L'étrange traitement des Panama Papers par la presse
L'affaire des Panama Papers est traitée par certains journalistes comme une occasion de s'adonner à la haine des plus riches.
L'affaire des Panama Papers est traitée par certains journalistes comme une occasion de s'adonner à la haine des plus riches.
Les antennes relais, les téléphones portables ou les compteurs intelligents véhiculent avec eux les fantasmes les plus fous.
Les lanceurs d'alerte ne sont pas responsables des déboires rencontrés par le renseignement.
Des victimes non-ciblées listées comme des « ennemis tués au combat » sans aucune preuve réelle.
Payé à ne rien faire pendant 12 ans, cet ex-cadre a des choses à nous apprendre...
J’ai honte que François Hollande refuse de donner l’asile politique à Julian Assange.
La transparence des données est au cœur du contrôle de nos institutions.
Le Crédit Agricole a-t-il volontairement licencié un lanceur d'alerte ?
Le Conseil d'État fait cinquante propositions pour "mettre le numérique au service des droits individuels et de l'intérêt général". Petit tour d'horizon critique.
Un arrêt récent du tribunal administratif semble consacrer un "principe général de protection" des lanceurs d'alerte. Qu'en est-il en réalité ?
La France est-elle en mesure d'accorder l'asile au lanceur d'alerte Edward Snowden, poursuivi par les États-Unis ?
Le libertarien Ron Paul, ancien membre du Congrès du Texas, lance un appel pour que le lanceur d'alerte de la NSA soit amnistié.
Un blogueur est condamné à une amende de 3.000 € pour avoir téléchargé et communiqué des données parfaitement accessibles et indexées sur Google.
La réflexion juridique sur les lanceurs d'alerte n'a pas encore été sérieusement engagée dans notre pays.