Coronavirus : pas question qu’il tue aussi la parité homme-femme !
La liberté de la presse est une fois de plus mise à mal. En cause, la Une du Parisien où ne figuraient que des hommes pour parler de l’après-coronavirus...
La liberté de la presse est une fois de plus mise à mal. En cause, la Une du Parisien où ne figuraient que des hommes pour parler de l’après-coronavirus...
Climat, patriarcat, retraites, capitalisme... Plus les luttes convergent, plus elles se mettent à mouliner de l’absurde et du mensonge, et plus elles montrent leur visage violent et autoritaire.
L'idée que le féminisme n'a rien à offrir aux femmes africaines repose sur des préjugés qu'il convient de balayer.
Et si nous imaginions une société moins oppressive à l'endroit des femmes ? Petit essai d'utopie et de réflexion historique.
Le différentiel salarial est-il la partie visible de l'échange économico-sexuel ?
Sans un apprentissage nécessaire à la croissance de l’esprit humain, la jeune fille connaîtra une vie entière d’excès divers et le jeune homme deviendra un incapable.
Même la civilisation la plus misogyne de la planète dépend entièrement des femmes pour sa subsistance quotidienne, sans quoi elle s’effondrerait en quelques jours.
L'« abolitionnisme », qui vise à faire des prostitués des parias, est la pire abomination engendrée par le féminisme de genre.
Le féminisme de nouvelle génération a abandonné le combat pour la liberté des femmes pour fonder son action sur des peurs irrationnelles qui attisent la haine.
Comment la juste cause du féminisme a été pervertie : du combat héroïque des proto-féministes à l'idéologie haineuse des féministes de genre.
La patriarchie, au moins ici en Occident, est morte. Que le féminisme mérite de survivre ou non, cela appartient aux féministes.