Économie : États-Unis et zone euro se désynchronisent
La désynchronisation des économies américaines et de la zone euro induit potentiellement des ajustements significatifs.
La désynchronisation des économies américaines et de la zone euro induit potentiellement des ajustements significatifs.
On peut avancer le chiffre de 750 milliards de dollars, soit environ 600 milliards d’euros, ceci dans l’hypothèse où, en temps normal, la zone euro aurait crû en moyenne au rythme de 1,9 % par an.
Peut-être vous dites-vous que la France fait partie des pays qui font monter la moyenne de la croissance économique au sein de la Zone euro ? Pas vraiment.
Sommes-nous encore capables de former une vision proactive et optimiste de notre avenir en Europe ?
Si l’on en croit certains, les risques financiers actuels sont très raisonnables. L’optimisme des investisseurs est-il parfaitement justifié ?
La « normalisation » de la politique monétaire ouvre une période cruciale et rien n’assure qu’elle se déroulera sans accroc pour les banques et donc la sécurité de vos dépôts.
L’émergence de plus grosses institutions bancaires dans la zone Euro, en plus d’être une bonne nouvelle sur le plan symbolique pour l’idée européenne, renforcerait la compétitivité du secteur face aux mastodontes américains.
L’euro en tant qu’instrument pour favoriser le commerce n’a pas besoin de plus de gouvernance ou d’une Europe fédérale, contrairement à ce qu’avancent les médias.
Les propositions d’Emmanuel Macron s’inscrivent dans la continuité d'une fuite en avant : centraliser les politiques budgétaires européennes. Avec moins de rigueur budgétaire.
Des économistes allemands évoquent des pistes pour sortir de l'euro. L'Allemagne, grand créancier de l'Europe, se prépare à l'impensable.
Rendre aux États européens leur "souveraineté budgétaire" ne résoudra aucun problème économique.
Les effets négatifs de la création monétaire dans la zone euro, en Chine et au Japon se font sentir aux États-Unis.
La Suède cultive une méfiance envers l'euro, l’UE et ses pays membres.
La victoire d'Alexis Tsipras laisse un goût amer chez les Grecs.
L'arrivée massive de migrants est l'occasion de proposer un transfert à l'Europe de la souveraineté économique et politique des pays européens.
L'Europe, caractérisée par un excès de prélèvements et de réglementations, est devenu un contre-exemple pour les nations soucieuses de prospérer.
Les répercussions de la crise grecque sur la progression des partis populistes sont variables d'un pays à l'autre.
Le président français plaide pour une "Europe à deux vitesses".
L'appartenance à l'union européenne n'est pas un sentiment très développé en Suède.
La crise grecque nous sert sur un plateau une typologie comportementale très intéressante.