Bruno Le Maire : tellement, mais tellement plus qu’un énarque !
Bruno Le Maire affiche son « sérieux » budgétaire dans les médias et aligne en conséquence quelques chiffres mirobolants qui ne signifient rien et n’engagent à rien.
Bruno Le Maire affiche son « sérieux » budgétaire dans les médias et aligne en conséquence quelques chiffres mirobolants qui ne signifient rien et n’engagent à rien.
François Facchini publie un ouvrage bienvenu sur les dépenses publiques.
La Direction générale des finances publiques estime aujourd’hui, selon le Canard enchaîné, qu’environ 30 ou 40 % des fonds auraient été distribués par l'État sans raison valable.
Bruno Le Maire est-il devenu le ministre de la relance électorale d’Emmanuel Macron ?
Pour être résistant à la trajectoire insoutenable de la dette publique, vous devez être aussi indépendant que possible de l’État obèse et impuissant.
Condamné par l’État, le privé sort exsangue du confinement. Pendant ce temps, le secteur public continue à jouir de ses privilèges bien que certains services aient été catastrophiques durant le confinement.
Décidément, la crise sanitaire liée au Covid-19 permet tout, même de s’assoir sur la propriété privée et de spolier les riches.
Quoi qu’en dise Darmanin, un jour il faudra payer, et ce seront les impôts sur le secteur productif qui assureront ce service.
Il est évident que "dépenser sans compter", comme le dit Gérald Darmanin, finira à la charge du contribuable.
En 2019, le déficit de l’État s’est creusé plus que jamais et sa dette a continué à grimper. Vous avez dit « sain » ?
Nous devrons un jour avoir le courage d’accepter que les pays qui s’en sortent le mieux du point de vue sanitaire, Corée du Sud et Allemagne, sont aussi les plus efficaces d’un point de vue économique.
Les principes de base de gestion de la dette devraient s'appliquer dans le domaine public comme chez les individus.
Dette, équilibre budgétaire, finances publiques,... La France de 2019 risque de s'enfoncer dans le rouge, selon la Cour des comptes.
Par Bruno Sentenac. La crise des Gilets jaunes que nous venons de connaître n’est pas sans rappeler, par son déroulement, un mouvement populaire beaucoup plus…
L’inflation sauve le budget du gouvernement Philippe mais va à terme plomber notre pouvoir d’achat.
Si l’Union européenne tient à coordonner efficacement les politiques budgétaires, elle devrait donc ajouter aux critères de convergence l’obligation de ne pas dépasser un certain niveau de dépense publique et de fiscalité acceptable.
Un déficit moins élevé qu’attendu ne fait pas une cagnotte. La résurgence de ce débat vieux de 20 ans prouve l’inculture de ceux qui votent le budget.
Parler de cagnotte fiscale revient à faire croire aux citoyens que l'argent public est à disposition des politiciens.
L’obstacle à la maîtrise des déficits publics n’est ni économique, ni juridique, mais purement politique.
En 2016, l’administration fiscale a traité plus de 18 000 demandes de rescrit. Combien ont été publiés ? Sur la base de quels critères ?