Ce qui se dessine sur la prochaine crise monétaire
La prochaine crise monétaire fera redécouvrir un principe millénaire : la dette doit avoir une limite. A défaut, on crée une société d’esclaves.
La prochaine crise monétaire fera redécouvrir un principe millénaire : la dette doit avoir une limite. A défaut, on crée une société d’esclaves.
Les adversaires de Trump à la table de négociations peuvent bien dire c’est un fou furieux, ignorant des principes économiques de base et que ce qu’il fait n’a aucun sens, il n’en demeure pas moins qu’ils se sont fait rouler dans la farine.
La fermeture des frontières économiques est-elle sans conséquences ? Réponse dans cette vidéo de l'Ecole de la Liberté.
Et si "aucun accord" cela valait mieux qu’un accord quelconque ?
C’est l’échange qui permet de s’enrichir et de stimuler la croissance et l’emploi. Ainsi, les barrières commerciales ne nous protègent pas, elles nous appauvrissent.
Une victoire pour le libre échange et le commerce équitable. C'est en ces termes que Donald Trump accueille les avancées entre États-Unis et l'Union Européenne vers la politique "zéro barrière douanière". Un apaisement dans la guerre commerciale ?
En réalité, c’est l’Union européenne qui a ouvert les hostilités dans la « guerre commerciale » en pratiquant un protectionnisme déguisé.
Les processus de marché, historiquement, ont pavé la voie aux énergies fossiles, parce qu’elles ont des avantages indéniables par rapport aux énergies renouvelables, et les conditions de base n’ont pas changé aujourd’hui.
Garant du respect du droit, l'État protège les libertés si le pouvoir judiciaire est indépendant. Mais puissance militaire, policière et désormais économique, il ne cherche qu’à renforcer ses propres pouvoirs.
La « guerre commerciale » se fait au détriment de chacun de nous. Le libre-échange est la seule politique loyale d’un gouvernement vis-à-vis de ses ressortissants.
Le libre marché permet la coopération de millions ou de milliards de personnes qui ne se connaissent pas, et ce de manière décentralisée.
La « guerre commerciale » qui menace ne fera que des perdants. Elle risque de ranimer l’inflation et de pousser les taux longs à la hausse.
Avant même de s'inquiéter de la guerre économique, occupons nous du libre-échange mondial. Il n’existe pas aujourd’hui et nous sommes toujours sous le régime d’échanges internationaux largement régis par les États ou groupes d’États.
La concurrence – même déloyale – est préférable au protectionnisme et aux droits de douane. Car la concurrence fait progresser mais pas les impôts.
Contrairement à ce que pense le président des États-Unis Donald Trump, réintroduire du protectionnisme est nuisible aux Américains.
Sous couvert de défense du consommateur contre des risques souvent mal estimés, les ONG militent en réalité pour le protectionnisme.
L’argent serait une finalité de l'économie ? Et s'il n'en était qu'un élément, tandis que le plus important serait l'échange ?
La propagande contre libre échange bat son plein, et aujourd'hui, le protectionnisme économique bénéficie dans le débat public d'une seconde jeunesse. Il est pourtant toujours aussi dangereux.
L’échec du tout administratif soutenu par le vieux modèle "nord-sud" et le prestige des nouvelles technologies ont lancé l’entrepreneuriat africain.
Nous vivons dans un monde rempli de merveilles technologiques et culturelles, parce que nous avons mis en réseau nos esprits en tant que cerveau collectif.