Un article de l’Institut fiscal Vauban
Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement nous a successivement annoncé :
- une hausse de la fiscalité (TICPE) sur l’essence (+5 %) et le gazole (+11 %) ;
- une hausse de la fiscalité sur les véhicules les plus polluants, qu’ils soient neufs (malus auto) ou d’occasion (taxe sur les véhicules d’occasion les plus polluants) ;
- la limitation de la vitesse à 80 km/h, sanctionnée bien entendu par des amendes ;
- l’introduction de péages urbains et en conséquence de nouvelles redevances payées par les automobilistes pour circuler.
Hausse de la TICPE s’appliquant sur l’essence et le gazole
Pour 2018, les tarifs de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) ont été relevés de 5 % pour l’essence et surtout de 11% pour le gazole (principal carburant utilisé par les Français).
Cela représente un surcoût fiscal de 3,22 cents d’euros par litre d’essence et de 6,33 cents d’euros par litre de gazole. Le conducteur d’une voiture diesel qui effectue en moyenne 100 km par jour subira donc en 2018 une ponction fiscale supplémentaire de 128 euros.
Et cette envolée des tarifs de la TICPE va s’accentuer puisqu’ils vont encore augmenter de 14 % pour l’essence et même de 32 % pour le gazole d’ici à 2022 !
Cela représentera une hausse de 9,5 cents d’euros par litre d’essence et de 19 cents d’euros par litre de gazole. Pour le conducteur d’une voiture diesel qui effectue en moyenne 100 km par jour, cela représentera un surcoût fiscal de 386,5 euros par rapport à 2018.
Durcissement du malus automobile
Par ailleurs, le gouvernement a sévèrement durci le barème du malus automobile pour 2018 ; ce qui se traduit par une majoration du prix d’achat d’un véhicule neuf pouvant aller de 50 euros (à partir de 119 g CO2/km) à 10 500 euros (à partir de de 185 g CO2/km).
- L’achat d’une voiture standard familiale émettant 150 g CO2/km, qui donnait lieu à une majoration fiscale de 1 373 euros en 2017, donnera ainsi lieu cette année à une majoration de 2 300 euros ; ce qui représente une hausse de 68 %, soit 927 euros.
- L’achat d’une voiture émettant 129 g CO2/km qui donnait lieu à une majoration fiscale de 60 euros en 2017 donnera lieu cette année à une majoration de 253 euros ; ce qui représente une hausse de 322 %, soit 193 euros.
Hausse de la taxe sur les véhicules d’occasion les plus polluants
Les véhicules d’occasion ne sont pas en reste dans la mesure où le gouvernement a également revu à la hausse les tarifs de la taxe sur les véhicules d’occasion les plus polluants (environ 9 % des véhicules du marché). Il en résulte une hausse de :
- 100 euros pour les véhicules d’une puissance fiscale de 10 à 11 CV ;
- 300 euros pour ceux d’une puissance fiscale supérieure à 12 CV;
- 1000 euros pour ceux dont la puissance fiscale est supérieure à 15 CV.
Péages urbains et limitation de la vitesse à 80 km/h
Le gouvernement a annoncé qu’il offrirait prochainement la possibilité aux villes d’instaurer des péages urbains ; ce qui impliquerait le paiement de redevances (encore un prélèvement fiscal !) pour les automobilistes afin qu’ils puissent continuer de circuler.
A également été annoncée la baisse de 10 km/h de la vitesse autorisée. À compter du 1er juillet 2018, la vitesse maximale autorisée sur les routes à double sens sans séparateur central sera ainsi limitée à 80 km/h. Cette mesure devrait augmenter notablement le nombre d’amendes pour les conducteurs et rapporter jusqu’à 335 millions d’euros annuels à l’État, selon l’hebdomadaire Auto Plus.
Forfait post-stationnement pour les automobilistes
On terminera en rappelant que les villes ont depuis le 1er janvier 2018 le pouvoir de fixer le montant du « forfait post-stationnement » (FPS), lequel vient se substituer à l’amende fixée jusqu’alors à 17 euros. Et autant dire que certaines d’entre elles n’ont pas hésité à augmenter très substantiellement leur tarif :
- Lyon a ainsi fixé le montant de son FPS à 60 euros ; ce qui représente une hausse de 253 %, soit 43 euros ;
- Paris a fixé le montant du FPS à 50 euros dans les arrondissements les plus tendus, ce qui représente une hausse de 194 %, soit 33 euros.
jusqu’où le peuple va t’il accepter le racket organiser par nos élites ???
et malgré toutes ces augmentations là depense augmente et là dette publique aussi…
donc ce sont des incapables. ..ou alors nous sommes les cerfs du 21 ème siècles de ces élites ….
Oui ils se succèdent mais sont tous incompétents et leur seul refrain c’est taxer, taxer, taxer. De plus pour l’entretien de tous les migrants, qu’on ne l’oublie pas, cela a un coût pour tous les Français qui bossent et ceux à la retraite « de misère » et c’est pas fini. Avec la baisse de la taxe d’habitation, on va voir flamber taxes foncières, taxe ordures ménagères etc … et les moutons sont contents
le rapport avec les migrants…? Sérieusement, « entretenir » une poignée de migrants n’est pas ce qui plombe le plus le pays, ce n’est qu’une goutte d’eau dans un océan de dépenses inutiles.
En plus ça serait facile de ne plus avoir besoin de les « entretenir », il suffirait de les autoriser à bosser. Mais ça, ce n’est pas dans les cartons…
Peut-être mais avant de favoriser des étrangers « ON » ferait mieux de s’occuper des SDF ainsi que les mal logés pauvres mais français de France !
Et ne donner accès à la Sécu et à la CAF que quand l’intéressé (ou un de ses parents (père ou mère) a cotisé pendant un certain nombre d’années.
Le plus beau étant sans doute que « le peuple » est persuadé que les maux qui l’accablent sont dû à un libéralisme qu’il croit omniprésent dans notre pays… On se fait asphyxier et on en redemande.
*dus, désolé.
c’est pas dûs?
Mon « dû » était une simple erreur d’inattention, que j’ai instantanément corrigée par « dus » que je savais adéquat ; néanmoins, je suis allé vérifier la raison pour laquelle ce joli accent circonflexe se fait la belle au pluriel. En fait, il sert uniquement à différencier le participe passé de « devoir » de la préposition « du », et n’est donc pas nécessaire au pluriel (masculin ou féminin). Quoi qu’il en soit, merci pour votre vigilance ! La langue française est une des seules choses qui nous restent, chérissons-la… mais surtout sans anglicismes ni écriture inclusive !
Ils répètent le mot « libéralisme » dont ils ne connaissent pas la définition comme des perroquets lobotomisés par les médias qui présentent le libéralisme comme étant le diable responsable de tous nos maux…
@Lou 17
Bonjour,
« donc ce sont des incapables… »
En fait, non ils ne sont pas des incapables. Ils suivent le plan socialiste, qui amènera à ce que vous avez écrit à la fin de votre commentaire.
Automobilistes il nous faut un sauveur, peut-être que la SNCF sera le catalyseur comme en 1995. Car même si l’utilité d’une réforme juste de cette entreprise est souhaitée par beaucoup de nos concitoyens, nombreux sont aussi ceux, voire les mêmes, qui aimeraient que le syndicalisme SNCF bloque les agissements à la hussarde de ce gouvernement. Or l’injuste taxation routière pourrait être le facteur de soutien à ces combattants du rail. Car la France déraille.
Là, je ne vois pas le rapport.
D’autant plus qu’il y a de fortes chances que les manifs pro SNCF débouchent sur des blocages routiers, donc encore plus d’em***des pour les automobilistes…
Ce que je veux dire c’est que tous les mécontentements risques de s’amalgamer et que l’ensemble des gens concernés finissent par donner procuration à ceux disposant de moyens de blocage, hormis les syndicalistes SNCF il y en a peu. Donc nous aurions un ensemble hétérogène, retraités, cheminots, automobilistes etc, donc comme vous dites à priori sans rapport. Mais ne sont-ce les faits illogiques qui surprennent les dirigeants ?
@Parcoureur
Bonjour,
La S.N.C.F ainsi que les syndicats qui y sévissent, sont arrosés par l’argent public donné allègrement par l’Etat et son robinet à redistribuer l’argent des autres. Je ne pense pas qu’il faille compter sur des syndicalistes égocentrés pour changer quoique ce soit.
Vous soulevez une bonne question : est-ce qu’il y a(ura?) vraiment un mécontentement généralisé des français ?
Pour le moment la tendance est plutôt à l’opposé, en témoigne les différentes réformes de fond déjà mises en place (travail, éducation nationale) sans que la contestation n’explose.
Et ça ouvre une piste intéressante : faut-il forcément recourir à la force – gouvernementale, ou de la rue – pour aboutir à un résultat ?
Ne pouvons-nous pas pour une fois trouver un compromis favorable à tous ?
On a un problème ,la circulation routière est de venue problématique dans la plus part des grandes villes…soit on change l’architecture des villes soit on baisse le nombre de véhicules en circulation….la moins cher des deux est…..
Et pourtant l’architecture des villes change régulièrement : mise en place de trams, aménagements de quartiers entiers.
Rien que sur la région toulousaine j’ai une demi douzaine d’exemples à citer.
L’ensemble des changement ne sont pas fait pour fluidifier la circulation mais pour la ralentir afin que les gens soient contraints à prendre les transports en commun (très déficitaires)
@Balthazar
Bonjour,
C’est aussi ce que je conclue quand je vois le nombre de contraintes qui pèsent sur les conducteurs, les aménagements routiers et urbains.
@AxS
Les aménagements du centre-ville de Toulouse n’ont pas été faits pour faciliter la circulation, mais pour la tenir le plus éloigné possible : Avenue Alsace-Lorraine par exemple.
Les aménagnements du tramway ont été faits pour le tram seul. L’avenue de Grande-Bretagne avait une double voie de circulation dans les deux sens, pour se retrouver avec des rails, et une voie dans chaque sens sur 500m. C’est pareil pour le Quartier Saint-Michel, terminus du tram, et le Pont St-Michel. Le parking et le tunnel ont été virés pour le tram.
le commentaire de reactitude laissait à penser que les pouvoir public ne cherchait qu’à baisser le nombre de circulation, sans changer l’architecture des villes.
La réalité est beaucoup moins simple qu’il n’y parait.
A Paris, la PC (petite couronne longeant le périphérique à peu près) est désaffectée depuis bien longtemps et son aménagement en tramway aurait été rapide et peu couteux. Le faire construire sur les boulevards des Maréchaux est très cher, très long et entrave les entrées dans Paris. Il a même fallu boucher des tunnels à certains carrefours.
Idem pour le boulevard de la gare réduit à deux voies pour les bus et les vélos qui ne l’empruntent presque jamais.
ventre saint gris ! à ce rythme , avoir une bagnole reviendra aussi cher que d’avoir un toit sur la tête …..
À propos du péage urbain…
Un village d’une centaine d’habitants aura-t-il l’autorisation d’instituer un péage sur la route nationale qui le traverse pour obliger les non-résidents à utiliser l’autoroute ?
Oh, excellent !
je dois dire que c’est ce qui’ m’est venu à l’esprit aussi
Il y a toujours de « bôôôônnes raisons »….
Vous comprenez pas, c’est pour la « sôôôôlidarité », pour la « sééééécurité », l' »écoôôôôlogie », la « planèèèète » et moults objectifs sociôôôox et sôôôoôôlidaires ».
Que vous avez mauvais esprit de croire que le gouvernement se comporterait comme un cannibale en regardant des automobilistes comme des sandwichs aux cornichons
Dans votre liste racket fiscal des automobilistes vous avez oublié le contrôle technique à partir de mai prochain beaucoup plus lourd et dont le prix va sensiblement augmenter…
Oui, mais vous oubliez ce qui va toucher les classes moyennnes et ceux qui ont besoin de leur véhicule pour travailler..
Je veux parler du prochain CONTROLE TECHNIQUE prévu en MAI 2018.
personne n’en parle pourtant il est calqué sur l’européen et entraîne une augmentation des points contrôlés avec réparation immédiate (sous 24h) pour certains.
Bien sûr, le coût est revu à la hause puisque plus long.
Et c’est la France d’en bas qui est le plus impactée car, habitant les zones rurales pour la plupart, elle doit emprunter sa voiture quand les Parisiens peuvent utiliser les transports en commun, même chose pour les grandes villes.
Et quand en plus au nom de la rentabilité le gouvernement va fermer 70% des lignes, il dit qu’il va les remplacer par des bus sauf qu’il n’est pas certain que ces bus soient pérennes dans le temps.
C’est de plus en clair, Jupiter est le président de la France d’en haut, de la France des grandes villes, et les Riens, la France d’en bas sont les “dindons de la farce”, les “moutons à tondre”. Mais il vous fera la démonstration des premiers de cordée sauf qu’il n’y a que lui qui soit convaincu ainsi que les médias, journaux et journalistes vendus à lui.
Et avec ça le bon peuple continue d’acheter les brouettes fabriquées en France…
La seule réponse à ces agressions dignes des bandits de grands chemins est le boycott des marques françaises.
Et les emplois? me direz vous….Allez voir à la sortie des usines la tête qu’ils ont ces valeureux travailleurs…Ce qui explique peut être la qualité déplorable de nos fabrications….
Toyota, marque qu’on ne peut pas vraiment qualifier de française, fabrique ses voitures en France.
On fait comment du coup ? on boycotte le reste du monde dans le doute ?
Pas si facile : vous achetez une voiture allemande, eh bien certaines pièces sont made in France. Songez à Valéo, et ce n’est pas le seul.
Oui mais monté par des ouvrier formés et responsable….J’ai eu une 407 avec injection Bosch qui tombait tout le temps en panne…J’ai acheté une Mercedes avec le même système d’injection, j’ai fait 300000 bornes sans incidents…
J’ai compris, quand j’ai discuté avec un cadre de PSA…Formation squelettique, déresponsabilisation, gréviculture…
Résistance: boycott des centre-villes ayant choisi Crit’air, qui font passer de trois voies voitures (avec déjà circulation limite) à une voie bus + une pour les vélos et une pour les voitures, garder son véhicule le plus longtemps possible (à quoi bon changer, dans 2 ans on interdira les suivants et puis si c’est pour ne pas pouvoir circuler !), et surtout…achats par internet +++.
Résultats : commerces locaux asphyxiés, ghettoïsation des centre-villes désertés par les commerces, centre-villes coupe-gorges, morts.
Ils l’auront bien cherché. Chez moi une rue de 300 mètres: 18 commerces vacants ! Les commerçants survivants râlent…mais les politiques ne comprennent rien.
Les 80 km/h sont une goutte de plus…
@Balthazar
Bonjour,
A Perpignan le centre-ville est mort. A part la Fnac, il y a de moins en moins de commerces. Il est vrai que là, c’est le prix de stationnement qui a plombé les commerces du centre. Leurs clients vont dans les zones commerciales, avec des parkings sans parcmètres. Y aller en bus, c’est du sport.
Le boycott des villes est une des solutions (dont je ne me prive pas d’ailleurs – je n’ai plus mis les pieds à Paris depuis 2 ans). Il y a aussi le boycott de l’achat de la vignette. Et enfin la participation à des manifs ouvertement hostiles à ces interdictions de circuler.
J’habite dans un pays officiellement communiste ; pourtant, quand je leur parle de la France, je sais voir le blanc de leurs yeux, l’ouverture de ces derniers étant de même grandeur que leur étonnement !
@Modern Coding
Bonsoir,
Effectivement, nous sommes sous régime communiste et sa lutte des classes. Le véhicule, (automobile, moto, etc…) montre la classe à laquelle appartient le conducteur.
Le résultat sera que nous roulerons tous en Dacia électrique, et en transports publics. Wouhou ! Ca va être chouette !
Heureusement (si non qu’en serait-il ?) que Le Maire nous affirmait fermement le 12 janvier : « il n’y aura pas de nouvel impôt durant le quinquennat » en assurant : « On ne supprime pas un impôt pour en rétablir un autre, on ne prend pas dans la poche des Français ce qu’on vient de leur donner d’une autre main ». « Il n’est pas question d’augmenter la TVA, il n’est pas question d’augmenter une taxe locale, il n’est pas question de créer un nouvel impôt. » Prend-il les Français pour de parfaits crétins ?
Mais il se place dans la « bonne » tradition, car chaque fois que les gouvernements annonçaient une non-augmentation de timbres, de carburants… etc… ce n’était qu’une façon de mystifiée la majoration prévue. Le Maire comme les précédents, sans sourciller, « droit dans les yeux » enfume… à nous asphyxier. Suite au déni de l’augmentation des taxes locales, à quand l’augmentation de la TVA ?
Adage bien connu : l’automobiliste est la « vache à traire » des gouvernements successifs. Le FPS élevé risque de nuire aux commerces urbains (plutôt mal en point) au bénéfice des zones commerciales plus facile d’accès, d’un coût de parking zéro et agrémenté par la proximité du véhicule pour déposer les achats. Les clients ayant ce choix n’hésiteront guère longtemps. Les politiques, eux choisissent la taxe, la surtaxe, la taxe sur une taxe au détriment du commerce. Ont-ils un pois chiche en guise de cerveau ?
« Quant aux recettes de FPS, la loi contraint les communes à les affecter aux politiques de développement durable. » ai-je lu ailleurs. Tout était bien règlementé dans les moindre détail ! Le comble de cette mascarade est la contrainte de l’affectation de « ce pillage ». Bientôt, l’Etat contrôlera (c’est en parti le cas) notre vie privée, obligeant par loi ou décret, tel ou tel comportement sous peine d’amendes. La dictature est en bonne route, nos libertés sont piétinées et petit à petit anéanties pour… « notre bien-être », évidemment !
A quoi vous pouvez ajouter les vignettes Crit-air, qui interdisent de rouler aux véhicules un peu anciens (quand on peut toujours se chauffer avec une cheminée à foyer ouvert !!), et qui obligent donc les plus pauvres d’entre eux à remplacer notre vieux véhicule plus tôt que prévu.
A tous ceux qui veulent faire quelque chose de plus que râler sur les forums : il y a chaque semaine, depuis fin janvier, des MANIFS organisées conjointement par les associations de motards et d’automobilistes pour contrer le 80 km/h ! J’y suis allé, j’y ai vu des motards, des automobilistes, des chauffeurs de taxis, des artisans, des élus même parfois…
Plus on sera nombreux, plus cette décision pourra être battue en brêche.
dejà les centres villes deviennent deserts,puis les supermarches a l exterieur commencent a baisser …vive amazone …!!
Autre chose que je trouve aussi formidable que toutes ces mesures fiscales, et pénales realtives aux nouvelles infractions du Code de la Route, c’est que depuis 20-25 ans on nous a bien aiguillés pour acheter des véhicules diesel, en faisant des remises à l’achat de véhicules neufs, en faussant les prix des carburants à la pompe, la « pastille verte », alors que n’importe qui, au début, pouvait se rendre compte qu’un moteur au gasoil toussait bien plus gras qu’un moteur essence, en particulier les camions et les bus. Et puis Pouf ! le diesel c’est mal ! Alors on va nous le faire payer. La politique c’est beau !