Gare TGV Sud de France : un désert à 135 millions d’euros
La nouvelle gare TGV à Montpellier est un fiasco. Mais ce n'est pas grave, c'est le contribuable qui paie...
La nouvelle gare TGV à Montpellier est un fiasco. Mais ce n'est pas grave, c'est le contribuable qui paie...
Une analyse des enjeux de la réforme de la SNCF à partir de trois ouvrages.
Affaire de Tarnac : Pourquoi n'y a-t-il pas de définition juridique du terrorisme qui fasse autorité ?
Ah, La France, ce petit pays sympathique coincé entre la Belgique et la Bretagne et qui fait assaut d’imagination pour vanter ses lieux touristiques et…
Le TGV n’est plus dans le schéma qui a fait son succès à l’origine. Mais si ses conditions de rentabilités sont connues, pourquoi ne sont-elles pas respectées ?
Les nouvelles lignes sont-elles devenues moins rentables ? Le nombre important de dessertes devient-il contradictoire avec la notion même de grande vitesse ? Répondre à ces questions, c’est entrer dans l’univers du calcul économique.
À travers l’hostilité et les moqueries déclenchées par le changement de nom du TGV pour une nouvelle offre de service dite « InOui », nous voyons toute l’importance de la dénomination qui, en cas de ratage, rend la promesse et ses justifications inaudibles,
La catastrophe économique d'Alstom, tout comme les gesticulations politiques pour tenter en freiner la chute, n'est pas seulement un accident industriel. C'est une affaire d'État : une fois de plus, ce dernier démontre qu'il ne comprend rien au marché.
En passant commande de 15 TGV, Manuel Valls illustre l'État stratège : la dépense sans compter, le mépris de toute rigueur, l'électoralisme sans vergogne.
En 1984, l'auteur part démarcher la Californie pour y vendre le TGV. Retour sur cette expérience à laquelle Alstom n'a jamais cru.
Le "tout TGV" a été une fausse bonne idée.
Les attentats à Paris ont empêché le suivi médiatique de cet événement qui aurait dû être exceptionnel.
Ces opposants qui veulent stopper la grande vitesse !
Les 2036 kilomètres de lignes à grande vitesse ont coûté 23 milliards d’euros au contribuable !
Peut-on réformer les chemins de fer ? Si on en croit les Européens, non. Seulement, les Japonais l'ont fait, et avec un succès à ce jour inégalé !
La société japonaise de chemins de fer JR vient de franchir un nouveau pas dans la vitesse ferroviaire le 21 avril 2015 en atteignant 603 km/h.
La libéralisation du transport en bus va permettre une redistribution des cartes au plus grand bénéfice des usagers.
Quand on a un peu d’argent, on peut toujours organiser des dîners gastronomiques, payés par le contribuable, dans les ambassades du monde entier. L’excuse officielle…
Les événements font parfois perdre de vue certains points de repère, mais, je vous le rappelle : depuis une semaine, nous sommes en pleine période…
Petit conte de Noël sur la redistribution étatique...