Affaire Varin ou l’acharnement de la doctrine socialiste
Pourquoi l’État aurait-il son mot au sujet de la retraite de monsieur Varin ?
Pourquoi l’État aurait-il son mot au sujet de la retraite de monsieur Varin ?
On pourrait penser les syndicats français nuisibles à l’image de la France. Au contraire, ils incarnent le dynamisme et la créativité dans un pays où…
La dépréciation d'actifs faite chez PSA est purement comptable mais les politiques jouent aux pompiers. Pyromanes ?
PSA réalise des pertes, l’État envisage la nationalisation. Retour vers le futur… Par Baptiste Créteur. Un journal télévisé avait réalisé une fiction présentant un scénario…
Les représentants autoproclamés des salariés revendiquent l'interdiction des licenciements lorsque l'entreprise qui les emploie fait des profits. Plus qu'une revendication, il s'agit d'une menace de plus sur la propriété privée et la liberté.
Quel sera l'impact des voitures plus économes et plus autonomes en France ?
Les syndicats PSA mènent un combat contre les patrons, le capitalisme et la liberté, pour des lendemains qui chantent avant de disparaître.
Les constructeurs français se portent mal à cause de l'intervention étatique. La route de la servitude ne se fera pas en voiture française.
Pour contrer "le plan Varin" et ses 8.000 suppressions de postes, la CGT du groupe PSA veut imposer aux actionnaires leur politique et réclame un apport de capital de 1,5 milliard d'euros de la famille Peugeot.
Et si, au lieu d’un Arnaud Montebourg ministre du redressement productif, on nous mettait un ministre de l’entreprise ?
La prime proposée par le ministre Montebourg devait finalement aider Mitsubishi à importer ses modèles en France !
Montebourg a présenté son plan pour sauver PSA. En conséquence, tout indique que les jours du constructeurs sont désormais comptés.
Montebourg prendrait-il les constructeurs auto et leurs milliers d'ingénieurs, de marketeurs et de vendeurs pour des abrutis ? On dirait.
D'un côté nous avons une industrie qui échoue malgré les aides et les supports de l'État, et de l'autre côté nous avons une industrie qui réussit en passant outre l'État. Et ils voudraient tuer ce qui marche pour aider ce qui ne marche pas!
On oublie la source principale du mal industriel français, à savoir : la difficulté croissante qu’éprouvent les entreprises françaises, grandes, moyennes et petites, à garder, et à plus forte raison à accroître, leur compétitivité.
Hollande et Montebourg, Laurel et Hardy. Les montagnards sont là ! Brutale confrontation avec la dure réalité politico-économique : ils peuvent se rouler par terre, aucun moyen d'agir, ni légal, ni économique. Et tous, tous, savaient que PSA allait se planter.
Il faut se rendre à l'évidence : Montebourg n'est plus qu'un petit fusible, ou, disons charitablement, un magnifique bouclier pour Moscovici
PSA ferme son site d'Aulnay-sous-Bois. Les salariés peuvent remercier les syndicats du site, particulièrement durs. Surtout, la comparaison avec le Royaume-Uni et l'Allemagne montre que la flexibilisation de l'environnement économique a permis de provoquer un vrai rebond dans l'automobile. Une piste pour créer de l'emploi en France.
PSA a commis de lourdes erreurs stratégiques, expliquant sa situation. Mais il est surtout victime des politiques économiques, des syndicats ou encore du coût du travail. Ce sont des vies humaines qui sont en jeu. Politiques, syndicalistes, il serait temps d'abandonner l'idéologie, et de penser à l'être humain.
L’État Hollande va pouvoir démontrer que ses analyses de campagne et son projet permettent de se tirer d'un bourbier pareil. Problème : trop de voitures sur le marché, faut bien fermer.