industries dépassées vers les activités prometteuses en créant
• Faciliter les conditions d’une plus grande mobilité sociale des travailleurs
• Exporter, exporter, exporter…
Les slogans « il faut payer les riches » sont devenus ridicules. Les vrais riches sont en grande partie partis vers d’autres pays à cause d’ISF – « impôt pour sortir de France ». 5 % de contribuables français payent environ 60 % des sommes prélevées au titre impôts sur le revenu alors que 57,5 % en sont dispensés. Aucun pays au monde n’a ce genre de ratio, mais l’inculture économique toujours aussi forte dans notre pays empêche de mettre en cause cette situation ubuesque.
Et voici un guide pour nos incultes économiques polluées par la pensé gauchistes :
Il y a bien longtemps un poète chinois a écrit :
Plus tu poses d’interdits,
moins le peuple connaîtra la vertu.
Plus tu détiens d’armes,
moins le peuple sera en paix
Plus tu accordes de subsides,
moins le peuple pourra compter sur ses propres forces.
C’est pourquoi le Maître dit :
Je ne m’occupe pas de loi,
et le peuple devient honnête.
Je ne m’occupe pas d’économie,
et le peuple prospère.
Je ne m’occupe pas de religion,
Et le peuple connaît la sérénité.
Je ne m’occupe pas de l’intérêt général,
Et l’intérêt de tous s’accroît comme l’herbe folle.
Tao Teh King, livre de la philosophie antique chinoise du Tao
» Difficile de se plaindre de la disparition des repères chrétiens si par ailleurs personne ne va à la messe, si jamais aucun parent n’est disponible pour faire une heure de catéchèse par semaine, si personne ne se préoccupe de participer au denier du culte et si, globalement, nos « racines chrétiennes » ne sont convoquées que dans un rapport de force de pur affichage vis-à-vis de valeurs concurrentes. S’en remettre à la force publique pour exister, c’est déjà reculer. »
Mais la faute à qui?
C’est la faute de l’église elle même, avec son pape gauchiste, ses curés communistes qui ont vidé les églises et ridiculisé la foi.
Rajoutez la dessus une bonne couche de pédophilie et nos cathédrales glaciales se vident.
Quelle différence avec les églises du Kansas, des Carolines ou de Géorgie; des offices où on ne s’ennuie pas une minute, où on chante, où on danse où chacun exprime sa foi en donnant le meilleur de lui même…Et en étant généreux à la quette….
Ah oui…Ces églises sont appelées « déviantes » par Rome
Personnellement je ne suis pas chrétien, (ni d’aucune autre religion d’ailleurs, plutôt gnostique au sens sémantique)
Et le problème me semble être en premier lieu que la religion soit hiérarchisée, comme si on pouvoir avoir un diplome qui prouve qu’on est plus près de dieu ou une foutaise du genre.
L’église en tant que lieu de prière me semble assez stupide aussi, mais j’imagine que ca rejoins beaucoup le plaisir qu’on les gens à se regrouper et à faire des choses ensemble.
Bref, Je comprend mal mal comment tout ce bouzin pourrait fonctionner correctement, on ne peut pas partager ce qui est ésotérique, par définition.
« Ça rejoins beaucoup le plaisir qu’on les gens à se regrouper et à faire des choses ensemble. »
Mais c’est exactement ça et rien que ça….Le pasteur de ma belle mère à Kansas City qui me sait totalement athée me demandait pourquoi je venais à ses offices….?
Je lui ai répondu que je venais voir des gens heureux d’être ensemble….Il m’a répondu que j’étais en fait un croyant en »creux » qui n’avait pas besoin de dieu pour aimer les gens…Ce qui est bien vrai…
C’est un type que j’admire beaucoup, qui aide beaucoup les gens, qui est cultivé, marié, père de quatre enfants et qui travaille énormément(marchand de pneus et de chenilles agricoles).
Très joyeux Noël à toi Nathalie et à tous les autres.
Bah, noël, c’est une fête romaine recyclée en fête chrétienne, aujourd’hui recyclée en un business.
C’est l’exemple lumineux de ce que représente la religion : un endoctrinement des enfants ou des esprits faibles et malléables, qui croient à l’histoire du père noël, ils ont foi en lui jusqu’à cinq ou six ans, puis découvrent la réalité.
Bon, dans le cas d’un endoctrinement beaucoup plus sévère et plus durable, on peut croire à vie le même genre d’histoires pour les enfants.
C’est quand même incroyable l’assurance avec laquelle les athées (militants) débitent leurs convictions, ne voyant pas qu’il n’y a pas une feuille de papier entre leurs croyances et celles de ceux qui ont la foi.
Lisez les interventions de « Kansas beat » ci-dessus, ça pourrait vous éclairer sur le pourquoi du comment. Sur un malentendu, qui sait, tout peut arriver…
Je ne crois pas en Dieu.
Cependant, quand je vois le comportement arrogant des athées à considérer tous ceux qui ne les suivent pas dans leur croyance en l’absence de Dieu comme des « esprits faibles », « malléables », « qui croient à l’histoire du père noël » (donc par opposition les athées ont un esprit fort et donc les communistes ont les esprits les plus forts du monde…).
Je me dis sincèrement qu’il y a quelque chose qui ne va pas bien chez eux.
Ils ont un comportement de fanatique sous couvert de science et de progrès (science, progrès, mot clés d’un certain socialisme…)
Sûrement dû au communisme/trostkisme de l’éducation nationale qui dénigre « la religion » en général et le catholicisme en particulier.
Je vois énormément de certitudes, d’insultes et d’arrogances contre « la religion » et au plus surprenant beaucoup de tempérance, de doute et de respect chez les croyants…
A méditer
Il y a autant de fanatisme à affirmer l’existence de Dieu qu’à la nier vigoureusement.
Pour moi, la question est tellement complexe que plus on la creuse et plus on doute de l’une ou l’autre des affirmations. Qu’importe, l’épanouissement spirituel n’est pas forcément dans la réponse mais dans la question.
Un cœur de pierre précieuse qui brille de tous ses feux.
#MakeFranceGreatAgain
#MakeKansasBeatAgain
😉
Stop load’ m’ dumpst’ is overbear
Début d’article surprenant… écrit par une libérale (en politique et en économie surement), mais dans le domaine religieux c’est l’intolérance, voire du mysticisme caricaturale. « J’imagine mal me signer devant l’Enfant-Jésus municipal ???… avant de me rendre… » ?! Absence de discernement entre culture religieuse et foi !
La crèche n’est là que pour rappeler à tout un chacun ce qu’est le jour de Noël. La plus part de nos compatriotes ignorent le pourquoi de la fête de Noël et vous seriez ahurie de leur inculture religieuse. Mais une autre question s’impose : lorsque vous admirez, dans un livre d’art, des tableaux reproduisant la crucifixion, la mise au tombeau ou la naissance du Christ vous « signez-vous » aussi devant ses oeuvres ? Faut-il rappeler que le rituel de la génuflexion et du signe de croix, pratiquez par les catholiques à l’église, sont des signes de respect et des actes de foi envers la présence du Seigneur (hosties consacrées) dans le tabernacle ? Où se trouve cette présence dans la crèche exposée dans une salle municipale ? Il n’y a point de raison de s’offusquer d’une reproduction, à moins de tomber dans l’idolâtrie sans borne,
Le sapin de Noël trouve grâce à vos yeux, et pourtant son histoire s’enracine dans le christianisme au début au Moyen-Age dans la région rhénane. Tous les symboles qu’il véhicule ont une référence biblique (chrétienne) qui serait trop longue à expliciter dans ce commentaire mais son à votre disposition si vous souhaitez les connaître.
Les expressions « Vous vous dites catholique,… tout pour les riches… les autres peuvent crever… les inégalités augmentent… un truc qui s’appelle la solidarité » sont des axiomes socialistes (déshabiller Pierre pour habiller Paul) pures inventions socialo pour dénigrer les chrétiens et pervertir l’éthique chrétienne qui ne parle ni d’égalitarisme ni de nivellement par le bas ! Il est bien triste que constater que 40 années de socialisme ont corrompu à ce point la pensée de nos contemporains.
Quant aux dires de la Schiappa, ils sont du niveau « baque à sable », et sont indignent « d’une individue » qui se prétend politicienne responsable.
Bah… Comme chacun sait, le Socialisme finit avec l’argent des autres…