Expropriation de terres en Afrique du Sud : retour de l’apartheid ?
La propriété privée n'est pas seulement un ingrédient clé de la prospérité de tous les Sud-Africains, mais également un élément fondamental de la dignité humaine.
La propriété privée n'est pas seulement un ingrédient clé de la prospérité de tous les Sud-Africains, mais également un élément fondamental de la dignité humaine.
L'Afrique du Sud a l'un des régimes de contrôle des changes les plus restrictifs au monde. Déjà à son époque, Nelson Mandela en appelait à son abolition.
Des millions de personnes à travers le monde ont pu s’éloigner de la pauvreté grâce à leurs droits de propriété, ces mêmes droits que le gouvernement sud-africain semble vouloir confisquer.
Les partisans actuels de l'expropriation des terres sans compensation devraient lire l'analyse de Solomon Plaatje, pour reconsidérer fortement ce qu'ils sont en train de faire actuellement.
La pauvreté persiste en Afrique du Sud pour les mêmes raisons qu'elle a été exacerbée pendant l'apartheid : un État hyper interventionniste sans respect pour la primauté du droit ni pour le fonctionnement des marchés.
Il est aujourd'hui plus important que jamais pour l'Afrique du Sud de considérer la libre entreprise comme une solution à ses problèmes.
C’est le progrès économique qui guérira les discriminations, davantage que des décisions politiques.
Les Sud-Africains pauvres, pour la plupart noirs, sont toujours soumis au caprice discrétionnaire du gouvernement et se voient toujours refuser des droits de propriété.
Afrique du sud : l'exécutif ne doit pas se substituer aux lois.
De quel apartheid Libération parle-t-il ?
Contre la logique jacobine qui échoue à casser les ghettos de pauvreté et d'ignorance, pourquoi ne pas choisir la liberté ?
Le regard de René Le Honzec.
La réalité du fonctionnement des organismes de logement social donne du poids aux affirmations de Manuel Valls.
L'apartheid est né de la lutte des classes et a été très largement conçu par les syndicats blancs radicaux dans leur opposition aux capitalistes blancs et à la majorité noire.
Face au socialisme à visage raciste de l'apartheid, les forces du marché ont fait bien plus que le boycott international de l'Afrique du Sud, qui a été contre-productif.
Avec la disparition de Nelson Mandela se pose également la question de son héritage économique, et de la faible amélioration de la situation économique des plus faibles.
L'itinéraire de Mandela fut dicté par sa foi chrétienne, un cheminement qui le conduisit de la violence à la rédemption.