Intérêts négatifs : banques centrales en apprentis sorciers
Nos chers banquiers centraux ont oublié plusieurs choses essentielles.
Nos chers banquiers centraux ont oublié plusieurs choses essentielles.
Les États-Unis ont besoin d’argent… de beaucoup d’argent. Qui le leur fournit ? La réponse est surprenante…
Les États-Unis arrivent à boucler leurs fins de mois, pour le moment. Les choses pourraient cependant se corser rapidement… et là, gare aux conséquences.
Boeing est le symbole de ce qui ne tourne pas rond aux Etats-Unis – l’argent facile, la dette… et le complexe militaro-industriel en sont les causes.
Le système d’argent gratuit – le créditisme – a corrompu le capitalisme, l’économie réelle, la politique et les électeurs, c’est-à-dire nous.
Notre croissance est insuffisante pour faire reculer le poids de l’endettement. Les déficits permanents et l’accumulation de la dette sont une épée de Damoclès.
Contrairement à ce qu’indique le gouvernement, les dépenses publiques continuent d’augmenter.
D’une certaine façon, le niveau d’endettement d’un pays illustre sa foi dans le progrès, sa croyance dans le fait que l’essentiel des projets lancés rencontrera le succès.
Les déficits et la dette sont des problèmes qui semblent avoir été conçus pour opposer les citoyens entre eux plutôt que de les rassembler.
Réflexions sur l’ouvrage de Pascal Salin Revenir au capitalisme (ed. Odile Jacob).
La gestion électoraliste à court terme a consisté, depuis une cinquantaine d’années, à satisfaire les électeurs en négligeant totalement la situation des générations futures.
Je-m’en-foutisme politique, irresponsabilité économique, abondance de déclarations stupides et incohérentes sont manifestement les choses les mieux partagées de notre classe politique.
Une fois dépouillée de ses éléments très réels de compassion, de mea culpa et de recherche du dialogue, l'allocution présidentielle de lundi n’est rien d’autre qu’un boulet supplémentaire attaché à notre économie.
« La responsabilité budgétaire, c’est un truc de losers. »
L’Italie inquiète les marchés, mais la crise budgétaire couve également en France. Nous sommes en marche vers la ruine, conduits par une classe politique aveugle et lâche.
Un entretien avec Cécile Philippe et Nicolas Marques à l'occasion de la sortie du dernier rapport de l'Institut Molinari intitulé « Le jour où les États de l’Union européenne ont dépensé toutes leurs recettes annuelles ».
"En France l’administration centrale vit à crédit 47 jours par an. Elle épuise toutes ses ressources le 15 novembre, un mois avant les autres États de l’Union européenne, équilibrés jusqu’au 13 décembre." (Cécile Philippe)
La dette accumulée par l'administration Trump diffère de celle entassée par son prédécesseur. Analyse.
Des mesures fortes doivent être prises pour enrayer, puis inverser, une mécanique qui, laissée à elle-même, ne pourra que renforcer sa propre logique.
La reprise de la dette de la SNCF par l'État est une mauvaise nouvelle et une occasion manquée de réformer en profondeur l'Etat-providence.